Vous êtes à la veille d’aménager votre nouvelle cuisine, mais une question vous taraude encore : quelles plaques de cuisson choisir ? Fins cordons bleus ou cuisiniers du dimanche, voici de quoi vous aider à y voir plus clair avec ce mémo où nous avons listé les avantages et inconvénients de chaque mode de cuisson.
Élément central de la cuisine, la plaque de cuisson à induction est une alternative intéressante aux appareils de cuisson au gaz ou à l’électricité. De plus en plus de foyers français choisissent d’installer une plaque de cuisson à induction dans leur cuisine. Peu encombrante, peu chère, fonctionnelle, sécurisante, il faut dire que la plaque de cuisson à induction a vraiment tout pour plaire.
Les différents types de plaques de cuisson
Il existe quatre grands types de plaques de cuisson, chacun présentant des avantages et des inconvénients. Nous avons exclu d’office les plaques électriques au design révolu et aux performances médiocres, tant culinaires qu’énergétiques. Notez que les plaques permettent une plus grande liberté d’agencement dans la cuisine, mais les gazières, amovibles, présentent les mêmes qualités.
Plaques de cuisson au gaz
Plébiscitées par de nombreux professionnels, les plaques gaz continuent de séduire les amoureux de la cuisine traditionnelle. Techniquement, ce mode de cuisson nécessite un raccordement au gaz de ville (ou aux bouteilles).
Avantages des plaques au gaz :
- Prix : Les tables de cuisson gaz sont moins chères à l’achat que les plaques vitrocéramique et induction, et le prix du gaz est moindre que celui de l’électricité. Par ailleurs, elles ne nécessitent pas une batterie de cuisine spéciale.
- Puissance : Le gaz chauffe vite et fort. Certains modèles sont équipés d’un brûleur triple couronne, qui peut aller jusqu’à 5,50 kW, parfait pour la cuisson au wok ou les grillades.
- Précision des réglages et réactivité : Avec le gaz, le contrôle visuel de la puissance de la cuisson est immédiat via la flamme et le gaz répond immédiatement à la commande lorsque l’on active un bouton.
- Sécurité : Les plaques équipées d’un thermocouple coupent l’arrivée du gaz si la flamme s’éteint suite à un débordement.
Inconvénients des plaques au gaz :
- Installation délicate : Faites réaliser l’installation par un professionnel et contrôler sa conformité par votre fournisseur de gaz, si vous êtes relié au gaz de ville. Cette plaque nécessite la création d’une ventilation dans la cuisine afin d’éviter l’accumulation de monoxyde de carbone issu des combustions.
- Design : Il sera toujours moins pur qu’une simple plaque de verre bien que d’énormes efforts aient été faits à cet égard ces dernières années.
- Usage : Le gaz est moins facile à utiliser pour un enfant, même s’il y a maintenant un piezzo intégré sur chaque brûleur.
- Nettoyage : Quand des aliments coulent, ils brûlent sur les feux et le nettoyage est plus difficile que pour les autres modes en raison des différents éléments à démonter (grilles, brûleurs…) et des recoins.
- Entretien obligatoire : Nettoyez régulièrement brûleurs et bougies pour qu’ils ne soient pas encrassés. Surveillez l’état de votre tuyau de raccordement s’il a une durée de validité, et à la moindre fissure, changez-le ! (Pour une cuisine équipée, optez de préférence pour un tuyau à durée illimitée.) Sachez où se situe le robinet d’arrivée du gaz au cas où vous détecteriez une odeur suspecte.
Plaques vitrocéramiques
La plaque vitrocéramique est la remplaçante des antiques plaques chauffantes. Créée dans les années 70 par la marque Scholtès, elle se présente comme une plaque de verre aux touches tactiles sous laquelle sont placés soit des foyers radiants qui chauffent par rayonnement, soit des foyers halogènes, plus puissants, qui fonctionnent par impulsion. On distingue cette plaque de l’induction par le fait que le foyer devient rouge lorsqu’il chauffe.
Avantages des plaques vitrocéramiques :
- Design : Il s’agit d’une simple plaque de verre épurée, de quoi s’intégrer dans les logements en toute discrétion.
- Nettoyage facilité : Pas de recoins, un simple coup d’éponge suffit !
- Puissance : Les feux halogènes permettent de saisir les aliments.
- Prix : La vitrocéramique est moins chère à l’achat que l’induction et ne nécessite pas de changer sa batterie de cuisine.
Inconvénients des plaques vitrocéramiques :
- Problème de sécurité : Les feux restent chauds 10 minutes après extinction (coupez donc le feu avant la fin de la cuisson !). Un indicateur lumineux est là pour vous prévenir, mais les enfants n’en ont cure…
- Imprécision des réglages : La vitrocéramique monte difficilement en température et baisse lentement d’où un mauvais contrôle de la cuisson.
- Prix élevé à l’usage : Le rendement étant médiocre, la consommation électrique est élevée.
Plaques à induction
Dernière génération des modes de cuisson, l’induction bénéficie de toutes les récentes avancées. Si elle ressemble à s’y méprendre à la vitrocéramique, en revanche, sa technologie est différente. Lorsqu’une casserole contenant un métal ferreux (vérifiez avec un aimant) est en contact avec la plaque, les inducteurs qui sont placés en dessous réagissent en créant un champ magnétique à l’origine de la production de chaleur. Dès que la casserole est retirée, la plaque redevient froide. La table à induction classique présente plusieurs foyers mais existe avec une grande zone de cuisson, voire une « full zone » : la plaque entière est pilotable avec un seul bouton au besoin.
Avantages des plaques à induction :
- Design : Comme la vitrocéramique, il s’agit d’une plaque de verre discrète et épurée.
- Efficacité : L’induction concurrence totalement le gaz sur ses performances, voire les dépasse (montée en température plus rapide pour faire bouillir l’eau), et comme pour le gaz, les réglages sont précis et immédiats.
- À la pointe : L’induction concentre les innovations comme le maintien au chaud, le minuteur (programmation d’un temps de cuisson et d’une température) ou la fonction « booster » qui existe sur chaque foyer et accélère la montée en température.
- Sécurité : Dès que la casserole est retirée, la table redevient froide et, si on ne l’éteint pas, elle se coupera d’elle-même. La plaque induction comporte aussi une sécurité antidébordement et un verrouillage des fonctions.
- Entretien : Il est très simple, car du fait de la technologie de l’induction, les aliments ne brûlent pas s’ils tombent sur la plaque.
- Moins énergivore : Comptez 30 % de consommation électrique en moins qu’une plaque vitro.
Inconvénients des plaques à induction :
- Prix : Un modèle de qualité coûte de 300 à 500 euros, auxquels peut éventuellement s’ajouter le changement de la batterie de cuisine (autour d’une centaine d’euros). Optez pour des fonds de casseroles assez épais qui ne se déformeront pas.
- Fragilité : Elle peut se rayer, voire se casser, si on la heurte avec un objet lourd. Attention aux bords qui s’ébrèchent : certaines tables sont conçues avec un contour Inox pour plus de solidité.
- Important : Les tables à induction sont fortement déconseillées aux porteurs de pacemaker en raison du champ magnétique créé.
- Nécessité d’ustensiles compatibles : seules les casseroles et poêles avec un fond ferromagnétique peuvent être utilisées. Pour savoir si vos poêles, cocottes et casseroles sont compatibles avec l’induction, vérifiez la présence du symbole « induction ». Le plus souvent, il est directement sérigraphié sous le fond de l’ustensile. Plus simplement, le mot « induction » peut également y être écrit en toutes lettres. Une autre méthode consiste en un test simple. Placez un aimant sur le fond extérieur de la casserole. S’il reste aimanté, l’ustensile fonctionnera sur l’induction. Attention ! Si son fond n’est pas totalement plat, il est toutefois déconseillé de l’utiliser.
Fonctionnement des plaques à induction et vitrocéramiques
Qu’elles soient de type induction ou vitrocéramique, ces plaques partagent un point commun : leur surface en verre vitrocéramique. Les plaques à induction fonctionnent grâce à un champ magnétique généré par des bobines situées sous la surface vitrocéramique.
Lorsqu’un récipient compatible, contenant un fond ferromagnétique, est posé sur la plaque, ce champ magnétique produit un courant induit qui chauffe directement le récipient sans chauffer la plaque elle-même. Les plaques vitrocéramiques, quant à elles, utilisent une technologie plus proche des plaques électriques classiques. Elles sont équipées de foyers radiants ou halogènes qui diffusent la chaleur à travers la surface vitrocéramique. Cette chaleur est ensuite transmise au récipient.
Ferromagnétisme
Le ferromagnétisme est la propriété de certains matériaux, comme le fer ou l’acier, à être attirés par un aimant et à conserver une aimantation.
Consommation électrique
La consommation électrique de la plaque induction ou vitrocéramique varie en fonction de la technologie employée. Les plaques à induction se distinguent par leur efficacité énergétique et leur rapidité de chauffe. Cela signifie que l’induction est plus performante en termes de vitesse et de puissance, mais qu’elle peut consommer davantage d’énergie par cycle. Les plaques vitrocéramiques affichent un rendement énergétique inférieur, car elles chauffent l’air ambiant et la surface de la plaque en plus du récipient.
Rappelons qu’une plaque vitrocéramique consomme en moyenne 5 846 Wh par cycle, contre 10 689 Wh pour une plaque à induction. Mais si la consommation par cycle d’une plaque à induction soit plus élevée, elle compense par une rapidité de chauffe et une meilleure efficacité énergétique. On peut estimer le coût annuel de la consommation à 32,05 € par an pour une plaque vitrocéramique ; et 27,82 € pour une plaque à induction.
Tableau comparatif de consommation annuelle estimée
Type de plaque | Consommation par cycle (Wh) | Coût annuel estimé (€) |
---|---|---|
Vitrocéramique | 5 846 | 32,05 |
Induction | 10 689 | 27,82 |
Critères de choix d'une plaque de cuisson
- Le nombre et taille des foyers : les plaques à induction et vitrocéramiques sont généralement disponibles en 2, 3 ou 4 foyers.
- La puissance et la performance : les plaques à induction disposent souvent de fonctions « booster » qui accélèrent la montée en température, ce qui peut être un atout pour certaines cuissons.
- Les options et fonctionnalités : certaines plaques offrent des minuteurs indépendants, des capteurs de température ou encore une connectivité Wi-Fi permettant de contrôler la cuisson à distance.
- La facilité de nettoyage et d’entretien : grâce à leur surface plane, les deux types de plaques sont faciles à nettoyer.
- La sécurité : l’induction est plus sécurisée car la plaque ne chauffe pas directement, réduisant le risque de brûlures.
Conseils d'utilisation pour économiser l'énergie
- Utiliser des couvercles lors de la cuisson pour éviter les pertes de chaleur et réduire le temps de chauffe.
- Adapter la taille du récipient à celle du foyer pour éviter de gaspiller de l’énergie.
La plaque à induction est idéale pour ceux qui cuisinent fréquemment et recherchent une solution rapide et efficace. La plaque vitrocéramique représente une option plus abordable à l’achat. En résumé, la plaque à induction est un investissement rentable sur le long terme grâce à sa consommation plus faible et sa rapidité.
Si les plaques à induction sont généralement plus chères que les plaques vitrocéramiques, elles sont moins énergivores. Leur coût d’usage est donc moindre. Il existe des plaques de cuisson dotées de 2, 3 ou 4 feux. Certaines disposent également d’une zone de cuisson modulable. Certaines plaques à induction sont mixtes, combinant des feux à induction et à gaz.
Particularités des plaques à induction
La cuisson induction permet de monter très rapidement en température, permettant par exemple de faire bouillir de l’eau en très peu de temps. Elle est aussi plus économique : elle chauffe directement le fond du récipient et non son environnement, évitant toute déperdition d’énergie.
De plus, lorsque le récipient est retiré, elle se coupe instantanément et il n’y a donc plus de risque d’oublier d’éteindre la plaque. L’induction fonctionne grâce à un champ magnétique qui s’active au contact du métal du récipient. Si on retire le récipient de la zone à induction, celle-ci s’éteint alors automatiquement.
Caractéristiques des plaques vitrocéramiques
Les plaques dites vitrocéramiques, quant à elles, fonctionnent à l’image d’une plaque électrique en diffusant la chaleur produite non pas via un foyer en fonte, mais grâce à un système radiant ou halogène. C’est ce qui confère une plus grande sécurité d’utilisation aux plaques à induction.
Contrairement aux foyers radiants (rougissants), les zones de cuisson à induction ne chauffent pas directement le verre vitrocéramique (seul le fond du récipient le chauffe). Le verre ne monte donc pas aussi haut en température et se refroidit plus rapidement.
Tests et évaluations
Nous évaluons la facilité d’emploi de toutes les plaques de cuisson à induction testées. Les performances de cuisson sont un critère essentiel dans le choix d’une plaque à induction. Celles-ci peuvent fortement varier d’un modèle à l’autre. Montée en température, cuisson à faible puissance et homogénéité de cuisson font ainsi partie des critères évalués lors de notre test de plaques de cuisson à induction.
Pour éviter une facture d’électricité trop salée, il est préférable de choisir une plaque à induction ayant une consommation raisonnable. Contrairement aux fours encastrables, les plaques induction ne disposent pas à ce jour d’étiquette énergie. Il existe pourtant quelques différences entre les modèles. C’est pourquoi lors de nos tests, nos experts mesurent la consommation électrique des différents modèles de plaques à induction.
Les dimensions d’encastrement : La grande majorité des plaques de cuisson à induction dispose de dimensions d’encastrement standard, à savoir 56 cm de large et 49 cm de profondeur. Ces mesures correspondent aux dimensions de la découpe dans le plan de travail et non aux dimensions extérieures de la plaque. La dimension du verre peut ainsi varier d’un modèle à l’autre.
Le bruit : Les plaques à induction sont en règle générale relativement silencieuses. Leur niveau sonore peut cependant augmenter selon la puissance utilisée ou lors de l’utilisation du booster. Nous évaluons le bruit émis par les plaques à induction lors de nos tests.
La plupart des plaques à induction sont de couleur noire. Toutefois, il est possible d’en trouver dans des tons un peu plus clairs (gris, gris foncé, anthracite…), voire beiges ou blancs. Ces couleurs peuvent être plus salissantes et moins durables que le noir.
Prix et marques
Le prix des plaques à induction peut varier de 200 € à plus de 1 000 €. Cette différence de prix se justifie avant tout par le nombre de feux et d’options proposées : plus leur nombre est élevé et leur flexibilité importante, plus le prix de la plaque de cuisson augmentera.
De nombreuses marques proposent des modèles de plaques à induction, qu’il s’agisse de marques de distributeurs ou de fabricants. Parmi les principales, citons notamment : Bosch, Candy, Faure, Brandt, De Dietrich, Electrolux, Ikea, Miele, Neff, Rosières, Sauter, Siemens, Whirlpool, etc.
Les différents types de zones de cuisson
Votre plaque de cuisson induction est en panne ? Cette 3e zone est généralement de grande largeur (supérieure à 28 cm), ce qui permet l’utilisation de grands récipients tels que des bassines à confiture, des plats à paëlla ou des poêles de large diamètre.
Les plaques à induction les plus généreuses peuvent compter jusqu’à 5 zones de cuisson, ce qui n’est pas sans poser quelques contraintes d’encastrement et de raccordement électrique. Elles sont particulièrement appréciées en ville, dans les petits espaces, et peuvent remplacer le traditionnel domino de 2 plaques électriques en fonte qui équipe les kitchenettes.
Plaques mixtes
Comme pour les plaques mixtes 3 + 1 (3 foyers gaz + 1 plaque électrique), il existe des plaques de cuisson mixtes à induction alliant le plus souvent 2 zones à induction à 2 foyers à gaz ou, plus rarement, à 2 foyers radiants.
Avantage : en combinant ces deux technologies, on fait fi des inconvénients de chacune pour choisir la plus adaptée à son récipient ou à sa recette. À noter, les plaques mixtes induction-gaz fonctionneront toujours en l’absence d’électricité, à l’exception de l’allumeur électrique.
Autres fonctionnalités et caractéristiques
Le nombre de récipients et leur position sont détectés par la plaque. La puissance et la durée de cuisson sont réglables par l’intermédiaire d’un écran tactile. De manière générale, les zones à induction s’adaptent au diamètre du fond du récipient utilisé, jusqu’à une certaine limite.
Des récipients de trop faible diamètre ne fonctionneront pas forcément sur l’induction. De même, si vous souhaitez exploiter l’intégralité de la puissance d’un foyer à induction, il faut impérativement utiliser un récipient dont le fond est de diamètre égal au foyer en question. L’efficacité de la zone à induction est liée au diamètre du récipient.
Nous vous conseillons donc d’utiliser un récipient dont le diamètre du fond est le plus proche possible du diamètre de la zone de cuisson à induction. Attention à ne pas confondre le diamètre du fond et le diamètre du récipient. Cette différence est particulièrement importante pour les poêles à frire. Elles permettent une utilisation sans force et s’activent plus ou moins aisément suivant leur sensibilité paramétrée en usine.
Puissance maximale : La puissance des plaques à induction se situe entre 4 600 W et 7 600 W pour un modèle de 3 à 4 zones. Il s’agit de la puissance maximale annoncée ou puissance de raccordement électrique.
Les nombreux niveaux de puissance (entre 9 et 20) permettent d’élever progressivement la température dans les récipients. Le booster permet d’utiliser une zone de cuisson à une puissance très élevée, au-delà de sa puissance maximale. Pour fonctionner, il emprunte de la puissance aux zones complémentaires.
Minuteurs : Les minuteurs se révèlent particulièrement utiles. Généralement simples d’emploi, ils permettent de limiter la durée de la cuisson à une puissance donnée et vous préviennent par un signal sonore, plus ou moins audible et récurrent. Tout danger de laisser brûler ses aliments est ainsi écarté.
Certains fabricants proposent par ailleurs de connecter directement plaque de cuisson et hotte de cuisine. Cela permet ainsi de déclencher automatiquement la ventilation en fonction de ce que vous avez sur le feu (nombre de foyers utilisés, puissance sélectionnée…).
Sécurités
9, 10, 12, 16… le nombre de sécurités fait l’objet de surenchères entre fabricants. Le point sur les principales sécurités et leur intérêt.
Type de sécurité | Fonction |
---|---|
Indicateur de chaleur résiduelle | Si la zone de cuisson ne chauffe pas directement, elle peut monter en température par l’intermédiaire du récipient posé dessus. L’indicateur de chaleur résiduelle permet d’identifier les zones encore trop chaudes, même une fois à l’arrêt. |
Verrouillage des commandes | Cette sécurité s’active par appui sur une ou plusieurs touches. Elle permet d’inhiber le bandeau de commandes. Très utile pour protéger d’une utilisation maladroite par un enfant ou lors du nettoyage. |
Anti-débordement | Le fonctionnement de la plaque à induction est coupé en cas de débordement sur les commandes sensitives de la plaque. |
Anti-surchauffe | Un capteur de température permet de limiter le fonctionnement de tout ou partie de la plaque à induction. |
Détection de petits ustensiles | L’induction est compatible avec tout type d’ustensile ferromagnétique. Néanmoins, l’inducteur ne se mettra pas en route si l’ustensile est trop petit, de la taille d’un couvert par exemple. |
Absence de récipient | Présenté comme une sécurité, le détecteur d’absence de récipient est plutôt lié au principe de fonctionnement de l’induction. La présence d’un élément ferromagnétique reste en effet indispensable à son utilisation. |
Arrêt automatique | Certains modèles s’arrêtent automatiquement (ou réduisent leur puissance) après un certain temps sans intervention de l’utilisateur. Cette durée peut être variable en fonction de la puissance utilisée. |
Entretien
La surface lisse, dure et sans boutons des plaques à induction simplifie l’entretien. Les touches sensitives peuvent être inhibées durant le nettoyage.
Avant de commencer le nettoyage, il est nécessaire d’attendre le refroidissement de la plaque de cuisson. Pour nettoyer une plaque dotée d’une surface en verre, n’utilisez pas d’éponge abrasive (éponges à dos récurant ou tampons en paille métallique). Une éponge douce fera l’affaire. Dans le cas où des aliments auraient adhéré à la plaque, vous pouvez utiliser un grattoir plat. Évitez tout produit abrasif ! Certains produits spécifiques permettent de nettoyer la vitrocéramique tout en limitant les traces post-entretien.
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