À 50 ans et avec plus de 20 ans d’expérience dans la restauration, Peggy Hardelin-Vuillaume a décidé de se lancer un nouveau défi et a concrétisé son envie d’ouvrir son propre restaurant de cuisine traditionnelle française qu’elle affectionne tout particulièrement.
Après avoir travaillé vingt années aux côtés de son époux, Peggy est désormais seule derrière ses fourneaux. La Bisontine a concrétisé son envie d’ouvrir son propre restaurant de cuisine traditionnelle française qu’elle affectionne tout particulièrement, grâce à une opportunité lui permettant d’acquérir "un restaurant clé en main" après une liquidation judiciaire. Elle installe alors son établissement de 28 couverts au numéro 3 de la rue Mégevand et le baptise Cocotte Margotte en l’honneur de sa grand-mère Margueritte Vuillaume, surnommée Margotte.
Le Menu et l'Ambiance
Joue de boeuf, blanquette de veau, boeuf bourguignon… Peggy ne propose que du fait maison et travaille avec des produits locaux. Sa carte, remplie de clins d’oeil aux membres de sa famille, s’adapte au fil des saisons et propose également des plats végétariens. À la différence qu’ici, pas de repas qui s’éternisent.
Dans son prochain investissement, elle prévoit l’achat de grosses cocottes pour "manger comme chez la grand-mère en emmenant directement le plat à partager sur la table". Formule complète à 19€90.
Côté décoration, la Bisontine a gardé l’existante et a simplement ajouté quelques petits aménagements et mis en valeur la cave à vin. La gérante promet, aux personnes qui le souhaitent, un service rapide grâce aux plats mijotés élaborés tous les matins. "Chez moi, si vous n’avez qu’une heure pour manger, c’est possible" nous assure-t-elle. Un plus pour la clientèle pressée du midi qui reprend le travail et recherche un bon rapport qualité-prix.
Avis et Ambiance Unique de "La Cocotte" à Chemaudin et Vaux
Ouverte depuis plus de 15 ans, « La Cocotte », du nom du lieu-dit où se trouve l’établissement à Chemaudin et Vaux, s’est construite malgré elle une importante notoriété sur les réseaux sociaux, qui dépasse le milieu des routiers.
Ce bar-restaurant apparaît comme un vestige des années 80, avec ses excès. Ici, on fume au comptoir au point d’être noyé sous un nuage de fumée, on picole allègrement en se servant souvent soi-même et on discute dans un langage décomplexé qui ferait même pâlir les plus fervents adversaires du wokisme. Sans faire l’unanimité, l’affaire attire une clientèle de festoyeurs nostalgiques, qui vient davantage pour ripailler et s’amuser que pour respecter les codes de la restauration.
Les publications relatives à la Cocotte pullulent de commentaires binaires, d’anecdotes en tout genre et même d’images saugrenues. Parmi elles, on peut notamment voir un chat boire à la tireuse ou encore un sanglier fraîchement abattu gésir sur le sol du restaurant. Le patron, Christophe, est chasseur, tout comme certains clients réguliers.
Déjà peu ordinaire en temps normal, l’établissement semble entrer dans une autre dimension lorsqu’il est « fermé mais ouvert », selon les termes de Christophe. Celui-ci a raconté à plusieurs clients avoir tiré au fusil sur le plafond de son restaurant.
Au fil de la conversation, on reste parfois sceptique face aux réponses de Christophe, dont on se demande s’il est sérieux ou s’il cherche à cultiver sa propre légende - même s’il dit s’en moquer. D’autres s’en sont de toute façon chargé·es pour lui.
Au point de devenir un lieu de pèlerinage pour quelques bandes de potes. Selon plusieurs sources, l’établissement est en effet victime de vols réguliers, simplifiés par l’ivresse récurrente du maître des lieux. Christophe le confirme lui-même : « On m’a chourré de l’argent, des bouteilles de whisky. Tant pis, je m’en fous. Mais on m’a aussi volé mon chat … Des clients me l’ont raconté. Je ne le comprends pas.
Sur sa consommation d’alcool, dont les clients interrogés s’inquiètent, il répond : « Ça fait trois ans que j’ai pas dormi sur le bar, depuis que ma mère m’a acheté un lit dans la salle de stockage. » Et de poursuivre : « Je ne suis pas un pompeur de fric. J’offre de bons moments aux clients. Et ils partent plus bourrés que moi », conclut Christophe, qui arrête un instant la conversation. Il peste. « C’est rien, c’est un jeune qui voulait boire dans ma bouteille de Pontarlier.
La Cocotte, est un gros restaurant routier situé côté ouest quand on arrive sur Besançon. Ce lieu a régulièrement fait parler de lui et pas à la rubrique gastronomie. Un lieu en libre service ! "Nous voilà arrivés dans le bar, le patron est absent, son copain (qui fume dans le bar bien entendu). On est chez nous, on se sert ! ".
Eté 2022, un client raconte : "Arrivé dans le restaurant, je découvre le patron à moitié à nu, couché sur l’une des table du restaurant! Je le réveille et là il me dis de le laisser tranquille parce qu’il essaye d’hiberner à cause de la canicule….. Alors un client m’interpelle et me dis qu’il allais me servir parce que ici c’est un restaurant où tout le monde se sert à manger et à boire et c’est tout frais payé par le patron! Donc j’ai pris un bon repas avec une bonne bouteille de vin rouge!
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