Révélez vos talents culinaires avec cette recette de cuisse de dinde au miel et épices, un plat sucré-salé qui saura ravir les papilles de vos convives. La cuisson lente en cocotte permet à la chair de s’imprégner des arômes du miel et des épices, offrant ainsi une expérience gustative unique. Ce plat convivial peut être servi en toutes occasions et représente une alternative intéressante au traditionnel poulet rôti. L’alliance du miel et des épices confère à la viande une saveur exquise et une tendresse incomparable. Suivez ces instructions simples pour un résultat digne des plus grandes tables !
Ingrédients pour 6 personnes
- Deux belles cuisses de dinde
- De la graisse d’oie
- 1 kg de pommes de terre grenaille
- Du thym
- 2 gousses d’ail
- 1 cube de bouillon de légumes
- Du beurre
- Du sel & du poivre
Préparation de la Cuisse de Dinde en Cocotte
- Préchauffez votre four à 180°C.
- Dans une cocotte en fonte qui va au four, faites fondre un peu de graisse d’oie (ou de l’huile d’olive).
- Faites colorer les cuisses sur les deux faces, d’abord la peau, puis l’autre côté, jusqu’à ce qu’elles soient bien dorées.
- Salez, poivrez, puis ajoutez les gousses d’ail entières.
- Dans le bol, mélangez le miel, la moutarde, le thym, le romarin, le paprika, le cumin en poudre, l’ail émincé, du sel et du poivre.
- Badigeonnez généreusement la cuisse de dinde avec la préparation au miel et aux épices.
- Ajoutez un grand verre d’eau (et un peu de vin blanc si vous le souhaitez) dans la cocotte, du thym, du persil, et parsemez la cuisse de dinde de bouillon de légume émietté.
- Couvrez et enfournez dans votre four préchauffé pour environ 1h30.
- Refermez la cocotte en fonte avec son couvercle et enfourner à four froid à 200°C pendant 30 minutes.
- Une fois ce délai écoulé, retournez les cuisses et enfournez pour 30 minutes supplémentaires.
- Au bout d’une heure, retournez une dernière fois la viande puis laissez cuire pendant encore 15 minutes.
- Arrosez régulièrement la viande avec son jus pour éviter qu’elle ne se dessèche.
Lorsque vous arrosez votre viande, utilisez une cuillère ou une louche pour répartir le jus sur toute la surface de la cuisse de dinde. Cette technique est appelée ‘arroser’, elle permettra à votre viande de rester juteuse et savoureuse pendant toute la durée de cuisson.
Accompagnement
Pendant la cuisson de la dinde, faites fondre de la graisse d’oie dans une sauteuse (ou mieux, dans une autre cocotte en fonte) et faites dorer les pommes de terre sans les éplucher. Ajoutez ensuite une pincée de gros sel et laissez cuire environ 1 heure à feu doux, jusqu’à ce qu’elles soient bien dorées et fondantes.
Variantes
Vous pouvez également préparer un rôti de dinde en cocotte de façon traditionnelle afin de lui conserver tout son moelleux. Laver les légumes. Éplucher et émincer l'oignon et la carotte. Éplucher la gousse d'ail. Faire chauffer l'huile d'olive dans une cocotte en fonte. Saler le rôti de dinde, puis le colorer sur toutes les faces. Le débarrasser puis le poivrer. Ajouter un peu de matière grasse dans la cocotte si nécessaire, puis faire suer les légumes avec une pincée de sel fin. Ajouter les aromates, déglacer avec l'eau et porter à ébullition.
Remettre le rôti, couvrir et cuire à petits frémissements pendant 30 à 40 min. Pelez l’oignon et émincez-le finement. Faites-le dorer dans une cocotte avec 2 cuillères à soupe d’huile d’olive, réservez. Disposez la cuisse de dinde dans la cocotte et faites-la dorer des deux côtés. Salez. Ajoutez les champignons, les oignons, le cube de bouillon et 200ml d’eau. Ajoutez la crème fraîche et poursuivez la cuisson 5 minutes. Le fait de hacher la gousse d’ail en avance mais de l’ajouter au plat au dernier moment est une façon de conserver au maximum ses bienfaits.
Conseils de Dégustation
Pour accompagner ce plat riche en saveurs, privilégiez un vin blanc moelleux comme un Gewurztraminer ou un Pinot gris d’Alsace qui soulignera délicatement les notes sucrées du miel tout en équilibrant les épices. La Cuisse de dinde aux champignons se marie parfaitement avec du vin rouge sec plutôt « évolué » comme un bon Pauillac, un Haut-Médoc, un Graves rouge, un Saint-Georges-Saint-Emilion ou encore un Puisseguin-Saint-Emilion.