BIMESTIMUL est un complément alimentaire spécialement conçu pour favoriser une digestion optimale et soutenir la santé hépato-digestive des animaux de la ferme. Les animaux de la ferme peuvent parfois rencontrer des problèmes de digestion difficile, en particulier lors de transitions brusques ou de sevrages.
Composition et Bienfaits de BIMESTIMUL
La formulation de BIMESTIMUL repose sur des ingrédients clés soigneusement sélectionnés pour leurs bienfaits sur la santé digestive et hépatique des animaux :
- Sorbitol : Avec son action cholagogue et cholérétique, il favorise la production et l'écoulement de la bile, contribuant ainsi à une meilleure digestion des graisses.
- Bétaïne : Un facteur lipotrope présent dans BIMESTIMUL, qui aide à lutter contre la surcharge graisseuse et la stéatose hépatique.
- Oxyde de magnésium : Joue un rôle crucial dans les équilibres ioniques extra-cellulaires et intracellulaires.
Effets Bénéfiques de BIMESTIMUL
- Réduit les troubles liés aux transitions brutales dans l'alimentation.
- Prévient les troubles liés aux sevrages.
- Possède un effet lipotrope grâce à la bétaïne, aidant à prévenir la surcharge graisseuse et la stéatose hépatique.
- Contribue à l'équilibre ionique grâce à l'oxyde de magnésium.
Administration de BIMESTIMUL
BIMESTIMUL est facile à administrer, que ce soit en le dissolvant dans du lait, de l'eau ou tout autre aliment liquide. Voici les étapes à suivre :
- Dissoudre le produit : Diluez la quantité recommandée de BIMESTIMUL dans du lait, de l'eau ou un aliment liquide.
- Administration : Donnez la solution de BIMESTIMUL à votre animal selon les doses recommandées.
- Durée du traitement : Administrez BIMESTIMUL pendant une période de 10 jours consécutifs.
- Suivi : Pendant le traitement, surveillez attentivement l'état de votre animal et notez toute amélioration ou changement notable.
Conseils Importants pour l'Utilisation de BIMESTIMUL
- Respecter les doses recommandées en fonction de l'espèce animale.
- Administrer quotidiennement pendant une période de 10 jours.
- Adapter les doses en fonction de l'âge et du poids de l'animal.
- Conserver le produit dans un endroit frais, sec et à l'abri de la lumière directe du soleil.
- Consulter un professionnel de la santé animale en cas de questions ou de préoccupations spécifiques.
Il est important de rappeler que BIMESTIMUL est un complément alimentaire et ne remplace pas un traitement médical approprié en cas de maladie ou de conditions de santé graves.
Conditionnement de BIMESTIMUL
BIMESTIMUL est disponible en différents conditionnements pour répondre aux besoins des éleveurs :
- Conditionnement de 500 g : Convient parfaitement aux éleveurs ayant des besoins plus restreints ou souhaitant tester le produit.
- Conditionnement de 1 kg : Permet une administration régulière sur une période prolongée et offre un bon rapport qualité-prix.
- Conditionnement de 5 kg : Offre des économies d'échelle significatives et réduit la fréquence d'approvisionnement nécessaire pour les grands troupeaux.
Quel que soit le conditionnement choisi, les éleveurs peuvent compter sur la qualité et l'efficacité de BIMESTIMUL, un produit développé par les laboratoires Bimeda, un acteur reconnu dans le domaine de la santé animale.
Besoins Nutritionnels des Truies en Gestation
Les besoins nutritionnels des truies changent pendant la gestation et l’apport alimentaire doit satisfaire à cette demande, d’où le besoin d’une alimentation par phases. L’objectif de la production porcine moderne est de maximiser la quantité et la qualité de la viande porcine produite par truie par an (ou au cours de sa vie) au moindre coût. Le premier pas est de s’assurer que la truie produit un nombre approprié de porcelets par portée, par an ou au cours de sa vie.
En général, la quantité d’aliment fourni aux truies pendant la gestation est basée sur leurs besoins énergétiques et sur la teneur énergétique de l’aliment (pour fournir 30 MJ EM/jour à partir d’un aliment contenant 12,5 MJ EM/kg, il faut 2,5 kg d’aliment/jour). En matière d’acides aminés, la lysine est considérée l’acide aminé le plus limitant, et la teneur en lysine de l’aliment peut être calculée si l’on connaît les besoins ainsi que la quantité d’aliment fourni (pour fournir 15 g de lysine DIS/jour à partir de 2,5 kg d’aliment celui-ci doit contenir 6 g de lysine DIS/kg). Les priorités et les besoins nutritionnels changent pendant la gestation, et la quantité d’aliment à fournir est influencée par cela.
En début de gestation (jour 1-28) l’objectif est d’assurer le plus grand nombre d’embryons de qualité, ainsi que de récupérer les réserves corporelles que la truie a perdues pendant la lactation et entre le sevrage et la saillie. Pour les truies qui ont perdu des réserves corporelles considérables et de l’état corporel, l’augmentation de la ration alimentaire peut être bénéfique, le but étant d’atteindre et de maintenir un bon état métabolique et endocrinien, essentiel au bon développement et à la bonne survie embryonnaire et fœtale.
Par exemple, Hoving et al. (2011) ont montré que l’augmentation de la ration alimentaire de 2,5 à 3,25 kg/jour chez les truies qui avaient perdu un poids corporel considérable accroissait la taille de la portée de 13,2 à 15,2 porcelets par portée. En milieu de gestation (jour 29-84) les besoins énergétiques augmentent de 2-3 MJ/jour, et ils peuvent être comblés en augmentant la ration alimentaire à raison de 0,15-0,20 kg/jour. En fin de gestation (jour 85-115), lorsque la plupart de la croissance fœtale et mammaire a lieu, il y a une augmentation significative des besoins nutritionnels de la truie, et il est habituel d’augmenter la ration alimentaire à raison de 0,5 kg/jour ou plus, en fonction de l’état corporel de la truie et des conditions environnantes.
Lorsque les besoins en lysine des animaux sont connus, les besoins en autres acides aminés essentiels peuvent être calculés sur la base du principe de “la protéine idéale”. Dans le passé, cette proportion était considérée comme constante tout au long de la gestation. Les calculs les plus modernes des exigences en acides aminés se basent pour la plupart sur des modèles, qui montrent que ces besoins changent non seulement en fonction de la phase de gestation mais aussi de la parité de la truie.
Par exemple, par rapport à la lysine, il y a de grandes différences en termes d’équilibre - et plus particulièrement pour la thréonine, le tryptophane et la méthionine+cystine. Ceci peut être expliqué par le fait qu’en début et en milieu de gestation les principaux besoins concernent le maintien et le gain de protéines maternelles, alors qu’en fin de gestation les exigences pour le développement fœtal et mammaire augmentent, et l’équilibre en acides aminés peut devoir être ajusté.
En termes d’énergie, une stratégie basée sur un seul régime peut suffire (12,5 MJ EM/kg), en augmentant les niveaux le 85e jour de gestation. L’application de différents régimes alimentaires devrait être possible dans une station d’alimentation informatisée. Autrement, on peut distribuer la ration de gestation de base et la compléter par un supplément apporté « en surface » à partir du 84e jour de gestation.
Alimentation Équilibrée et Contrôlée pour les Porcs
Le porc est un animal omnivore, c’est-à-dire qu’il assimile aussi bien les aliments d’origine végétale que ceux d’origine animale. Cependant, au sein des élevages français, leur alimentation est à base de produits végétaux. Un porcelet n’aura pas les mêmes besoins qu’une truie par exemple. Le porc doit avoir de l’eau en libre accès en permanence. Les conseils d’alimentation présentés sont adaptés à un système conventionnel et un logement des porcs sur caillebotis.
A la naissance, le porcelet tête le colostrum qui est un aliment très riche en anticorps et qui lui assurera les défenses naturelles essentielles au bon déroulement du début de sa vie. Jusqu’à son sevrage, le porcelet tètera 1 litre de lait maternel par jour. Le porcelet a besoin d’une alimentation riche en acides aminés pour assurer sa croissance. Pour cela, il est nourri essentiellement avec de la poudre de lait mélangée avec du blé et des céréales en flocons.
Des compléments peuvent être distribués pour aider le porcelet durant ses premières semaines de vie. On retrouve par exemple le complément FORCIX qui permet de réduire la dysbiose intestinale. En général, la ration alimentaire d'une truie en gestation doit être suffisante pour couvrir ses besoins énergétiques et protéiques, tout en évitant l'excès de poids. Une ration riche en fibres est également importante pour favoriser la satiété et maintenir la santé digestive de la truie.
Importance des Oméga 3
Les oméga 3 sont des acides gras polyinsaturés absolument essentiels pour le bon fonctionnement de l’organisme, qui ne sait pas les fabriquer.
- Le maquereau est le poisson le plus riche en oméga 3, avec plus de 4500mg par portion de 100g.
- Les viandes et oeufs d’animaux nourris avec une source d’ALA sont également bien pourvus en oméga 3.
Certains végétaux sont de bonnes sources d’oméga 3, sous forme d’ALA que le corps doit convertir en EPA et DHA. Bien que le taux de conversion chez l’Humain soit inférieur à 5%, il est important d’en consommer pour varier les formes d’apport en oméga 3.
- La graine de chia avec plus de 5g aux 100g.
- Les noix, avec 2,5g aux 100g.
Certaines variétés d’algues sont très riches en DHA, et en EPA dans de moindres proportions. Toutefois, les méthodes de cultures plus récentes peuvent encourager la production naturelle d’EPA et de DHA à des niveaux pouvant permettre leur extraction et utilisation dans les compléments alimentaires.
Les suppléments d’oméga 3 sont particulièrement recommandés aux personnes qui s'alimentent avec peu de produits provenant de sources animales. Pour les personnes qui consomment de trop grandes quantités d’aliments raffinés, il est conseillé d’augmenter ses apports en oméga 3 de façon à équilibrer le rapport oméga 3/ oméga 6 à des valeurs proches de 1 pour 2. S’il n’existe pas de dosage universel concernant les oméga 3, on sait que l’apport minimum journalier doit être de l’ordre de 500mg d’EPA et de DHA combinés et de 2000mg lors d’une supplémentation.
S’il est plutôt difficile de faire une surdose, il est toutefois recommandé de ne pas dépasser 5000mg par jour. On peut prendre des oméga 3 tous les jours sans aucun risque et un apport quotidien est même conseillé ne serait-ce que pour permettre un renouvellement cellulaire optimal. Les oméga 3 sont en effet essentiels à la structure des membranes cellulaires, dans lesquelles ils se stockent.
Il est recommandé de consommer des sources végétales riches en ALA tous les jours et de préférer les œufs et les viandes d’animaux nourris avec des sources d’ALA comme le lin. Les oméga 3 sont spécifiquement corrélés à la prévention du surpoids et de l’obésité, notamment en régulant les niveaux d’hormones liées à la satiété. Chez les personnes obèses, les oméga 3 semblent augmenter de façon significative les quantités circulantes de leptine, une hormone qui réduit l’appétit.
Les oméga 3 semblent aussi augmenter le métabolisme, ce qui favorise directement la mobilisation du tissu adipeux. En effet, plus le métabolisme est élevé, plus le corps brûle des calories. Selon les études disponibles, les oméga 3 pourraient élever le métabolisme basal de 4 à 14%, des valeurs qui varient selon le dosage et la durée de la supplémentation. Particulièrement intéressant pour les sportifs et les personnes physiquement actives, les oméga 3 aideraient le corps à mieux utiliser ses stocks de graisse comme source d’énergie.
Collagène : Un Complément Alimentaire Bénéfique
Le collagène est une protéine fibreuse constituée de trois chaînes d’acides aminés qui s’entrelacent pour former une triple hélice. Ce collagène peut être exploité pour différents usages, et notamment pour élaborer des compléments alimentaires de peptides de collagène. Dans ces produits, la molécule de collagène a été dénaturée et réduite en petits fragments. La composition en acides aminés des compléments de peptides de collagène peut légèrement varier selon la source animale utilisée. Il comporte tout d’abord une plus grande diversité dans sa composition en acides aminés d’une espèce à l’autre.
Au cours des dernières années, de nombreuses études ont été menées pour évaluer les effets des peptides de collagène sur différents aspects de la santé et du bien-être chez l’homme. Le collagène est un composant essentiel des cartilages articulaires, qui représente les deux tiers de leur poids sec. La supplémentation en collagène est ainsi étudiée avec attention dans le contexte des problèmes articulaires, et notamment en cas d’arthrose. Cette affection est caractérisée par une dégradation progressive du cartilage articulaire. La quasi-totalité des études menées dans ce contexte a mis en évidence l’efficacité de cette approche, quelle que soit la source de collagène utilisée.
En revanche, en dehors du contexte de l’arthrose, l’avantage entre ces deux types spécifiques de collagène semble pencher du côté de l’origine porcine. La plus faible dose ayant entraîné des effets positifs a concerné des peptides de collagène de poisson, dans le cadre d’une étude observationnelle. Dans le cadre des douleurs articulaires, la molécule native de collagène de type II provenant de cartilage de poulet a également fait les preuves de son efficacité. Le collagène de type II contient des épitopes, des régions particulières de la molécule reconnues par le système immunitaire. Ces portions franchissent la barrière intestinale et sont ensuite captées par les cellules dendritiques. Ainsi activées, elles vont induire la formation de lymphocytes T régulateurs. Ces globules blancs gagnent la circulation sanguine et se dispersent dans l’organisme. Les essais cliniques menés pour évaluer l’efficacité de ce type de collagène ont de manière globale mis en évidence une réduction des douleurs et une amélioration de la fonction articulaire.
Une part importante de la recherche sur le collagène cible ses effets sur la peau. Cette molécule constitue environ 80% de son poids sec. Lorsque des peptides de collagènes sont consommés, on observe une élévation de la concentration sanguine en petits fragments composés de deux ou trois acides aminés, en particulier Gly-Pro-Hyp et Pro-Hyp, qui se retrouvent au niveau de la peau. Un des études a été conduit avec des peptides de collagène d’origine porcine. Il a rassemblé 69 femmes de 35 à 55 ans, qui ont reçu 2,5g ou 5g de ce produit pendant 8 semaines. À la fin de l’étude, l’élasticité de la peau a augmenté, quel que soit le dosage, par rapport au placebo.
Une des études à avoir mis en évidence des bienfaits sur l’hydratation de la peau a été menée avec deux produits de la même marque, un provenant du poisson, l’autre du porc. Le dosage utilisé était plus élevé que dans les deux études précédentes, de 10g par jour sur une durée identique. Dans la seconde partie de leur étude, les chercheurs ont continué les investigations avec l’extrait issu de poisson. Une méta-analyse ayant compilé les résultats de 26 de ces essais cliniques menés auprès de 1 721 personnes permet de faire la synthèse de l’ensemble des données. Elle a conclu que l’effet de la supplémentation en peptides de collagène sur l’élasticité de la peau est indépendant de la source. En revanche, ce paramètre est déterminant pour l’hydratation. Les suppléments les moins efficaces dans ce cadre sont ceux dérivant de poulet.
Un essai clinique a montré qu’un supplément élaboré à partir de la peau de poisson-chat (Pangasius hypophthalmus) contenant plus de 15% de tripeptides dont 3% de Gly-Pro-Hyp, agit à la faible dose quotidienne de 1g administrée pendant 12 semaines. Les suppléments de peptides de collagène sont également utilisés pour améliorer la composition corporelle, optimiser la force musculaire et favoriser la récupération après l’activité physique.
Dans la première, les participants âgés de 55 à 80 ans ont gagné 3,5% de masse musculaire après 24 semaines de supplémentation en collagène à hauteur de 15g par jour. Dans la seconde, le supplément a été pris pendant 12 semaines, en parallèle d’un entraînement de résistance. La supplémentation en collagène a donc apporté un soutien aux participants sarcopéniques dans les deux cas.
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