Quand et comment commencer la diversification alimentaire de bébé ?

Vous êtes nombreux à vous interroger sur la façon de débuter la diversification alimentaire. C’est compréhensible. Jusque là tout allait bien. Et puis voilà. Tout d’abord rassurez vous. Celle-ci doit reposer sur le bon sens et l’écoute des réactions de l’enfant. De plus, ces notions diffèrent d’un pays à l’autre et les enfants s’en portent tout aussi bien. Il existe beaucoup de points de vue contradictoires sur cette question, mais pas de panique !

La diversification alimentaire consiste à introduire des aliments autres que le lait (aliments solides) dans l'alimentation du nourrisson allaité ou recevant du lait pour nourrissons. Elle conduit progressivement à une alimentation familiale vers l’âge de 1 à 2 ans.

Elle est essentielle pour répondre aux besoins nutritionnels de l’organisme et couvrir ses besoins en vitamines et minéraux. C’est la diversité des propositions que vous ferez à votre enfant qui l’aidera à apprécier la nouveauté.

L'âge idéal pour commencer la diversification

Il est recommandé de commencer la diversification, c’est-à-dire introduire dans l’alimentation de votre bébé, des aliments autres que le lait, entre 4 et 6 mois : jamais avant 4 mois révolus, mais pas au-delà de 6 mois révolus.

La diversification alimentaire ne peut se faire avant 4 mois et pas après 6 mois révolus. Il est nécessaire de toujours demander conseil à un professionnel de santé.

La diversification alimentaire peut commencer à partir de 4 mois révolus. Mais plusieurs autres facteurs vont être pris en compte par le pédiatre pour savoir si Bébé est prêt : sa courbe de croissance, son appétit, son éveil, et bien sûr son intérêt pour la nourriture.

On part donc sur 4 mois au plus tôt, mais rien ne vous empêche de commencer à 6 mois - c’est même tout à fait NORMAL ! Par contre, avant les 4 mois de Bébé, c’est du lait, et rien que du lait (lait maternel ou infantile, même si, on le rappelle, l’OMS recommande un allaitement exclusif jusqu’à 6 mois).

Dès les 4 mois de votre bébé, il est possible de commencer la diversification car c’est à cet âge que la plupart des bébés développent leur capacité à digérer les aliments solides. Petit rappel : après 6 mois le lait maternel ou infantile est insuffisant pour répondre aux besoins nutritionnels de bébé. Il est nécessaire d’introduire d’autres aliments dans ses repas pour continuer son développement.

L'âge de la diversification a beaucoup changé au fil du temps. Actuellement, la diversification est débutée chez un nourrisson en bonne santé au plus tôt après l'âge de 4 mois révolus et au plus tard à l'âge de 6 mois.

Comment savoir si mon bébé est prêt pour la diversification ? Seul le pédiatre ou un professionnel de santé est en mesure de savoir si votre bébé peut commencer la diversification alimentaire à 4 mois.

Signes indiquant que bébé est prêt

Certains bébés sont curieux et manifestent leur intérêt pour les nouveaux aliments rapidement. D’autres enfants préfèrent prendre leur temps. Pas de panique, chacun son rythme !

En effet, la diversification alimentaire est pleine de nouveautés pour bébé : nouveaux goûts, nouvelles odeurs, nouvelles couleurs, nouvelles textures, … Alors on prend le temps, on observe bébé et ses réactions. Quelques signes qui permettent de savoir si bébé est intéressé :

  • Pendant vos repas, il suit votre cuillère des yeux
  • Il est intrigué par ce qu'il y a dans votre assiette
  • Il mime la mastication pendant que vous mangez

Si vous constatez un ou plusieurs de ces signes et que bébé a bien l’âge requis, il est temps d’envisager la diversification de l’alimentation de votre tout-petit.

Enfin, certains critères de développement physiologique sont révélateurs de sa maturité. Si votre nourrisson sait tenir sa tête, rester en position assise avec un support et s’il porte des objets à sa bouche, il y a de grandes chances pour qu’il soit prêt à essayer d’autres aliments que le lait.

Votre bébé semble toujours avoir faim et demande sans cesse à manger depuis plusieurs jours. Il porte également des objets à sa bouche et s’intéresse à votre assiette. Ces signes sont des preuves que votre bébé est prêt à ce que vous introduisez de nouvelles nourritures à son alimentation.

Il est important de consulter son médecin traitant ou son pédiatre avant de commencer une diversification alimentaire pour s’assurer que le bébé est prêt à recevoir de nouveaux aliments. Tous les bébés se développent différemment. Restez attentif aux signes et commencez cette merveilleuse expérience lorsque votre enfant sera prêt.

Comment commencer la diversification alimentaire ?

Choisissez un moment où vous êtes disponible pour votre enfant, par exemple pendant un week-end ou des vacances. Et si vous avez envie de le voir manger de la purée mais qu’il refuse, c’est peut-être qu’il n’est pas encore prêt.

Quand commencer à diversifier le repas de bébé ? Il est préférable de choisir un jour sans stress, où vous êtes pleinement disponible pour votre enfant. On conseille habituellement de commencer à midi, avant l’alimentation lactée, quand les bébés ont faim.

Comment commencer la diversification alimentaire ? Il est préférable de commencer par une purée de légumes, pour faciliter leur acceptation ultérieure.

On suggère de débuter la diversification alimentaire avec une purée de légume nature (purée « mono-saveur »). Il est souvent recommandé de commencer par les légumes plutôt que les fruits, afin d’éviter que bébé ne développe une préférence trop importante pour le goût sucré, au risque de bouder les légumes.

Tous les légumes peuvent lui être donnés. Faites attention aux fonds d’artichaut, feuilles de choux, navets, poivrons et salsifis qui sont difficiles à digérer et qui pourraient favoriser la production de petits gaz, sources de ventre ballonné et inconfortable. En revanche, n’hésitez pas à vous lancer dans des purées créatives ou des petites soupes un peu épaisses, en y mettant un peu de pommes de terre pour qu’elles soient plus homogènes et onctueuses.

A partir de 4 mois résolus, introduisez des légumes tendres et non fibreux comme les courgettes (sans pépins et peau), les carottes, les haricots verts ou encore les épinards. Les blancs de poireaux sont un aliment idéal pour la diversification alimentaire des bébés grâce à leurs qualités nutritionnelles et leur faible teneur en allergènes.

Les premiers aliments solides que vous pouvez donner à votre bébé sont les légumes. Pour commencer, choisissez des légumes faciles à digérer, assez doux en goût. Voici quelques exemples : carottes, courgettes, betterave, potiron, haricots verts, etc. Le grand classique pour la première purée, c’est la carotte !

On commence comment la diversification alimentaire ? Sur la diversification alimentaire à 4 mois, tu as peut-être entendu que les recommandations de Santé Publique France ont changé en 2021. Et oui, fini l’ère du légume orange à donner en premier pendant 3 jours d’affilée. Aujourd’hui, on recommande de faire découvrir au nourrisson toutes les familles d’aliments (légumes, viandes, poissons, féculents, œufs, lentilles secs…) en même temps, sans ordre particulier à respecter. Mais rassurez-vous : on n’est pas obligé de tout donner au cours du même repas, on y va petit à petit et on répartit sur la semaine.

Il n’y a pas d’ordre particulier à respecter pour introduire les différents groupes d’aliments entre 4 et 6 mois : légumes, fruits, volaille, poisson, viande, œufs, légumes secs (lentilles, haricots, pois chiches…), féculents (pâtes, riz, semoule, pain même complets), produits laitiers.

On part donc sur 2 à 3 cuillerées à café, avant ou après le biberon (ou la tétée) et on augmente progressivement en fonction de l’appétit de Bébé. De préférence pas dans le biberon afin de l’habituer à la cuillère. Pour que la découverte des légumes se passe au mieux, on suit quelques règles simples et basiques.

Au début, mixez finement tous ces aliments. Favoriser la variété plutôt que la monotonie dans la diversification. Mieux vaut lui présenter un goût nouveau tous les jours (un seul) plutôt que d’introduire un aliment unique pendant une semaine.

Voici quelques conseils : De 4 à 8 mois, proposez à votre bébé des aliments mixés (préparation lisse), puis moulinée de 8 à 10 mois (préparation moins lisse). Les morceaux ne sont introduits qu'à partir de l'âge de 10 mois. Cette progression prévient la survenue de troubles de l'oralité et en particulier le refus des morceaux.

Les fruits

Vous pourrez également les introduire dès le début de la diversification. Ils ont un goût sucré. Ils seront donc assez facilement acceptés. Ne sucrez pas les compotes, elles ne le sont quasiment pas quand elles sont en petits pots pour bébés. Vous pouvez aussi intervertir avec les légumes.

Les fruits peuvent être introduits dès les 4 mois révolus de l’enfant. Préférez les introduire après les légumes en raison de l’attrait des bébés pour le sucré. Tous les fruits peuvent être proposés tant qu’ils sont mûrs et mixés finement.

Après la découverte des principaux légumes, vous pourrez proposer une purée de fruits (c’est-à-dire une compote sans sucre ajouté) à midi ou au goûter.

Comme pour les légumes, on commence par quelques cuillères de compotes de fruits natures. Le lait reste toujours la base de l’alimentation à chaque repas.

Là encore, tous les fruits peuvent être proposés à Bébé à ses 4 mois révolus. Mais mieux vaut la jouer stratégique : au début de la diversification alimentaire, les nourrissons apprécient particulièrement la pomme, la banane et la poire.

Viande, poisson et oeufs

Commencer par une cuillère café de viande, de poisson ou d’œuf bien cuit et mixé (5 à 10 g). A partir de 6 mois, introduisez des produits laitiers de préférence infantiles dans l’alimentation de votre bébé. Elles possèdent de nombreux atouts nutritionnels pour votre enfant. A partir de 6 mois, vous pouvez mélanger des farines et des céréales à du lait infantile ou une soupe de légumes.

La viande et le poisson sont des sources de fer utiles pour prévenir les carences chez le nourrisson. Entre 4 et 6 mois, introduisez tout type de poisson qu’ils soient gras ou maigres. Pour les viandes, tout est autorisé sauf la charcuterie (il n’est recommandé que le jambon blanc sans gras ni couenne). Enfin les œufs doivent être consommés durs.

À partir de 6 mois, les besoins nutritionnels de l’enfant évoluent et vous allez commencer à lui proposer de la viande, du poisson et de l’œuf en petite quantité : à vous les recettes plus élaborées mêlant légumes, féculents et viande, poisson ou œuf !

Les aliments du groupe viandes, poissons, et oeufs peuvent aussi être proposés chaque jour. Ils sont proposés de préférence au repas du midi, mixés seuls ou avec les légumes.

On peut proposer des œufs, certaines races de viandes et plusieurs espèces de poissons à son bébé de 4 mois. On commence généralement par lui faire goûter de la volaille (poulet, dinde) côté viande, et des espèces comme le merlu, le cabillaud, la sole, le merlan, la limande ou le lieu côté poisson (soit les poissons blancs).

Recommandations de quantités de protéines animales
Âge Quantité
4-6 mois Pas plus de 5g par jour (1 cuillère à café)
6-8 mois 10g par jour (2 cuillères à café)

Ne dépassez pas 10 g de viande ou poisson (soit 2 cuillères à café) ou 1/4 d'œuf dur, une fois par jour. Cuisez bien la viande, le poisson et les œufs pour éviter un risque de toxi-infection alimentaire et de toxoplasmose.

Féculents

Les féculents peuvent également être introduits dès le début de la diversification. A partir de 6 mois, vous pouvez mélanger des farines et des céréales à du lait infantile ou une soupe de légumes.

Les céréales infantiles sont des aliments de première diversification intéressants et sûrs. Pour débuter en douceur, introduisez des céréales sans gluten dès 4 mois et avec gluten dès 6 mois (pour prévenir les risques d’allergies). Elles permettent de diversifier les goûts et les textures du lait et ainsi éviter que bébé ne se lasse !

À 4 mois, Bébé peut commencer à introduire les pommes de terre et autres féculents (pâtes, riz, semoule, pain). Les produits avec du gluten de manière générale peuvent être introduits dans son alimentation. On peut proposer des féculents complets ou semi complets selon la façon dont l’enfant le digère.

Proposez de temps en temps des légumes secs (lentilles, pois chiches, haricots secs…) en purée lisse dès 4 à 6 mois, en veillant à ce que l’enfant les digère bien.

L'importance des matières grasses

A partir de 6 mois, il est conseillé d’ajouter des matières grasses à chaque repas de légumes. On peut utiliser de l’huile végétale (colza, noix, olive, etc.), une noisette de beurre ou un peu de crème.

Oui, car le besoin en lipides est plus élevé chez les nourrissons que chez les adultes, les graisses étant indispensables à son bon développement. Privilégiez les matières grasses d'origine végétale (huile olive, colza) et évitez les fritures.

Le gras c’est la vie ! Et oui, contrairement aux préjugés, il faut donner des matières grasses à Bébé. On les ajoute crues aux purées (sauf dans les petits pots qui en contiennent déjà). On privilégie les huiles, et on varie les plaisirs (huile de colza, huile de noix, huile d’olive).

Les quantités

Concernant les quantités, commencez par quelques cuillères et vous augmenterez au fur et à mesure en fonction de la réaction de bébé. S’il refuse, n’insistez pas. Resollicitez le quelques jours après. Il n’y a pas d’urgence.

Pendant les premières semaines, quelques cuillères à café de purée ou de compote chaque jour suffisent. Ensuite, on peut augmenter les quantités progressivement.

Jusqu’à 6 mois, le lait maternel couvre les besoins nutritionnels de l’enfant. C’est pourquoi, lorsqu’on démarre l’introduction d’aliments solides, on donne de toutes petites quantités, l’équivalent de quelques cuillères à café de purée. Quelques jours plus tard, augmentez les quantités (4 à 5 cuillères). Continuez ainsi progressivement, jusqu’à lui proposer l’équivalent d’un petit pot (130 g).

Au démarrage, le but n’est pas de nourrir votre bébé, mais de l’éveiller et de le familiariser à goûter de nouvelles saveurs et textures.

Fréquence d'introduction des aliments

Concernant la fréquence d’introduction, tout dépend des réactions de votre enfant. S’il est « facile », vous pouvez quasiment lui faire découvrir un nouveau légume par jour.

Si votre enfant n’aime pas un aliment, il est important de le lui proposer à nouveau dans les semaines qui suivent. La répétition de la proposition (sans jamais le forcer) est très efficace mais il faut lui présenter parfois 8 à 10 fois. Au-delà s’il n’aime toujours pas, il y a de fortes chances que votre enfant n’apprécie définitivement pas ce produit.

Si cela vous est possible, préférez les purées et compotes faites maison. Les premières fois, on peut proposer un aliment en toute petite quantité, sur le bout d’une cuillère ou du doigt juste avant la tétée.

Allergies alimentaires

Aujourd’hui, on sait qu’un bébé peut commencer à découvrir toutes les familles d’aliments entre 4 et 6 mois, y compris ceux qui peuvent provoquer une allergie (œuf, arachide, poudre d’amandes ou de noisettes…). Pareil pour le gluten.

En introduisant un aliment à la fois en petite quantité, vous pourrez vite détecter une réaction de l’enfant.

Il existe 14 allergènes majeurs, que sont : les céréales à gluten (blé, orge, seigle, avoine…), les crustacés, les poissons, l’œuf, le soja, le lait (y compris le lactose), les fruits à coque, le céleri, la moutarde, les graines de sésame, l’anhydride sulfureux et les sulfites, le lupin et les mollusques.

Si votre enfant présente une allergie diagnostiquée, suivez les conseils de votre pédiatre. Dans tous les cas, la transparence de l’étiquetage des produits infantiles vous aidera à identifier ceux qu’il peut consommer sans risque, car les allergènes doivent obligatoirement être mis en avant. Lisez toujours attentivement la liste des ingrédients figurant sur les produits, et faites-le systématiquement car les recettes peuvent évoluer.

Lait maternel et lait infantile

L’introduction des aliments solides ne signifie pas l’arrêt de l’allaitement, bien au contraire ! L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande de poursuivre l’allaitement en complément de la diversification alimentaire jusqu’à au moins 2 ans, ou aussi longtemps que la mère et l’enfant le souhaitent. Le lait maternel reste une source essentielle de nutriments et d’anticorps pour bébé.

Lors de la diversification, il est préférable d’introduire progressivement de nouveaux aliments tout en maintenant les tétées à la demande. Entre 4 et 6 mois, le but n’est pas de remplacer les tétées mais de faire découvrir à bébé de nouveaux goûts et de nouvelles odeurs.

Si vous n’avez pas pu ou pas souhaité allaiter votre bébé et qu’il est nourri avec une préparation pour nourrisson, votre enfant doit continuer à boire du lait au moment du démarrage de la diversification. En effet, celui-ci reste le pilier de son alimentation.

Si vous allaitez, les tétées restent donc à volonté ; et si vous êtes au biberon, on donne à Bébé un biberon de 500 à 800mL de lait infantile 1er âge par jour. Cela fait aussi partie de son hydratation (pas d’eau jusqu’à 6 mois).

En cas de refus

Et si bébé a du mal à accepter dans un premier temps autre chose que le lait ? Une règle d’or est de ne jamais forcer bébé à manger, surtout pas en enfonçant une cuillère dans sa bouche.

On observe bébé et ses réactions : s’il ne veut pas manger, c’est peut-être qu’il n’a plus faim ou qu’il est surpris par un nouvel aliment, un nouveau goût. Si c’est le cas, on lui re-proposera une prochaine fois en sachant qu’il faut souvent présenter plusieurs fois le même aliment (parfois jusqu’à 10 !), pour que l’enfant l’accepte et commence à y prendre plaisir.

Certains bébés n’ouvrent tout simplement pas la bouche. D’autres vont prendre une bouchée et tout recracher. Et certains bébé vont accepter une première cuillère, puis serrer la bouche et se détourner. Si tout cela se produit, ne forcez pas, et ne stressez pas. Cela risquerait d’envenimer la situation.

Attention, si votre bébé fait la grimace au contact des premières cuillères, ne le prenez pas pour un refus ; cela peut juste être le signe de son étonnement face à tant de nouveautés ! Expliquez-lui ce que vous lui proposez. Encouragez-le avec des paroles bienveillantes et continuez à lui proposer 1 ou 2 cuillères mais sans le forcer évidemment. Si bébé rechigne vraiment à avaler la purée que vous lui présentez, respectez son refus. Et si ce n’était pas déjà fait au cours de ce repas, proposez-lui son lait habituel.

Conseils supplémentaires

  • Amusez-vous. C’est beau de regarder bébé faire de nouvelles expériences !
  • Laissez bébé décider. C’est lui qui va déterminer le rythme auquel il mange, et la quantité. S’il n’en veut pas, ne forcez pas. Essayez une prochaine fois.
  • Si vous cuisinez vous-même, veillez alors à ne pas ajouter de sel ni de sucre dans vos préparations. De plus, le palais de bébé étant vierge, il ne ressent pas les goûts de la même manière que les adultes. Faites-lui profiter de toutes les saveurs d’un légume et d’un fruit nature !
  • Variez les aliments et apprenez-lui à découvrir de nouvelles saveurs.
  • Évitez tout conflit pendant le repas qui doit rester un moment d'échange et de plaisir.
  • Respectez les horaires des repas et évitez le grignotage entre les repas.

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