L'Élevage de Renne : Un Parallèle Surprenant avec l'Élevage de Bétail et la Filière Viande en Bretagne

Savez-vous que Tornade, Danseuse, Comète, Furie... C'est exact : l'attelage de traîneaux du Père Noël est une denrée agricole dans la vraie vie. En fait, il existe un certain nombre d'organisations dédiées à l'élevage de rennes : la Reindeer Farmers Association basée en Alaska et la Reindeer Owners and Breeders Association basée dans le Wisconsin en sont deux exemples parmi tant d'autres.

Une simple recherche Google sur « Reindeer Farming » donne de nombreux résultats qui montrent la popularité de cette activité et révèlent que l'on trouve des rennes domestiqués dans la plupart des États-Unis. Les rennes ont été chassés dès l'ère glaciaire. Selon la Food and Drug Administration des États-Unis, les rennes sont utilisés pour leur lait, leur viande, leur fromage et leur peau, tout comme d'autres animaux d'élevage.

Les Produits Issus de l'Élevage de Renne

L'Université de l'Alaska affirme que la viande de renne est riche en protéines et en vitamines, et pauvre en graisses. Le lait fermenté joue un rôle majeur et, parmi les nombreux types de fromage, le juustoleipä (alias Leipäjuusto) est sans doute le plus typique. Cette spécialité du nord de la Finlande est un fromage frais « grinçant » [il couine sous la dent ou lorsqu'on le coupe] fabriqué à partir de lait de renne ou de lait de vache, de préférence du colostrum produit après la mise bas d'un veau.

Le lait de renne est riche en matière sèche et beaucoup plus calorique que le lait de vache. Il a une teneur en lactose relativement faible : 100 grammes de lait de renne contiennent 15 grammes de matières grasses, 9,9 grammes de protéines et 2,5 grammes de lactose. En comparaison, 100 grammes de lait de vache contiennent 4 grammes de matières grasses, 3,2 grammes de protéines et 4,8 grammes de lactose.

Cependant, l'attrait pour ces animaux est surtout lié au divertissement et au tourisme. Les parades de Noël, les fêtes, les séances de photos, etc., qui mettent en scène des rennes ne manqueront pas d'attirer une foule de curieux qui aiment la magie de Noël - et ceux qui, peut-être, pensaient que les rennes n'étaient que des créatures mythiques.

Facilité d'Élevage et Parallèles avec l'Élevage de Bétail

L'élevage de rennes présente un autre intérêt, outre ses diverses capacités à générer des revenus, car il est relativement facile de les garder. Bien que les gens puissent penser qu'ils sont des artistes de l'évasion, les rennes sont en fait faciles à dresser et à maintenir dans de petits espaces, selon la Reindeer Owners and Breeders Association. Les rennes sont classés de la même manière que les bovins, avec des termes anglais équivalant à « taureau », « génisse », « veau », « vache »...

Dans un mélange magique entre la culture occidentale des cow-boys et les contes du pôle Nord, l'élevage des rennes est un type d'activité légèrement différent qui implique de rassembler de grands troupeaux, dans certaines régions de l'Alaska par exemple, où les animaux sont transformés en viande, marqués pour la reproduction et le suivi des habitudes alimentaires, ou castrés. Les parallèles entre l'élevage de rennes et l'élevage de bétail constituent peut-être l'un des faits les plus intéressants de la filière de l'élevage de rennes.

Selon la Reindeer Herders’ Association, « le nombre de rennes possédés est une information privée pour chaque éleveur de rennes. Il ne le dit jamais à voix haute. Bien qu'il s'agisse d'une filière en pleine expansion, certains États [des États-Unis] sont stricts quant à l'importation et à la possession de rennes.

La Filière Viande en Bretagne : Un Aperçu

En Bretagne, la filière viande génère près de 55 000 emplois à tous les échelons. La Bretagne fournit en effet plus du tiers des animaux finis du pays, également 40 % de la production d’aliments pour animaux de ferme, avec 27 000 salariés dans la production de viandes ou de produits à base de viande, abattage-transformation, et l'élevage : fabricants d'aliments pour animaux de ferme et vétérinaires.

INTERBEV est l'Association Nationale Interprofessionnelle du Bétail et des Viandes, fondée en 1979 à l'initiative des organisations représentatives de la filière française de l'élevage et des viandes. Elle reflète la volonté des professionnels des secteurs bovin, ovin, équin et caprin de proposer aux consommateurs des produits sains, de qualité et identifiés tout au long de la filière. Elle fédère et valorise les intérêts communs de l'élevage, des activités artisanales, industrielles et commerciales de ce secteur, qui constitue l'une des premières activités économiques de notre territoire.

Afin de mieux intégrer les attentes de la société, les professionnels de cette filière se sont rassemblés autour d'une démarche de responsabilité sociétale, labellisée par l'AFNOR « engagé RSE confirmé » de niveau 3 sur 4 en juin 2018 : le « Pacte sociétal », qui vise à mieux répondre collectivement aux enjeux en matière d'environnement, de protection animale, de juste rémunération des acteurs de la filière et d'attractivité de ses métiers au service d'une alimentation raisonnée et de qualité. Aujourd'hui, cette démarche qui engage la filière dans la promesse responsable et durable « Aimez la viande, mangez-en mieux.

Structure et Défis de la Filière Viande en Bretagne

La filière viande en Bretagne est un segment important, dont un tiers pour le segment de l'élevage. Insee, Clap 2013, pour la viande en France, dans le pays, pour la production de porcs, de volailles de chair et de veaux, au 6e rang des treize régions françaises. Source : Agreste, SAA, enq. SNIA, FICT, enq. une part deux fois supérieure à celle observée au niveau national qui élèvent des animaux destinés à la viande, contre 48 % en France. (UTA), soit plus du tiers des effectifs agricoles de la région. d’affaires emploient 15 500 UTA, principalement en exploitations hors-sol, des exploitations laitières, au moins deux ateliers, en particulier l’alimentation animale, au coût de l'aliment qui représente plus de la moitié de leurs charges, hors élevage (figure 3), tout le territoire de la région, d'aliments pour animaux de compagnie (600) (figure 4), volaille et un cinquième à la filière bovine. La part des femmes (40 %) y est plus élevée que dans les autres segments (30 %), où le taux d’emploi féminin dépasse 50 %, fréquent, à disposition des abattoirs et ateliers de transformation, dans des grandes unités de production. Six salariés sur dix travaillent dans un établissement de 250 salariés ou plus et est situé hors de la région (Intermarché).

La production de volaille en Bretagne est également largement intégrée. L’intégrateur finance l’achat de veaux de 8 jours et de l’aliment. La construction du champ sur l’activité agricole est basée sur le recensement agricole 2010, cheptels, et une partie de la PBS des vaches laitières, dont la PBS comprend une part d’au moins 10 % en viande, à la viande sont calculés au prorata de la PBS viande un an. Les volumes de production sont issus des enquêtes auprès des abattoirs et des enquêtes de branche. Les entreprises fabriquant des produits à base de viande est de 34 %. La part des femmes (40 %) y est plus élevée que dans les autres segments (30 %), où le taux d’emploi féminin dépasse 50 %.

Acteurs et Spécificités de l'Abattage et de la Transformation

Des chaînes d'abattage par espèce, ou des abattoirs eux-mêmes, en France, et possèdent un rayon d'action national, de gros bovins (SVA à Vitré) et de veaux (Tendriade Collet à Châteaubourg), en Allemagne, qui abat 1,1 million de tec par an, dans le développement des filières locales et des circuits courts, 95 % des tonnages régionaux (Doux à Châteaulin), du Proche et Moyen-Orient, en 2012 à 46 %, contre 17 % en moyenne nationale, des aides à l'exportation a fragilisé la filière entière. En amont, la production de volailles a reculé en 2014, fortes capacités d'abattage bovin, des réformes laitières (une sur deux en France), en Bretagne dont 281 000 ont été élevés dans la région, soit 40 %. Pour les veaux, cette part est de 60 %, loin, notamment pour les vaches allaitantes, que pour le reste des abattoirs français. Par ailleurs, plus de 13 millions de porcs sont abattus en Bretagne en 2013, ceux-ci, 90 % sont élevés dans la région, sont abattus ailleurs, à des groupes dont la logique de fonctionnement est interrégionale, du fait de pays à coûts de main-d’œuvre plus faibles, des chaînes d'abattage porcin est estimé à 85 %, de 11 %, plus faible que dans l’ensemble des IAA (24 %), l'automatisation compliquée, libre-service, produits élaborés à base de viande), des entreprises fabriquant des produits à base de viande est de 34 %, fabrique un tiers des charcuteries et salaisons nationales (37 %) et bovins (13 %), notamment en 2012 avec l’envolée des prix des matières premières, le tiers des besoins du cheptel porcin breton. Les évolutions brutales du coût des matières premières fragilisent la filière, et accordent des délais de paiement aux éleveurs, en tourteaux de soja qui représentent 14 % des matières premières utilisées, près de la moitié des protéines sont importées chaque année, supérieures à celles des autres segments de la filière, mais les volumes produits sont importants, et se caractérise par une forte proportion de petits établissements.

Commercialisation et Organisation de la Filière

Du commerce de gros d'animaux vivants diffère d'une espèce à l'autre. (OPC) est la règle, commerciales avec les opérateurs d'aval, il en demeure encore neuf en Bretagne, de 97 % de la production régionale (90 % en France). Plusieurs coopératives ont des adhérents hors de la région, en amont des élevages (agrofournitures), mais peu dans l'aval, au marché de Plérin, seul marché au cadran français en porc, des prix. Plus de 3,1 millions de porcs ont ainsi été vendus en 2014, française, ce qui ne l’empêche pas d'être épisodiquement remise en cause. Concernant les gros bovins, la part de marché des OPC est difficile à estimer, à des négociants en bestiaux ou à des abatteurs. L’intégrateur finance l’achat de veaux de 8 jours et de l’aliment, activité. La production de volaille en Bretagne est également largement intégrée, de poulaillers et avec des abatteurs-transformateurs pour un cinquième, vision globale de la filière (Bretagne, Normandie, Pays de la Loire), pilier essentiel du pacte d'avenir pour la Bretagne, en sont les exemples les plus parlants. La construction du champ sur l’activité agricole est basée sur le recensement agricole 2010, cheptels, et une partie de la PBS des vaches laitières, dont la PBS comprend une part d’au moins 10 % en viande, à la viande sont calculés au prorata de la PBS viande un an. Agricole sont issues de la Statistique agricole annuelle (SAA), principales exercées (APET), sont tous inclus, une expertise a été menée par la Draaf Bretagne, dans la région et les consommations intermédiaires. Le taux de VA est le rapport entre la VA et le chiffre d'affaires, une fois versés les charges, les salaires et les impôts. Le taux d'exportation mesure la part des ventes exportées. Les volumes de production sont issus des enquêtes auprès des abattoirs et des enquêtes de branche. Concernant les flux d'animaux sont la BDNI et la BDPORC.

Production et Emploi dans la Filière Viande en Bretagne

La filière viande en Bretagne est un segment important, dont un tiers pour le segment de l'élevage. Insee, Clap 2013, pour la viande en France, dans le pays, pour la production de porcs, de volailles de chair et de veaux, au 6e rang des treize régions françaises. Source : Agreste, SAA, enq. SNIA, FICT, enq. une part deux fois supérieure à celle observée au niveau national qui élèvent des animaux destinés à la viande, contre 48 % en France. (UTA), soit plus du tiers des effectifs agricoles de la région. d’affaires emploient 15 500 UTA, principalement en exploitations hors-sol, des exploitations laitières, au moins deux ateliers, en particulier l’alimentation animale, au coût de l'aliment qui représente plus de la moitié de leurs charges, hors élevage (figure 3), tout le territoire de la région, d'aliments pour animaux de compagnie (600) (figure 4), volaille et un cinquième à la filière bovine. La part des femmes (40 %) y est plus élevée que dans les autres segments (30 %), où le taux d’emploi féminin dépasse 50 %, fréquent, à disposition des abattoirs et ateliers de transformation, dans des grandes unités de production. Six salariés sur dix travaillent dans un établissement de 250 salariés ou plus et est situé hors de la région (Intermarché).

Le taux de VA est le rapport entre la VA et le chiffre d'affaires, une fois versés les charges, les salaires et les impôts. Le taux d'exportation mesure la part des ventes exportées. Les volumes de production sont issus des enquêtes auprès des abattoirs et des enquêtes de branche. Concernant les flux d'animaux sont la BDNI et la BDPORC.

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