La chocolaterie des Princes, une institution stéphanoise, enchante les palais depuis des générations. Vous retrouverez cette boutique renommée à La Tour-en-Jarez, dans la Loire, à proximité de Saint-Étienne. Ici, on parle pur beurre de cacao, ganaches parfumées de fruits et d’épices et pralinés fins. Au Chocolat des Princes, vous aurez droit à une large gamme de spécialités travaillées avec un savoir-faire exceptionnel.
Un Héritage Chocolaté
La maison Chocolat des Princes est une histoire de famille. Elle cède le Chocolat des Princes à un professionnel de talent en 1999: Alain Duvert. Guillaume Duvert est depuis fin janvier le nouveau propriétaire de Chocolat des princes, véritable institution stéphanoise. Et pour cause : sans pour autant être l’héritier du Chocolat des princes autrement que moralement, ses parents en ont été les propriétaires de 1999 à 2011. Le repreneur Guillaume Duvert, DG depuis septembre, avait déjà travaillé 4 ans dans l’entreprise quand ses parents en étaient propriétaires de 1999 à 2011.
Spécialités Incontournables
Qui ne connaît pas, à Saint-Etienne, ses Grêlons du Pilat, Anthracite et autres Malakoffs pralinés ? Les stars de la maison ce sont les Malakoffs et les Grêlons du Pilat. Une multitude de produits est proposée (Malakoffs, Grêlons du Pilat, Verveine du Velay, chocolats assortis) ; prévoir une glacière en cas de temps chaud pour la transport des chocolats dans de bonnes conditions.
- Grêlon du Pilat: ganache de chocolat au lait avec de la noisette macérée dans l'alcool et saupoudrée de sucre glace.
- Chocolats à la verveine du Velay
- Anthracite: une pâte de sésame à la forme brute d'un éclat de minerai, spécialité qui a vu le jour en 2009.
De ces « bonbons chocolatés », l’essentiel de sa production (80 %, le reste étant de petits chocolats et tablettes emballés), la maison en compte une quarantaine. Les changer ? Surtout pas. C’est ce qui fait, en partie, l’essence, l’héritage de Chocolat des princes.
Savoir-Faire et Innovation
L’heureux mariage du savoir-faire et de l’innovation a porté ses fruits. Il y a dans ses ateliers de La Tour-en-Jarez, des machines centenaires ou presque pour certaines, motrices de méthodes de fabrication « à l’ancienne », rarement trouvables ailleurs. La sélection des meilleures fèves de cacao apporte la touche finale et la garantie de qualité à ses produits.
L'Expérience Chocolat des Princes
Même la visite proposée au cœur des ateliers est craquante. Vous l’aurez compris, tous les ingrédients sont réunis pour vous faire fondre. Des chocolats uniques et des coffrets somptueux vous invitent à la dégustation. C'est ce qui vous attend dans la boutique des douceurs du Chocolat des Princes.
Horaires des visites : Visites proposées en semaine à 9h30. Les prochaines dates pour 2025 : 22/01 - 24/02 et 6/03 (vac. scolaires hiver zone A ) - 9/04 - 24/04 (vac.
Avis et Recommandations
Chocolat des Princes est recommandé par 100% des couples qui ont fait appel au service de ce prestataire. Sa note globale est de 5.0 et il a obtenu cette note pour la qualité de son service, sa flexibilité, son rapport qualité-prix, son professionnalisme et son temps de réponse. Votre confiance est notre pilier. Notre plateforme repose sur des avis sincères qui aident les couples à faire leur choix.
Cadeaux de Mariage
Chez Chocolat des Princes, il est possible d'acheter les cadeaux pour les invités du mariage de 3,50€ jusqu'à 50€. Actuellement, Chocolat des Princes dispose de 1 promotion de réduction exclusive pour les services de mariage.
L'Avenir de Chocolat des Princes
Et ces mains comptent bien développer la maison en s’appuyant sur une valeur patrimoniale et une dimension humaine propices au « storytelling », notion si chère aux canons actuels du marketing. Chocolat des princes n’est, localement, pas la moins connue de toutes ces boîtes à chocolat, pour beaucoup artisanales. Ce dernier n’est sûrement pas qu’un investisseur et il faut souligner avant toute chose que cette maison, fondée en 1897, il la connaît très bien.
« Notre famille est lyonnaise, avoue-t-il sans jamais « décourber » le sourire. Mais on connaît très bien ce qui fait Saint-Etienne, son contexte, ses PME, ses atouts. »
La « saison », l’enjeu annuel chez Chocolat des princes, c’est Noël, la fin d’année. Infiniment plus que Pâques et ses 10 % de ventes totales. Pas le moindre des enjeux non plus, quand le seul cacao se négocie à 10 000 dollars la tonne. Il y a une douzaine d’années, il ne fallait sortir que 2 500 billets verts.
Guillaume Duvert a eu le temps de signer ces approvisionnements parce qu’il est revenu dans la maison depuis septembre dernier, alors en qualité de directeur général. Il était, en effet, entendu avec Marc Mandel qu’il reprendrait ensuite complètement les rênes en rachetant le tout. Mais la possibilité de reprendre Chocolat des Princes revient sur la table. Guillaume Duvert n’hésite pas et le deal se fait.
« Chocolat des Princes n’a pas beaucoup bougé commercialement depuis 10 ans. Le chiffre d’affaires est stable, en légère progression (il devrait être d’environ 3,75 M€ en 2023/24) mais je suis convaincu, sans partir dans une folie des grandeurs, que l’on peut faire beaucoup, beaucoup mieux. »
Premiers objectifs : assoir les clients fidèles (le CA est à 50 % en « b to b », vente aux professionnels dont l’ASSE, par exemple, n’est pas le « partenaire » le moins prestigieux) ou encore réveiller le rythme des visites au sein des 3 500 m2 d’ateliers dont les pros comme les particuliers sont si friands.
« Nous venons d’embaucher une webmaster qui travaille entre autres, là-dessus. D’autres recrues devraient suivre, en force commerciale notamment. Car je vais aussi, dès la saison prochaine, lancer une ou deux boutiques éphémères en France pour faire parler de nous en m’appuyant sur mon réseau dans le monde du commerce. »
Faire parler de Chocolat des Princes passe par une mise en avant, certes de produits, mais aussi de ses process traditionnels qui permettent de les fabriquer et, enfin, de tous ce hommes et femmes mettant avec passion, la main à la pâte au quotidien. Le nouveau patron songe à déposer un dossier de labellisation d’Entreprise du patrimoine vivant (EPV).
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