L'histoire des viandes du Lys

L'histoire des viandes du Lys est intimement liée à l'histoire locale et à l'évolution des pratiques commerciales et sanitaires. Pour comprendre pleinement son contexte, il est essentiel de revenir sur les événements qui ont marqué la commune de Saint-Lys au début du 20ème siècle.

La création de l'abattoir public de Saint-Lys

Au début du 20ème siècle, la présence des « tueries particulières » des bouchers, charcutiers et habitants de la commune causait de nombreux désagréments en matière d’hygiène et de salubrité. Le projet fut donc relancé en novembre 1921 par le Maire Joseph BOUAS.

Par délibération du 25 juin 1922, le Conseil municipal vota le principe de construction de cet abattoir public. C’est en 1923 que cet édifice fût réalisé, route de Saint-Clar (sur la parcelle située aujourd’hui au n° 46, rue Saint-Julien). L’abattoir public entra en service à partir du 23 mars 1923.

Les « tueries particulières » furent définitivement supprimées à compter du 1er avril suivant, puisque tous les abattages devaient dorénavant être effectués dans ce nouvel établissement.

Extrait du plan cadastral de 1951, section E. L’abattoir est figuré sur la parcelle n° 86, que longe la « route de Saint-Thomas à Saint-Sulpice » (actuelle « rue Saint-Julien »). Plan de l’abattoir de Saint-Lys, dressé en novembre 1949.

L'évolution et la fermeture de l'abattoir

En 1962, l’abattoir de Saint-Lys faillit connaître une fermeture définitive pour cause de vétusté ; il continua néanmoins de fonctionner durant encore une vingtaine d’années. Mais, à partir de 1965, dans le cadre d’une loi de « modernisation du marché de la viande », l’État prit plusieurs mesures successives visant, notamment, à limiter le nombre des petits abattoirs afin d’aboutir à une concentration géographique des points d’abattage.

Pressée par les pouvoirs publics, la municipalité décida finalement la fermeture de l’abattoir de la commune à compter du 1er janvier 1982, après quasiment six décennies d’activité.

Les commerces et l'évolution de la rue du Docteur Coubronne

Après guerre le commissariat de police occupe durant peu de temps le n°5 de la rue avant de déménager rue Jules Guesde (sur ce sujet voir un précédent article édité sur notre site). Le bâtiment est ensuite occupé, à la fin des années 1940, par la bonneterie mercerie Ingelaere puis le tailleur Ellie Ingelaere jusqu’au milieu des années 1970. L’institut esthétique « Votre Beauté » leur succède durant les années 1980-90 après avoir un temps partagé le bâtiment avec la mercerie Au Poulbot.

C’est un marchand de tissus, Victor Lemaire, puis son successeur, J. Lemaire, qui s’installe au n°8, durant une vingtaine d’année, jusqu’au début des années 1960. Au milieu des années 1960, c’est le magasin Flor-Cado, commerce de vente de fleurs et cadeaux, tenu par les Doisne-Danjou, qui prend sa place.

Après guerre également, au 68 rue du Docteur Coubronne, on retrouve, à partir des années 40, et pendant une vingtaine d’années, André Dusquesne et frères, propriétaires d’une fabrique de machines à laver et de bacs pour teinture mais aussi d’une tonnellerie. Puis dans les années 1980, une crèmerie et commerce de volaille s’y installe suivie de la boucherie Au Fin Palais (sur ce sujet voir un précédent article édité sur notre site).

C’est la boulangerie J.Heras puis Dartois qui occupe le n°11 à la fin des années 1950, avant de laisser la place quelques années plus tard aux électriciens et entreprises de TSF de Pierre Florin (revendeur de téléviseurs Clarville) puis Jacques Desurmont. Un salon de coiffure pour dames y ouvre au début des années 1970, tenu par Mme Vermeersch. Puis l’immeuble sera affecté un temps à usage d’habitation avant que, dans les années 2010, ces différents commerces cèdent la place à des salons de Coiffure : Roos and Co de Françoise Roos puis Salut les 60 et Image et Conseil de Lyes Addadaïne.

La rue accueille également au n°31 une résidence pour personnes âgées. Le 26 janvier 1980 la première pierre du bâtiment est posée et c’est en 1981 que la Résidence de la Marque sort de terre, modifiant considérablement l’aspect de la rue. Peu de temps après c’est une salle de sports qui y voit le jour presque en face.

En 1982, la première pierre du chantier de construction de la salle Leplat est posée par Jean-Claude Provo, alors maire de la ville, mais c’est Marie-Marguerite Massart, nouvellement élue qui, en 1983, inaugure la salle qui porte le nom d’un ancien maire de Hem, Jean Leplat.(sur ce sujet voir un précédent article édité sur notre site).

Dès 2009, la municipalité décide de créer le jardin des perspectives, au « nouveau cœur de ville », sur 5 hectares entre la rue de la Vallée et la rue du Docteur Coubronne , entre les constructions de « la Vallée 2 ».L’objectif est de relier les anciens et nouveaux quartiers autour d’un espace central fédérateur offrant 2 km de chemins de promenade. Le jardin est bordé de deux côtés par la rue du 06 juin1944 (ancienne rue du Cimetière) et la rue du Docteur Coubronne sur laquelle il aboutit dans la nouvelle Grand Place de la ville et du dernier par la rue du Tilleul. C’est là qu’Olivier Bartier ouvre son huitième magasin de vélos dans la métropole lilloise en 2021. Sur 300 mètres carrés, il y propose de nombreux cycles, électriques ou non, du matériel et de l’équipement pour toutes les pratiques : VTT, route, vélos de ville.

La rue du Docteur Coubronne reste à ce jour une artère très vivante de la ville même si le passage des décennies a entraîné la disparition de plusieurs commerces.

L'évolution du commerce de proximité à Hem

La place de Verdun se situe dans la rue Gorghemetz au cœur du quartier de Beaumont à Hem. Sur cette place se trouvent l’église Saint-Paul depuis 1954 et un petit centre commercial depuis les années 1960. A la fin des années 1950 la cité jardin Beaumont (381 logements) a en effet vu le jour dans la plaine de Beaumont de l’autre côté de l’avenue Mozart.

Dès 1968, le Ravet Anceau fait état d’une épicerie Noréco qui reste en activité pendant une dizaine d’années, sous l’enseigne Corsaire. A cette époque, le petit centre commercial comporte également un tabac tenu par Mrs Pouille puis Baude, qui fait également librairie, papeterie, jouets et cadeaux, ainsi qu’un dépôt de teinturerie Rossel. Pour assurer un service complet le petit centre est également doté d’une pharmacie, tenu par Mme Ramette-Sabin, jusqu’à la fin des années 1970 .

A la fin des années 1970 c’est l’enseigne Shopi qui s’installe dans le petit centre commercial de Beaumont à la place de l’ancien Corsaire. Cette enseigne alimentaire de proximité a été créée en 1973 par le groupe Promodès. Malheureusement, le centre commercial connait ensuite un gros passage à vide, notamment en ce qui concerne la supérette, abandonnée et vandalisée.

La supérette quant à elle se lance sur une surface de 275 mètres carrés. Cette création de magasin les a tout de suite tenté avec beaucoup de produits frais, plus de 3000 références, un espace parfumerie, une cave à vins et un mobilier tout neuf. A cela s’ajoute les nombreux services offerts comme la livraison à domicile et les larges horaires d’ouverture.

Actuellement il n’y a plus de supérette, à proprement parler, dans le centre commercial de Beaumont mais la boucherie Zino s’ est installée dans les locaux en avril 2021, gérée par Madhi Tellache, dont la famille a longtemps tenu une boucherie rue de Lannoy à Roubaix, à l’angle du boulevard de Reims. La boulangerie actuelle : l’Hirondelle 2 a, quant à elle, été ouverte en 2021 par Youssef Hernoun qui avait déjà ouvert l’Hirondelle 1 à Roubaix. A Hem, il s’est associé à Florian Peere pour rénover la boutique, vide depuis quelques temps, et la municipalité a remis le laboratoire aux normes.

Durant l’année 2020, la pharmacie de Beaumont a été reprise par Thomas Remy. Pour redynamiser le site de la place de Verdun, en 2020, la municipalité n’a pas hésité à investir. Ainsi une réfection complète de l’éclairage urbain a été faite, du mobilier urbain neuf a été installé. Mais surtout en 2021, la mairie lance un marché hebdomadaire pour répondre à une demande des habitants et renforcer le commerce de proximité du quartier.

L'évolution des commerces rue Louis Loucheur

Après l’intersection avec la rue du Maréchal Joffre, se trouve, au n°99, la deuxième boucherie de la rue, ouverte dans les années 1950. (Sur ce sujet voir un précédent article édité sur notre site). Un peu plus loin, sur le trottoir d’en face, le n°106 abrite la lingerie de J. Delemmes pendant la décennie 50 et le n°108 l’entreprise de chiffons de Roland Wagnies dans les années 1960 et l’institut d’esthétique de Brigitte Carpentier à la fin des années 1970.

Le 111 rue Louis Loucheur est une adresse très connue, du milieu des années 1950 à celui des années 1980. Y est en effet installée la graineterie Clarisse, aussi appelée graineterie des Trois Baudets : poteries, semences, engrais simples et composés, outils de jardinage, oisellerie, poissons, cages et volières, puis son successeur Jardiflor à la fin des années 1980.

Nous parvenons à la dernière portion de la rue avant d’arriver à Roubaix, après avoir traversé les rues Briet et d’Halluin. Le premier commerce qui s’y trouve, sur le coin avec la rue Briet, au n°118, est un café ouvert par M.Van Maercke au milieu des années 1950 et qui, à l’époque, est également une entreprise de couverture plomberie. Puis Mme F. Crepieux reprend le « café de la Gaieté » à la fin des années 1950 et pendant une décennie. Lui succèdent Charles Lagaise, puis, dans les années 1980, le café PMU « Chez Gilbert et Michel », de Michel Rotsaert et Gilbert Lacroix.

Le n°124 abrite, dans les années 1960, une supérette « Super Hem », à l’enseigne Cé-di-Choc puis Super Egé. Durant la décennie suivante, c’est un » lavomatic » qui lui succède, suivi du lavoir pressing des 3 Villes. La maison voisine au n°126-128, abrite quant à elle, dès les années 1960 la bonneterie de Mme Brogniart puis la maison Delvordre : bonneterie, lingerie, layette, chemiserie, maroquinerie.

L’épicerie de Mme Bourlet occupe le n° 132, dans les années 1950, reprise ensuite par Mr Brogniart. Durant la décennie suivante c’est Lucien Duquesne qui y installe son commerce de TSF (Transmission Sans Fil) et TV (Télévision), repris dans les années 1970 par le couple Vandenhaute-Duquesne qui vend de l’électro-ménager.

Jules et Marie-Madeleine Ladam exploitent leur ferme qui abrite 2 chevaux, un poulain et 8 vaches, à compter de 1948 et jusqu’en 1984, au n°136. La ferme est très ancienne : l’habitation date du 18ème siècle et des fissures sont apparues durant la guerre en raison de l’explosion du château de la Lionderie. Après l’arrêt de l’exploitation de la ferme, Jean-Marc Ladam y installe son activité artisanale d’électricité générale.

Reste à évoquer le n° 150, occupé durant une vingtaine d’années, à compter des années 1960, par un artisan carreleur, Michel Van Opbroek et le n°156 qui abrite l’épicerie d’Edmond Vionne, à peu près à la même époque, reprise ensuite par Céleste Vionne. On finit, un peu plus loin par le dépannage ménager service au n°170 durant quelques années des décennies 1970-80 et enfin l’alimentation générale de Mme F. Mahieu qui fait aussi poissonnerie dans les années 1960.

Ce n’est pas un hasard si, sur cette dernière portion de la rue, à compter du n°118, ne sont évoqués que les numéros pairs. En effet sur le trottoir d’en face nous sommes déjà sur la ville de Roubaix, dans la rue du Bas Voisinage (qui est aussi l’ancien nom de notre rue Louis Loucheur hémoise).

L'histoire de la boucherie Dumeige

Max Dumeige est né, en 1944, à Domart en Ponthieu dans la Somme. Son père était maquignon marchand de chevaux, dans cette même ville. L’occasion se présente quand la boucherie chevaline de Mr Duponchel-Burda, au 115 de la rue Jules Guesde à Roubaix se libère. Max et son épouse Monique née Simon, signent l’acte de vente et s’installent, en 1968. L’enseigne choisie est : La « Chevaline ».

La rue Jules Guesde est une rue très commerçante dans un quartier populaire. Le commerce se situe juste à côté du magasin de M. Soetens au 109-113 qui propose des articles de vaisselle et de ménage. La superficie du terrain sur lequel se situe la boucherie s’étale sur 177 m2. La boutique est très longue en profondeur mais étroite en façade. Sur la droite, une porte de garage permet les livraisons de viande.

L’année suivante, en 1969, Max investit déjà, en aménageant l’intérieur du point de vente. Il fait installer une magnifique vitrine réfrigérée pour la présentation des produits et engage un premier salarié. La qualité des viandes de cheval de Max Dumeige est irréprochable et la publicité se fait seule, de bouche à oreille, dans tout le quartier.

Très rapidement, les affaires se développent et sont très satisfaisantes. En 1972, Max fait transformer complétement le magasin intérieur et la façade par l’entreprise Frimak Gand. En 1974, Max et Monique créent un rayon volailles et gibier. Les affaires continuent de se développer.

En 1980, de gros travaux sont entrepris ; une partie de l’arrière boutique disparaît pour y agrandir le point de vente. Au milieu des années 1980, les affaires fonctionnent toujours très correctement mais la rue Jules Guesde commence à se dégrader. De nombreux commerçants ferment et ne sont pas toujours remplacés. Max décide alors d’acquérir un second commerce dans une artère passante de la ville.

En 1987, il reprend la boucherie chevaline du 114 boulevard de Fourmies, ouverte depuis Juillet 1968, à L. Nollet-Marescaux. Deux ans après le rachat du commerce du boulevard de Fourmies, Max décide de transformer complétement le magasin. Un permis de construire est demandé pour la création d’un atelier de découpe et d’un magasin de vente. La boucherie de la rue Jules Guesde connait une baisse des ventes.

Max et Monique ont trois enfants ; Christine, Anne et Mathieu. Ce dernier, après ses études et un diplôme de BTS de gestion, commence son apprentissage pour apprendre le métier. Au milieu des années 1990 se répand partout en Europe, la crise de la vache folle ( maladie de Creutzfeldt-Jakob ) Le grand public est informé par les médias, ce qui engendre une crise sans précédent. C’est une catastrophe pour toutes les boucheries qui voient leurs ventes de bœuf se réduire mois après mois.

En 1995, Max et Monique décident d’une nouvelle transformation du magasin. La construction se réalise en continu du bâtiment existant, sur la rue Carpeaux. La même année, l’activité traiteur se développe, des plats chauds à 20 Frs sont proposés à la clientèle. Dix personnes travaillent désormais dans l’entreprise, dix professionnels animés d’une même passion pour leur métier, qu’ils soient bouchers, charcutiers, traiteurs ou vendeurs.

Leur objectif est le même : apporter à leurs clients une qualité irréprochable de produits frais, de qualité et préparés sur place. En 1996, Max veille scrupuleusement depuis des années à la qualité de la viande et choisit lui-même chaque bête chez les éleveurs et chevilleurs. Pour fêter l’an 2000, Max communique par de la publicité sur des labels qualité : Délicochon, Coopérative A1, Poulain du Nord, Belle bleue label rouge.

Max Dumeige prend sa retraite en 2002 et son fils Mathieu reprend l’affaire. La boucherie continue de façon satisfaisante durant les premières années. Les difficultés apparaissent ensuite, au début des années 2010, suite à des différents sérieux avec d’anciens employés, quelques erreurs de gestion, des charges trop lourdes, la concurrence des boucheries hallal, des remises aux normes onéreuses mais indispensables . . .

En Décembre 2017, Christophe Descheemaker, 46 ans, boucher chevalin, installé au Crétinier à Wattrelos depuis plus de 20 ans, reprend l’affaire et rebaptise le commerce : « la boucherie du boulevard » avec deux anciens salariés. Il reprend la même activité sauf la viande de cheval, pour ne pas concurrencer la boucherie hippophagique du 94 rue Carpeaux.

La boucherie est alors cédée à Rémy Scatizzi et Louis Camelot qui créent « Les Halles modernes », un quatrième point de vente après ceux de Croix, La Madeleine et Lille. Le magasin Les Halles modernes ne reste ouvert que quelques mois seulement. Le commerce est repris en Août 2023, par la boucherie « Molati » de Faïza Ghaïri qui était installée rue Charles Fourier à l’emplacement d’un caviste.

Les 2 commerces tenus par Max Dumeige, tant rue Jules Guesde que boulevard de Fourmies étaient historiquement des boucheries depuis très longtemps. Si la boutique de la rue Jules Guesde est de nos jours devenu un cabinet infirmier, celle du boulevard de Fourmies accueille toujours une boucherie.

Informations générales sur "Les Viandes du Lys"

Voici un tableau récapitulatif des informations générales concernant "Les Viandes du Lys":

Information Détail
Noms commerciaux LES VIANDES DU LYS
Capital social 100000,00 €
Statut RCS Inscrite Depuis le 24 août 1968
Statut INSEE Inscrite Depuis le 01 janvier 1968
Forme juridique SASU Société par actions simplifiée à associé unique
Numéro RCS Melun B 786850461
Secteur d'activité de l'entreprise Commerce de gros, à l'exception des automobiles et des motocycles

Au début du vingtième siècle, à l’entrée de la rue Jules Guesde, en venant du centre de Hem, côté pair il n’y a que des champs. A l’issue de la 2ème... L’aventure débute en 1958 par Marcel PRUVOST et Raymonde LEROY, son épouse, négociants en bestiaux. L’entreprise PRUVOST LEROY est aujourd’hui grossiste en viandes dans la région des Hauts-de-France. Notre entreprise est rigoureuse dans le choix de ses producteurs. Nous travaillons majoritairement avec des éleveurs respectant la charte nationale des bonnes pratiques d’élevage et contribuant au bien-être des animaux.

Les chauffeurs-convoyeurs Pruvost Leroy ont à cœur le bien-être des animaux, ils vérifient que les véhicules soient aménagés convenablement, que les normes de protection soient suivies et que les délais légaux réglementaires de transport ne soient jamais dépassés. Nous garantissons des produits de qualité grâce à un abattage opéré dans les règles de l’art. Nos ouvriers sont expérimentés, compétents et ont accès aux technologies nécessaires à un traitement sans cruauté.

Créée en 1958 par Marcel Pruvost, l’entreprise PRUVOST LEROY était à l’origine une société de négoce de bestiaux. Notre stratégie repose sur des engagements forts ainsi que sur l’expérience et les compétences de notre personnel. Je suis Delphine, la jeune épicière de Châteauroux-les-Alpes, un joli village haut-alpin. J’ai repris la petite épicerie de mon village natal en 2019.L’Épicerie des Lys a été créée par Carole, en 2009. Pendant 10 ans, elle a fait découvrir à nos papilles une multitude de saveurs. Je me suis très rapidement attachée à cette boutique en travaillant à ses côtés, en saison estivale .À la fin de mes études, j’ai eu l’opportunité de devenir, à mon tour, la gérante de l’Épicerie des Lys. C’est avec passion et fierté que je vous sélectionne des produits de qualité, en privilégiant le circuit le plus court, local, écologique & biologique possible..

La pisciculture des Ecrins se situe à Châteauroux-les-Alpes, dans des Hautes-Alpes. L’élevage de poissons d’eau douce de grande qualité est l’objectif de la ferme. Le Rucher de Rochefort est l’apiculture d’Ilirjan. Il nous produit du miel liquide & crémeux, à Esparron. De la ruche à la mise en pot, il prend soin des abeilles qui nous permettent de savourer ce bon miel ! Lachanenche, c’est avant tout une histoire de famille et de valeurs. Elle commence en 1994 quand Nicole et Daniel Million Rousseau, agriculteurs et passionnés des saveurs de la vallée de l’Ubaye, qui créent une liqueur de framboise après une récolte particulièrement abondante de fruits. Après plusieurs années, les enfants décident de reprendre l’entreprise de leurs parents en 2019.

Les charcutiers de la ville en ont toujours fabriqué. Ce jour là, de nombreuses manifestations ont lieu, et le moment le plus attendu de la journée, est sans aucun doute le " jet de l'andouille " de la Bretèche du Bailliage, par le maire d'Aire-sur-la-lys, sous le regard amusé de la Confrérie des Chevaliers de la Bonne Andouille. La seconde spécialité airoise, moins connue mais tout aussi savoureuse, se nomme " mastelle ". Une spécialité on ne peut plus locale, puisqu'elle n'est fabriquée que par deux pâtissiers airois. L'origine de la mastelle remonte à… longtemps.

Ils bénéficient d’une alimentation bio produite sur la ferme (triticale, avoine, pois) et profitent surtout du petit lait issu de la transformation des produits laitiers de la fromagerie. Ils reçoivent aussi de la drêche de la brasserie des Fontaines aux Verchers sur Layon. Le temps d’élevage est au minimum de 10 mois.Arrivés à maturité, les porcs sont livrés par groupe de 2 à 5 à l’abattoir municipal de Craon (53) (dernier abattoir municipal des Pays de la Loire). Les carcasses sont ensuite découpées, transformées (rillettes, pâtés, boudins) et conditionnées sous vide par la société Anjou Viande Service à Montreuil-Juigné.Chaque carcasse (cochon vidé, sans les viscères et le sang) représente environ 100 à 110 kg.

Produits proposés :Colis de 5 ou de 10 kg (sous vide) comprenant :- rouelles, rôtis,- côtes, escalopes (emballées par 2)- poitrine à griller (emballée par 2)- saucisses (emb. par 3)- chipos (emb.

Nous proposons des merguez, saucisses et saucissons de chèvre. Nous faisons également de la viande de cabri et de chevreau de lait en colis ou à la pièce. Les animaux sont donc élevés dans un milieu naturel bocager assez bien préservé qui permet de bonnes conditions d’élevage.

Pour la viande de bœuf :Vous avez le choix entre plusieurs types de colis en 10 kg ou 5 kg. 3 types de colis sont disponibles : Rôti, fondue et côte de bœuf (10 kg uniquement). Chaque type peut inclure du steak haché sans supplément; Les possibilités sont indiquées pour chacun dans les choix possibles ci-dessous. Nous pouvons inclure des abats (foie, cœur, rognons) sans supplément également. Indiquez-le nous dans la réponse libre (cf.

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