La ferritine est une protéine dont la mission est de stocker le fer dans l'organisme. Un niveau élevé de ferritine, appelé hyperferritinémie, peut révéler des maladies inflammatoires chroniques, des troubles hépatiques ou une surcharge en fer. Selon une étude relayée par Cairn, environ 7 % des patients hospitalisés présentent une hyperferritinémie, toutes pathologies confondues.
Vous venez de recevoir vos analyses sanguines et votre taux de ferritine est au-dessus des normes ? Pas de panique ! La ferritine est une protéine qui stocke le fer dans votre organisme. Lorsque son taux devient trop élevé (au-delà de 200 µg/L chez les femmes ou 300 µg/L chez les hommes), on parle d’hyperferritinémie.
Qu'est-ce que l'hyperferritinémie ?
L’hyperferritinémie se caractérise par une concentration anormalement élevée de ferritine dans le sang (supérieure à 200 µg/L chez les femmes ou 300 µg/L chez les hommes). La ferritine est présente dans le foie, la rate et la moelle osseuse, où elle sert de réserve de fer. Son excès peut être révélateur de diverses maladies, allant des affections inflammatoires aux pathologies métaboliques.
Ce trouble se détecte par un simple test sanguin, mais son diagnostic peut parfois s'avérer plus complexe, car les causes sont variées. "Les symptômes de l’hyperferritinémie sont assez masqués au début, ce trouble peut donc passer inaperçu dans ses premiers stades", explique Raphaël Gruman. "C'est donc généralement grâce à une prise de sang qu'il est détecté".
Causes de l'hyperferritinémie
Dans le sang, le taux de ferritine reflète la quantité de fer stockée dans l’organisme. Un taux normal garantit un équilibre entre les apports en fer et son utilisation. Un taux de ferritine élevé peut se manifester de diverses façons. Lorsque des signes apparaissent, ils sont généralement liés à la cause sous-jacente de l’hyperferritinémie.
L’interprétation des résultats de la ferritine dépend des valeurs mesurées et du contexte clinique. Une ferritine élevée chez les femmes est moins fréquente que chez les hommes, en raison des pertes menstruelles qui réduisent les réserves de fer.
"Statistiquement, les causes principales de ferritinémie élevée sont le syndrome métabolique, l’alcoolisme, le syndrome inflammatoire et la cytolyse", indique la Revue Médicale Suisse. Les maladies du foie, comme la stéatose hépatique, peuvent aussi faire grimper les taux de ferritine.
"Plus rarement, d'autres pathologies endogènes peuvent être en cause, comme des maladies orphelines ou certains cancers", ajoute le nutritionniste. En revanche, il est extrêmement rare que l'hyperferritinémie soit causée par la seule alimentation. "Même si l'on mangeait du foie de veau, du boudin noir et de la viande rouge tous les jours, on n’arriverait pas à avoir un taux de ferritine trop élevé, notre corps a de bonnes capacités d'élimination naturelle. Il régule naturellement l'absorption du fer en fonction de ses besoins".
En revanche, ajuster son alimentation peut faire partie du traitement de l’hyperferritinémie, notamment en évitant les aliments riches en fer et l’alcool.
Hyperferritinémie et alimentation
L’alimentation joue un rôle crucial dans la gestion de ce déséquilibre. Certains aliments peuvent aggraver la situation en apportant trop de fer ou en favorisant son absorption, tandis que d’autres peuvent vous aider à maintenir un taux normal.
La ferritine est bien plus qu’une simple protéine, c’est le gardien des réserves en fer de votre corps ! Elle capture le fer en excès dans votre sang pour le stocker puis le libérer quand votre organisme en a besoin. Mais comment savoir si votre taux est problématique ? Les valeurs normales sont généralement inférieures à 200 µg/L chez les femmes et 300 µg/L chez les hommes.
Les conséquences d’un excès prolongé de fer sont sérieuses : le fer en surplus peut s’accumuler dans vos organes (foie, cœur, pancréas) et les endommager progressivement. Cela peut conduire à une cirrhose hépatique, des troubles cardiaques, du diabète ou même des douleurs articulaires chroniques.
La bonne nouvelle ? Adapter votre alimentation constitue l’une des premières lignes de défense contre cette surcharge. Face à une hyperferritinémie, votre assiette devient votre première alliée - ou votre pire ennemie !
Aliments à limiter ou à éviter
Tout d'abord, il convient de rappeler que toutes les hyperferritinémies ne se traduisent pas par un excès de fer dans le sang. Selon le Vidal.fr, il en existe trois types :
- avec surcharge en fer (hépatosidérose dysmétabolique, hémochromatose…)
- sans surcharge (alcoolisme, syndrome inflammatoire...)
- par lyses cellulaires (hépatites chroniques, hémolyses, myolyses)
Ensuite, Raphaël Gruman précise que "c'est surtout la perte de poids qui va permettre de générer une diminution de la ferritine", mais qu'en parallèle, "éviter les aliments riches en fer peut aussi aider à réduire le taux de ferritine".
Premier groupe à limiter drastiquement : les viandes rouges et les abats. Le bœuf, l’agneau et surtout le foie sont extrêmement riches en fer héminique, une forme absorbée à 25% par l’organisme (contre seulement 5% pour le fer non héminique des végétaux).
Les fruits de mer constituent un autre groupe à surveiller. Les huîtres, moules et palourdes sont particulièrement riches en fer. Méfiez-vous également des sources moins évidentes : les algues et la spiruline, souvent présentées comme des superaliments, sont en réalité très concentrées en fer.
Enfin, attention aux aliments transformés enrichis en fer. Vérifiez systématiquement les étiquettes - le fer est souvent ajouté aux farines, pains et pâtes industriels.
Les principaux aliments à éviter en cas de ferritine élevée sont les viandes, en particulier la viande rouge (bœuf, agneau), le boudin noir, les abats, la charcuterie et le canard, car ce sont celles qui contiennent le plus de fer", indique le nutritionniste. On y pense moins mais les fruits de mer (huîtres, moules, palourdes...) sont aussi une importante source de fer, il convient donc de les limiter.
Il est aussi très important d'éviter la consommation d'alcool. Et pour cause : l'alcool augmente l'absorption du fer dans l'intestin, ce qui peut aggraver la surcharge en fer et son accumulation dans les organes - notamment le foie.
Par ailleurs, Raphaël Gruman conseille fortemment d'éviter les compléments alimentaires de vitamine C (acide ascorbique), car cette dernière fixe le fer. "D'autant que la carence en vitamine C est relativement rare. Or, dans les pays occidentaux, on a tendance à abuser de ces suppléments, sans en avoir vraiment besoin". En revanche, il n'y a aucun risque à consommer des fruits et des légumes qui en contiennent, car les apports fournis sont très différents.
Enfin, le nutritionniste préconise de réduire ses apports en provitamine A - également connue sous le nom de bêta-carotène. "Cela suppose de ne pas abuser des carottes, des patates douces ou encore des courges, mais aussi d'éviter le jus de tomate, très concentré en bêta-carotène".
Saviez-vous que certains aliments, même s’ils ne contiennent pas beaucoup de fer, peuvent considérablement augmenter son absorption ? En tête de liste : les aliments riches en vitamine C. Cette vitamine peut transformer le fer non héminique (moins bien absorbé naturellement) en une forme beaucoup plus assimilable par votre corps.
Le timing est crucial : consommer ces aliments pendant ou juste après un repas contenant du fer peut augmenter son absorption jusqu’à 3 fois ! L’alcool représente un autre danger majeur. Non seulement il favorise l’absorption du fer, mais il peut également endommager votre foie, aggravant les effets néfastes d’une surcharge en fer.
Les boissons et aliments sucrés constituent un autre groupe à surveiller. Les sodas et jus de fruits industriels peuvent contenir des acides qui augmentent l’absorption du fer. Adoptez cette règle simple : évitez de combiner sources de fer et « amplificateurs » dans un même repas.
Aliments à privilégier
Bonne nouvelle ! Certains aliments peuvent devenir vos meilleurs alliés en réduisant naturellement l’absorption du fer. Le thé, qu’il soit noir ou vert, est particulièrement efficace. Les tanins qu’il contient peuvent inhiber 70 à 90% de l’absorption du fer non héminique ! Une tasse après le repas peut donc faire une différence significative.
Les produits laitiers méritent une mention spéciale. Le calcium qu’ils contiennent entre en compétition directe avec le fer lors de l’absorption intestinale. Pour vos sources de protéines, privilégiez la volaille et les poissons maigres qui contiennent moins de fer héminique que la viande rouge.
Les légumineuses (lentilles, pois chiches) représentent une bonne alternative végétale. Même si elles contiennent du fer, elles sont également riches en phytates qui en limitent l’absorption. L’astuce des experts ? Organisez vos repas stratégiquement : commencez par les aliments inhibiteurs d’absorption (produits laitiers, thé) avant de consommer ceux qui contiennent du fer.
On peut essayer d’augmenter ses apports en antioxydants", suggère Raphaël Gruman. "Ceux-ci aident à lutter contre l'oxydation du fer, et ainsi à réduire le taux de ferritine sanguin". De plus, les antioxydants peuvent aider à protéger les cellules du corps contre les dommages liés à l'excès de fer. On les trouve surtout dans les fruits et légumes colorés. En particulier, les légumes à feuilles vertes (brocoli, épinards, chou kale...), les fruits rouges, les agrumes ou encore le kiwi.
Privilégiez également les céréales complètes (riz complet, pain complet, avoine) et les aliments riches en fibres (légumes verts, fruits frais), qui ralentissent l'absorption du fer non héminique grâce à leur contenu en phytates, des composés qui se lient au fer et réduisent son assimilation.
Le calcium contenu dans les produits laitiers contribue, lui aussi, à réduire l’absorption du fer - y compris le fer héminique. Consommer des yaourts, du lait ou du fromage pendant les repas peut donc aider à réduire la quantité de fer absorbée. Les eaux minérales riches en calcium peuvent avoir un effet similaire.
Enfin, "n'hésitez pas à terminer votre repas par un thé ou un café", ajoute l'expert. Ces boissons contiennent des polyphénols, notamment des tanins, qui inhibent l’absorption du fer. On estime, à titre indicatif, que le thé inhibe 70 à 90 % de l'absorption du fer non héminique.
Aliments riches en phytates et en oxalates
En cas d’hyperferritinémie, il est recommandé de privilégier les aliments riches en phytates et en oxalates, car ces substances ont la capacité de réduire l’absorption du fer dans l’intestin.
Les phytates (ou acide phytique) se trouvent principalement dans les aliments d’origine végétale, tels que :
- Les céréales complètes (riz complet, avoine, blé complet)
- Les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots)
- Les noix et les graines (amandes, noix de cajou, graines de tournesol)
Les phytates agissent comme des inhibiteurs de l'absorption du fer non héminique, le fer présent dans les végétaux. Ils se lient au fer dans l'intestin, empêchant sa bonne absorption par l’organisme. En cas d’hyperferritinémie, qui résulte souvent d’une surcharge en fer, consommer ces aliments riches en phytates peut aider à réguler le niveau de fer absorbé, en ralentissant son assimilation.
Les oxalates sont également des composés végétaux que l'on retrouve dans des aliments comme les épinards, les blettes, la rhubarbe, les betteraves ou encore le chocolat. Comme les phytates, les oxalates inhibent l’absorption du fer en se liant à lui dans l’intestin, le rendant moins disponible pour l’absorption par l’organisme.
Bien que certains aliments riches en oxalates, comme les épinards, soient eux-mêmes riches en fer, ce fer est peu absorbé en raison de la présence d'oxalates. C’est pourquoi ces aliments peuvent être consommés en toute sécurité en cas d’hyperferritinémie, malgré leur teneur en fer.
Conseils alimentaires spécifiques
- Quelle viande manger quand on a trop de ferritine ? "En cas de ferritine trop élevée, mieux vaut privilégier les viandes les moins riches en fer. À savoir : le poulet, la dinde, le lapin et le veau", détaille Raphaël Gruman. Vous pouvez également miser sur d'autres sources de protéines, comme les poissons maigres (cabillaud, sole, colin...), le tofu, le tempeh, les œufs, les produits laitiers ou encore les légumineuses.
- Quel légume manger quand on a trop de fer ? Comme évoqué précédemment, privilégiez les légumes riches en fibres et en antioxydants, comme les crucifères et les légumes à feuilles vertes.
- Quels fruits peuvent aider à faire baisser le taux de fer ? Pour ce qui est des fruits, une fois encore, misez sur les plus riches en fibres et en antioxydants, en particulier les fruits rouges (framboises, mûres, myrtilles et autres baies). "Ils ne vont pas directement faire baisser le taux de fer, mais ils vont être intéressants pour limiter l’oxydation du fer ainsi que son assimilation", précise le nutritionniste.
Hémochromatose et alimentation
L’hémochromatose est une maladie génétique caractérisée par une absorption excessive de fer par l’intestin. Ce trouble provoque une accumulation progressive de fer dans divers organes, principalement le foie, le cœur et le pancréas, pouvant entraîner des complications graves comme la cirrhose, le diabète, ou des problèmes cardiaques si elle n’est pas traitée.
Le fer étant un métal réactif, son excès peut provoquer des dommages oxydatifs et inflammatoires dans les tissus concernés. L'hémochromatose est généralement causée par une mutation dans le gène HFE, responsable de la régulation de l'absorption du fer.
En cas d’hémochromatose, l’alimentation joue un rôle clé dans la gestion des niveaux de fer. L’objectif est de réduire l’apport en fer héminique, d’éviter les aliments qui favorisent son absorption, et de privilégier ceux qui inhibent l’absorption du fer.
Voici les principales recommandations alimentaires :
- Limiter les viandes rouges et abats, qui sont riches en fer hémique (beaucoup mieux absorbé que le fer non héminique des végétaux). Privilégiez les viandes blanches comme le poulet et la dinde, qui contiennent moins de fer héminique.
- Favoriser les protéines végétales comme les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots secs), le tofu ou encore le tempeh.
- Éviter la vitamine C pendant les repas : celle-ci favorise l'absorption du fer non héminique. Vous pouvez consommer les fruits et légumes riches en vitamine C (agrumes, poivrons, kiwis) à d'autres moments de la journée.
- Boire du thé ou du café avec les repas : ils contiennent des polyphénols qui réduisent l'absorption du fer. Attention toutefois à ne pas en consommer en excès, car ils peuvent affecter l’absorption d'autres nutriments.
- Miser sur les produits laitiers : le calcium qu'ils contiennent inhibe l'absorption du fer.
- Faites le plein de fibres en consommant des céréales complètes (riz complet, pain complet...) et d'autres aliments riches en fibres (légumes verts, fruits). Elles ralentissent l'absorption du fer en raison de leur teneur en phytates. Ces derniers se lient au fer et diminuent son assimilation par l'intestin.
- Limiter ou éviter l'alcool : il est particulièrement néfaste en cas d'hémochromatose, car il augmente l'absorption du fer et favorise les dommages hépatiques - sur un foie déjà vulnérable, en raison de l'accumulation du fer.
- Éviter les suppléments en fer, les multivitamines contenant du fer, ainsi que les suppléments de vitamine C. Consultez toujours un médecin avant de prendre des compléments alimentaires, même s'ils ne contiennent pas de fer.
Traitements de l'hyperferritinémie
Le traitement de l’hyperferritinémie dépend de sa cause. En cas d’hémochromatose, le principal traitement est la saignée thérapeutique (phlébotomie), qui permet de réduire les niveaux de fer dans le sang en éliminant une partie des globules rouges.
Si la phlébotomie n'est pas possible, comme chez certains patients anémiques ou cardiaques, des médicaments chélateurs de fer peuvent être prescrits. Ces traitements permettent d'éliminer le fer par les urines ou les selles.
Pour les cas dus à des inflammations chroniques, le traitement consiste généralement à prendre en charge la maladie sous-jacente. Par ailleurs, certaines modifications alimentaires, comme celles évoquées précédemment, peuvent aider à réguler le taux de ferritine.
"Généralement, il s'agit d'une prise en charge pluridisciplinaire", précise Raphaël Gruman. De manière générale, un suivi régulier avec un médecin généraliste ou un hématologue est indispensable pour ajuster le traitement au fil du temps.
Consulter un diététicien ou un nutritionniste peut aussi être utile, afin d'adapter son régime alimentaire en fonction de son état de santé. En cas de syndrome métabolique, un suivi par un endocrinologue ou un diabétologue peut être nécessaire. Et pour traiter les éventuelles complications de l'hyperferritinémie, votre médecin traitant peut vous orienter vers un cardiologue et/ou un hépatologue.
Complications possibles de l'hyperferritinémie
L'hyperferritinémie peut entraîner de graves complications si elle n'est pas correctement gérée. Parmi celles-ci, les complications hépatiques, telles que la cirrhose et la stéatose hépatique, sont fréquentes, résultant de l'accumulation de fer dans le foie.
Cette surcharge peut également affecter le cœur, provoquant des problèmes tels que la cardiomyopathie et l'insuffisance cardiaque, qui se manifestent par une fatigue excessive, des arythmies et d'autres symptômes cardiovasculaires. En outre, l'excès de fer peut perturber les fonctions endocriniennes, entraînant des troubles comme le diabète de type 2 et l'hypogonadisme.
D'autres complications comprennent des douleurs articulaires dues à l'arthropathie, ainsi que des problèmes cutanés, tels que l'hyperpigmentation. Un excès de fer peut également affaiblir le système immunitaire, rendant les individus plus vulnérables aux infections. Enfin, il existe un risque accru de certains cancers, notamment le cancer du foie, chez les personnes souffrant de surcharge en fer, particulièrement dans le cadre de l'hémochromatose.
Une surveillance régulière des niveaux de ferritine et un traitement approprié sont essentiels pour prévenir ces complications graves.
Quand consulter un médecin ?
Il est recommandé de consulter un médecin si vous présentez :
- Une fatigue inexpliquée persistante.
- Des douleurs articulaires ou abdominales récurrentes.
- Une coloration anormale de la peau.
- Des antécédents familiaux d’hémochromatose.
Une surveillance médicale est essentielle pour éviter les complications liées à une ferritine élevée, en particulier les atteintes hépatiques et cardiaques.
Tableau récapitulatif des aliments
Aliments à Limiter/Éviter | Aliments à Privilégier |
---|---|
Viandes rouges et abats | Volaille et poissons maigres |
Fruits de mer | Légumineuses |
Aliments transformés enrichis en fer | Produits laitiers |
Alcool | Thé (noir ou vert) |
Suppléments de vitamine C | Céréales complètes |
Aliments riches en bêta-carotène | Fruits et légumes riches en antioxydants |
Gérer une hyperferritinémie demande de la vigilance mais n’impose pas un régime drastique. En comprenant quels aliments favorisent ou inhibent l’absorption du fer, vous pouvez continuer à profiter d’une alimentation variée tout en prenant soin de votre santé. Consultez toujours un professionnel de santé pour un suivi personnalisé, car chaque situation est unique. N’oubliez pas que ces ajustements alimentaires s’inscrivent dans une démarche globale qui peut inclure d’autres mesures comme des saignées thérapeutiques dans certains cas. La clé du succès ? Constance et patience !
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