Boîte Métallique Alimentaire : Composition et Recyclage

Les boîtes métalliques alimentaires sont omniprésentes dans nos cuisines et nos modes de consommation. Cet article explore en détail leur composition, leur processus de recyclage et leur impact environnemental.

Composition des Boîtes Métalliques

Le fer-blanc est un produit en acier recouvert d’une couche d’étain. Il est obtenu par voie électrolytique et est utilisé comme emballage. Le fer-blanc est un produit en acier doux ou extra doux laminé (la teneur en carbone est inférieure à 0,08 %) recouvert d’une couche d’étain.

Le fer-blanc, obtenu par voie électrolytique, est constitué de plusieurs couches. A l’extérieur des boîtes en fer-blanc, l’étain joue seulement un rôle de barrière physique à la corrosion de l’acier. La présence de rayures traversant la couche d’étain entraînera la formation de rouille en présence de l’air atmosphérique, en accord avec les potentiels standards des couples Sn2+/Sn (-0,14 V) et Fe2+/Fe (-0,44 V).

A l’intérieur de la boîte, milieu hermétiquement clos, en l’absence de dioxygène, en présence d’aliments et d’une solution riche en complexants de l’étain, le comportement électrochimique de la pile étain-fer est modifié et à l’inverse de ce que prévoient les valeurs des potentiels standards des couples redox, l’étain se comporte, en général, comme une anode sacrificielle assurant une protection cathodique du fer. Même en présence de rayures de l’étain, le fer est protégé de l’oxydation et c’est l’étain qui s’oxyde.

De plus, la protection intérieure des boîtes de conserve est renforcée par la présence d’un vernis, le plus courant étant époxyphénolique avec une épaisseur de 5 μm. La blancheur des vernis est obtenue par ajout de dioxyde de titane ou d’alumine. Cette protection intérieure n’est pas systématique.

Différents Types de Fer-Blanc

Ils sont fonction des taux d’étamage qui sont identiques ou différents sur les deux faces. Actuellement, des feuilles d’acier de 0,09 mm commencent à être utilisées, ainsi que des quantités déposées d’étain réduites à 0,5 g/m2. Certaines lignes électrolytiques peuvent permettre de fabriquer du fer blanc ou du fer chromé.

Fer chromé (ECCS : Electrolytic Chromium/oxide Coated Steel ou TFS : Tin Free Steel) : L’acier de base est le même, mais au lieu d’être revêtu d’étain, il est recouvert de chrome (épaisseur : 10 nm, 60 mg/m2), d’oxyde de chrome (épaisseur : 5 nm, 15 mg/m2) et d’huile (3-6 mg/m2).

Processus de Fabrication

La coulée continue de l’acier fournit des brames qui sont laminées à chaud jusqu’à atteindre une épaisseur de l’ordre de 2 mm. La couche d’oxyde est enlevée par décapage à l’acide chlorhydrique (l’attaque dure 30 s). Après lavage et séchage, la bande d’acier est laminée à froid, en passant entre plusieurs jeux de cylindres (cages), jusqu’à 0,20 mm, par exemple. La vitesse de défilement de la bande peut atteindre 110 km/h.

Après dégraissage, le métal qui est fortement écroui par le laminage, est recuit à 630°C en étant protégé de l’oxydation par du diazote ou du dihydrogène. La durée du recuit dépend du procédé utilisé (3 minutes en recuit continu, 72 heures pour la filière recuit base). Un léger laminage à froid (skin-pass) permet un écrouissage de surface améliorant les qualités mécaniques. Lorsque la réduction d’épaisseur est poussée jusqu’à 30 %, ce dernier laminage permet d’obtenir des bandes d’épaisseur de 0,10 mm. L’acier ainsi obtenu est alors appelé « double réduction ».

Avant étamage, la surface de la bande subit un dégraissage puis un décapage à l’acide sulfurique. La bande à étamer sert de cathode, l’anode est constituée par des barres de 47 kg d’étain pur, qui alimentent en ions Sn2+ l’électrolyte. L’électrolyte est composé d’acide 4-hydroxybenzènesulfonique (HO-C6H4-SO3H) et de divers produits d’addition.

Après rinçage, le fer-blanc subit une refusion vers 300°C où il prend un aspect brillant et au cours de laquelle, se forme l’alliage FeSn2 à l’interface Fe-Sn, par diffusion de Sn dans l’acier. Le chauffage est effectué par conduction (effet Joule) ou par induction.

Afin d’éviter l’oxydation de l’étain, une passivation chimique est réalisée dans une solution de dichromate de sodium (20-30 g/L à 50°C) qui donne un dépôt d’oxyde de chrome de 0,10 μg/cm2 qui permet une bonne adhérence des vernis mais ne protège pas de la sulfuration. Le dichromate de sodium (Na2Cr2O7) présente l’inconvénient de renfermer du chrome sous forme de chrome VI, cancérigène.

Afin d’éviter son utilisation, une alternative (Chrome Free Passivation Alternative - CFPA), est en cours de préparation. Chaque producteur européen a converti une ligne de production et l’ensemble des lignes devrait être converti avant 2023. Une couche d’huile, monomoléculaire, en général de dioctylsébaçate (DOS), permet de réduire les dommages créés par abrasion.

Le vernis est, en général, appliqué après l’impression des motifs et avant la fabrication des boîtes. Dans le cas de l’acier destiné à la fabrication des boîtes-boisson, l’étain ne subit pas, en général, de refusion.

A l’usine ArcelorMittal de Florange une ligne de vernissage en bande (VEB) permet de cuire à 300-400°C, par induction, en 2 secondes, le vernis de la bande qui défile à une vitesse de 250 m/min.

Recyclage des Boîtes Métalliques

Les aciers pour emballages (contenant 99,7 % de fer) sont ferromagnétiques et donc très facilement récupérés par triage magnétique des ordures ménagères. Dans l’Union européenne plus la Norvège et la Suisse, en 2019, le taux de recyclage est de 84 %, avec plus de 2,7 millions de t d’aciers pour emballage recyclées. Il est de 98,9 % pour la Belgique, 95,6 % pour les Pays Bas, 92,4 % pour l’Allemagne, 90,6 % pour la France.

En 2015, il est de 71 % pour les États-Unis et en 2018, de 92,0 % pour le Japon. En France, en 2012, le recyclage d’acier provenant d’emballages a été de 407 035 t d’aciers pour emballages, en 2017. Monde : 16 millions de t.

ArcelorMittal, avec, en 2020, 15 unités de production de fer blanc et 2 de fer chromé possède une capacité mondiale de production de 3,1 millions de t/an de fer blanc et 400 000 t/an de fer chromé et a produit, en 2020, 1,7 million de t. En Europe, le groupe possède 5 sites de production avec une capacité de 2,0 millions de t/an, en Espagne à Avilès avec 2 lignes de production de fer blanc de 400 000 t/an et à Etxebarri, 350 000 t/an, en France, à Basse Indre (44), 410 000 t/an et Florange (57), 450 000 t/an, en Belgique, à Liège.

Le métal, utilisé pour fabriquer des boîtes de conserve, est un matériel permanent, recyclable à 100% et à l’infini. La question du recyclage des déchets ménagers est devenue, dans les années 90, un enjeu majeur des politiques publiques, tant en France qu’à l’échelle européenne.

En 1992, un décret français a notamment obligé les entreprises responsables de la mise sur le marché d’emballages à pourvoir à leur valorisation. Cela a entraîné la naissance d’Eco-Emballages, entreprise privée agréée par l’Etat, dont la mission consiste à organiser le dispositif national du tri et du recyclage des emballages ménagers. Les sociétés contribuant financièrement au programme Eco-Emballages sont reconnaissables grâce au Point vert figurant sur leurs produits.

L’Union européenne a pour sa part donné une impulsion notable en faveur de ce recyclage, notamment par l’intermédiaire d’une directive (2008/98/CE) qui a défini en 2008 un nouveau cadre de gestion des déchets dans l’Union. Plus récemment, en décembre 2015, un paquet « économie circulaire » a été adopté par la Commission européenne. Il fixe notamment des objectifs communs au sein de l’Union : le recyclage de 65 % des déchets municipaux d’ici 2030 et le recyclage de 75 % des déchets d’emballages, là aussi à l’horizon 2030.

Dans cette filière du recyclage, le métal fait figure de bon élève. Tout d’abord parce que c’est un produit recyclable à 100 % et ce à l’infini. Contrairement à d’autres matériaux (papier, plastique…) qui peuvent se dénaturer, l’acier comme l’aluminium qui constituent les boîtes de conserve, gardent leurs propriétés, leurs performances techniques.

Autre atout : le tri des emballages métalliques est automatique. Ils ont pour eux d’être, la plupart du temps, monomatériaux, et d’être récupérés aisément sur les tapis de tri. L’acier est attiré par de puissants électro-aimants. L’aluminium est, pour sa part, évacué de ces tapis par un champ magnétique à haute fréquence (grâce à une machine à courant de Foucault).

Avantages du Recyclage

Le recyclage des emballages métalliques a une première positive conséquence évidente pour l’environnement : il permet de limiter la consommation de ressources naturelles (minerai de fer pour l’acier, bauxite pour l’aluminium). On estime à deux tonnes la quantité de matière première non renouvelable ainsi préservée lors du recyclage d’une tonne d’acier ou d’aluminium.

Mais une autre voie donne également la possibilité de réduire la consommation de ressources naturelles : celle de la recherche sur la confection des emballages eux-mêmes. Les travaux menés par les industriels améliorent années après années les caractéristiques techniques et les performances de la converse. Les scientifiques ont œuvré à l’allégement de la boîte, afin de réduire son volume et, par conséquent, de limiter la consommation de matières premières.

Et les résultats sont là : en dix ans, le poids moyen d’une boîte 4/4 de conserve (contenance de 850 ml, soit une portion pour 4 personnes) a perdu près de 12 grammes, soit une baisse de 14 % de son poids moyen, une réduction qui a permis d’économiser 23.000 tonnes d’acier chaque année.

En parallèle de la réduction des volumes de matières premières extraites du sous-sol, la consommation d’énergie et la pollution ont, elles aussi, diminué. Le recyclage d’une tonne d’acier permet ainsi de réduire de 75 % les émissions de CO2 par rapport à la production d’acier à partir de minerai de fer.

Dans cette même recherche d’une moindre consommation d’énergie, la filière de la conserve alimentaire dispose d’un autre atout de poids : celui de privilégier une grande proximité entre les lieux de production et les lieux de mise en boîte. Ainsi, les conserveries se sont installées au plus près des champs de légumes, des vergers ou des zones de pêche, afin de limiter au maximum le temps entre la cueillette ou la pêche et celui de l’appertisation (4 heures en moyenne pour les légumes !).

Enfin, on le sait, l’appertisation permet aux aliments d’être conservés à température ambiante. Qu’il s’agisse du transport des boîtes vers les lieux de vente, du stockage sur ces mêmes lieux de vente ou au domicile des consommateurs, nul besoin de respecter une chaîne du froid !

L’usage d’une boîte de conserve permet enfin de limiter efficacement le gaspillage alimentaire. Cela en premier lieu du fait de sa très longue durée de conservation. Les produits, dont la fraîcheur est préservée, disposent d’une DDM (Date de Durabilité Minimale, ex-DLUO : Date limite d’utilisation optimale) longue, allant de 2 à 5 ans. De quoi éviter que les aliments ne s’abîment et deviennent impropres à la consommation.

Autre atout de la boîte dans la chasse au « gaspi’ » : les industriels ont développé différents formats de conserve, individuels comme familiaux. Des conserves de grande contenance ont par ailleurs été développés pour permettre à la restauration et à l’industrie alimentaire de satisfaire au mieux leurs besoins.

Histoire de la Boîte de Conserve

L’histoire de la boîte de conserve commence à la toute fin du XVIIIe siècle, à Paris. Nicolas Appert, confiseur et fils de vigneron, a l’idée de placer des aliments dans une bouteille de verre épaisse, d’une qualité équivalente à celles utilisées par son père pour le champagne. Il la ferme hermétiquement et la fait bouillir au bain-marie. Nicolas Appert vient d’inventer l’appertisation.

Peter Durand, un commerçant britannique, ne mettra pas deux mois pour le faire à sa place, dans la foulée de sa publication. Leur gros avantage par rapport aux contenants en verre utilisés par Nicolas Appert, c’est leur solidité. Très vite, les marins vont l’adopter. C’est la solution à tous les problèmes d’approvisionnement en vivres frais pour les longs voyages en mer.

Les guerres jouent un rôle fondamental dans l’histoire de la boîte de conserve. Elles contribueront largement au développement de sa production, notamment la guerre de Sécession aux États-Unis, à partir de 1860.

Aux Etats-Unis, tout se met déjà en boîte à l’abri des parasites et de l’humidité, que ce soit du chewing-gum, du sirop d’érable, des cosmétiques ou du tabac. Fabriquer des conserves est alors long et coûteux. Les consommateurs se méfient de cette nourriture que l’on ne peut pas voir avant d’acheter. Il faut reconnaître que les méthodes de stérilisation ne sont alors pas toujours optimales .

Les industriels américains mettent alors en place des campagnes publicitaires. La boîte de conserve s’installe ainsi dans les habitudes des anglo-saxons. Pratique, elle permet de gagner un temps précieux dans la préparation des repas. De leur côté, beaucoup de Français expérimentent la boîte de conserve au cours de la Première Guerre mondiale.

Après le poisson, la viande, les fruits et les légumes, c’est l’avènement des plats préparés. Les spécialités du terroir se mettent en boîte. Quasiment toutes les préparations peuvent être mises en conserve. Les emballages métalliques accompagnent ainsi le développement de l’industrie touristique.

En même temps que le contenu, le contenant évolue. Pendant plus de 40 ans, ouvrir une boîte de conserve était une opération plutôt risquée. Le premier ouvre-boîte a été inventé dans les années 1850. En 1894, c’est la boîte de sardine à ouverture par décollage.

Le vernis de protection qui évite la corrosion du métal et isole le contenu de la boîte a été assaini. Comme le verre, l’emballage métallique est un matériau permanent. Une fois triées, les boîtes sont refondues pour fabriquer de nouveaux produits. C’est vers elle que les consommateurs se tournent en temps de crise. Pour son prix, mais aussi son côté rassurant. Une tendance qui s’est à nouveau vérifiée pendant la pandémie du Covid 19.

Boîte en Aluminium Alimentaire

L'utilisation de boîtes en aluminium pour le conditionnement des aliments s'avère très répandue dans l'industrie agroalimentaire. Ces contenants sont reconnus pour leurs qualités de longue conservation dans des conditions optimales et ce n'est pas tout ! En effet, ce type d'emballage présente également des avantages considérables sur le plan nutritionnel, écologique et financier.

La boite aluminium alimentaire est un excellent moyen d'emballer et de conserver vos produits alimentaires. En effet, l'aluminium possède une excellente résistance à la corrosion et à la chaleur et offre une protection optimale contre les bactéries externes, mais ce ne sont pas là ses seules qualités. Enfin, elle offre un bon rapport qualité/prix, car elle peut être achetée à prix défiant toute concurrence sur certains sites.

Le papier aluminium est composé d’aluminium pur à 99.5 %. Sa composition fait de lui un emballage très résistant à la chaleur et à la perforation, ce qui en fait un excellent produit pour la restauration à emporter.

Sécurité et Avantages

Les études sanitaires menées sur l'aluminium alimentaire ont mis en évidence que ce matériau reste sans danger pour la santé humaine. En effet, les tests réalisés n'ont révélé de lien entre un risque éventuel et l’utilisation des boîtes en aluminium dans le cadre de la restauration commerciale et à emporter.

Toutefois, il est important de souligner que l'utilisation abusive ou non autorisée d'emballages en aluminium dont la provenance demeure floue peut constituer une source potentielle de contamination alimentaire.

L'utilisation de l'aluminium s'est démocratisé dans le secteur de l’agro-alimentaire et des services de restauration à emporter. Tous ces produits sont spécialement conçus pour offrir une protection idéale aux aliments en les préservant des contaminations grâce à un système de couvercle scellé, mais aussi afin d'améliorer leur conservation au réfrigérateur ou au congélateur grâce à leur parfaite herméticité.

La boîte en aluminium alimentaire offre une excellente protection contre les variations de température. En effet, elle est capable de résister à des températures allant jusqu’à 120°C lors d'un passage au four tout en préservant parfaitement la fraîcheur des produits et leur goût. Elle sert aussi à conserver les aliments à basse température pendant plusieurs heures sans risque de contamination.

Cette propriété fait de l’aluminium un emballage particulièrement pratique pour transporter vos produits alimentaires à des températures froides ou tièdes et vous permet de livrer des plats à bonne température à vos clients.

Bien que ce critère apparaisse comme secondaire, l'aspect visuel des plats occupe néanmoins une place de premier plan dans le milieu de la restauration. En effet, la boîte en aluminium alimentaire permet de les présenter avec élégance et modernité. De plus, elle est disponible dans une variété de couleurs et peut être imprimée pour afficher votre logo ou un message publicitaire unique.

De plus, elle est simple à manipuler, ce qui en fait un emballage idéal pour les professionnels de la restauration à emporter et qui livrent à domicile. Enfin, n’oubliez pas que votre produit peut être recyclé ou réutilisé pour différentes applications domestiques ou professionnelles.

Recyclage de l'Aluminium

L’utilisation des boîtes en aluminium alimentaire est un choix judicieux pour ceux qui veulent contribuer à la protection de l'environnement. En effet, ce matériau est entièrement recyclable et peut être réutilisé plusieurs fois avant d’être finalement transformé en produits finis différents. De plus, il ne nécessite pas d’entretien particulier et peut-être retravaillé ou raffiné sans perdre sa qualité ni sa durabilité.

Le recyclage des boîtes en aluminium alimentaire s'avère très simple et peut se faire de plusieurs façons. La première est de les retourner à l'entreprise qui les a fournies pour qu'elles soient réutilisées ou transformées en produits finis. Vous pouvez également trier vos emballages usagés et les rapporter dans un centre de recyclage spécialisé qui s'occupera du traitement et du remplacement des produits endommagés.

De toute évidence, l’emballage alimentaire en aluminium représente un choix judicieux pour ceux qui souhaitent transporter et conserver leurs produits alimentaires de manière sûre et pratique.

Fabricants et Offres de Boîtes en Métal

Il existe une variété de fabricants offrant des boîtes en métal pour divers usages. Voici quelques exemples :

  • Boîte en fer blanc carrée : Conçue pour les occasions spéciales avec un design élégant, idéale pour emballer des cadeaux ou des biscuits.
  • Boîte à CD : Boîte en métal carrée 13 x 13 cm, idéale pour emballer des CD.
  • Boîte à accessoires carrée : Solution de rangement pratique et durable pour tous vos petits objets.
  • Boîte carrée - Boîte à Préservatifs : Boîte carrée élégante et durable pour un usage varié.
  • Boîte cadeau carrée : L’élégance durable pour toutes vos idées de cadeaux.

Ces boîtes sont disponibles en différentes dimensions et volumes, offrant une solution pour chaque besoin spécifique.

Tableau des taux de recyclage des emballages en acier dans l'Union européenne et quelques pays hors UE (2019)

Pays Taux de recyclage (%)
Belgique 98,9
Pays-Bas 95,6
Allemagne 92,4
France 90,6
Union Européenne (moyenne) 84
États-Unis (2015) 71
Japon (2018) 92,0

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