L’allergie est un motif fréquent d’inquiétude et de consultation médicale. Elle se manifeste par une rhinite (le nez qui coule), des éternuements fréquents, une toux ou parfois un gonflement ou l’apparition de rougeurs cutanées après ingestion d’un aliment, voire des difficultés à respirer.
Il est donc important de savoir à quelles substances vous êtes allergique afin de les éviter ou d’en prévenir les réactions. Mais, il convient de bien différencier l’«allergie » qui se manifeste par des symptômes cliniques, de la « sensibilisation » biologique qui est une réaction positive retrouvée dans le sang à un allergène, quel qu’il soit.
Qu'est-ce qu'un test d'allergie ?
Un test d'allergie est une procédure effectuée par un allergologue pour vérifier si votre corps présente une réponse allergique à une substance spécifique connue. Une allergie existe lorsque le système immunitaire du corps présente une réaction inattendue et inadaptée à un élément de l'environnement.
Quels sont les allergènes testés ?
Les principaux allergènes testés sont :
- Les acariens ;
- Les pollens de graminées et d’herbacées ;
- Les pollens d’arbres (bouleau, noisetier, olivier cyprès...) ;
- Les phanères (poils) d'animaux (chat, chien, cheval) ;
- Les moisissures ;
- Les blattes ;
- Les allergènes alimentaires ;
- D'autres allergènes dont le rôle est suggéré par le contexte de vie et l'interrogatoire de la personne supposée allergique.
Chez l'enfant de moins de 3 ans, en plus des tests précédents, sont testés l'arachide, le blanc d'œuf, le poisson et le lait de vache.
Les différents types de tests allergiques
Les tests d'allergie peuvent être effectués sur la peau, en analysant le sang, par un régime d'élimination ou encore par un test de provocation.
Les tests cutanés
Les tests cutanés d'allergie sont très courants et sont utilisés pour identifier plusieurs types d’allergènes : les allergènes aéroportés, les allergènes de contact et les allergènes alimentaires. Ils consistent à vérifier les changements et les réactions des cellules de la peau au contact de ces substances.
Il existe trois types de tests cutanés d'allergie et l’allergologue est susceptible de tous les réaliser pour obtenir un aperçu correct des réactions du corps aux allergènes.
Prick test
Le prick test est le test de référence pour les allergènes inhalés et les allergènes alimentaires. Le test consiste à utiliser un allergène placé dans un liquide, puis à étaler ce liquide sur la peau à l'aide d'un outil qui la perce légèrement pour permettre à l'allergène de s’y déplacer.
Il est suivi d'une période de surveillance pour voir comment la peau réagit. La lecture définitive se fait 10 à 20 min après l’application. Une allergie est caractérisée s'il y a une rougeur localisée, un gonflement, des démangeaisons et une élévation sur la partie exposée de la peau.
L’intradermo-réaction
Les tests intra dermiques sont utilisés pour l'exploration des allergies aux médicaments et aux piqûres d’hyménoptères (guêpes, abeilles). Le test suit le même principe qu’un prick test, sauf que le liquide dans lequel est présent l'allergène est cette fois directement injecté dans la couche dermique de la peau.
Il est suivi d'une surveillance pour vérifier la présence d’une réaction.
Test épicutané
Également appelés patch test, ils sont utilisés pour explorer les allergies cutanées comme l'eczéma de contact. On utilise pour cela plusieurs bandes d’adhésifs sur lesquelles ont été appliquées des pastilles contenant divers allergènes.
Ces adhésifs sont fixés sur la peau et, après 48 heures, on observe s’il y a eu une réaction. Les tests épicutanés sont plus longs à réaliser qu’un prick test et ou que l’intradermo-réaction, puisque la lecture des résultats ne se fait que 2 à 4 jours après la pose des patchs sur la peau.
Les allergènes sont appliqués sous pansements sur le dos pendant 48 heures. La peau ne doit pas avoir reçu de crème dermocorticoïde pendant 3 jours.
Les tests sanguins d'allergie
Les tests sanguins nécessitent une prise de sang, et sont réalisés lorsque les résultats des tests cutanés ne sont pas probants afin d’essayer d’identifier les allergènes déclenchant une réaction allergique.
On réalise alors des dosages des IgE (anticorps immunoglobuline E) spécifiques à certains allergènes.
- Lorsqu’une allergie respiratoire est évoquée, il est habituel de demander en première intention un test de dépistage tel que le Phadiatop® (un mélange de pneumallergènes) qui, lorsqu’il est positif, oriente vers ce diagnostic.
- De la même façon, le dépistage de l’allergie alimentaire fait le plus souvent appel, dans un premier temps, à un test utilisant un mélange d’allergènes alimentaires non séparés (ou trophallergènes) tels que Trophatop® (résultat qualitatif c’est-à-dire positif ou négatif).
Les immunoglobulines E (IgE) sont des protéines de la famille des anticorps, normalement présentes dans le sang chez tous les individus. Ces tests de mélange permettent de dépister un terrain allergique. Leur résultat est qualitatif.
Ils permettent de répondre à la question : avez-vous ou non des IgE spécifiques vis-à-vis d’un ou plusieurs allergènes du mélange, sans identification de l’allergène. La prise en charge par la sécurité sociale est possible, sur une même ordonnance, d’un dépistage d’un mélange d’allergènes respiratoires et/ou d’un mélange d’allergènes alimentaires.
Les résultats peuvent être qualitatifs (présence ou absence d’IgE spécifiques) ou quantitatifs auquel cas ils sont donnés, selon la méthode, dans différentes unités. Mais la présence d’IgE spécifiques n’est pas forcément synonyme d’allergie.
La prise en charge par la sécurité sociale est possible pour des dosages de 5 IgE spécifiques de peumallergènes et/ou de 5 IgE spécifiques de trophallergènes sur une même ordonnance. Qualitatifs ou semi-quantitatifs, ils ne doivent pas être utilisés en dépistage, ni pour le suivi d’un traitement de l’allergie.
Ces tests peuvent comporter un ensemble d’allergènes respiratoires ou bien d’allergènes alimentaires ou encore être mixtes (avec allergènes respiratoires et alimentaires). En effet, leur interprétation est délicate. Ils présentent souvent de multiples positivités sans pertinence clinique.
Les puces à allergènes (nommées Isac® ou Alex®) permettent d’établir un profil de sensibilisation, en particulier pour des allergènes associés à un risque de sévérité, et peuvent aider à prédire l’évolution clinique. Les puces ne sont pas des tests de dépistage et nécessitent une interprétation par un spécialiste car il peut y avoir des « faux positifs » mais aussi des « faux négatifs.
Le dosage des IgE totales n'est pas un test de dépistage de l'allergie. Ils sont peu spécifiques et leur présence en grande quantité peut témoigner d’une pathologie autre qu'allergique (infection virale, parasitaire, affection tumorales, certains déficits immunitaires...). Le dosage des IgE spécifiques permet de dépister plus précisément une allergie respiratoire ou alimentaire.
Les tests sanguins consistent à faire une prise de sang et à déterminer si le sérum contient des anticorps, les IgE (Immunoglobulines E), qui sont les anticorps impliqués dans les réactions allergiques.
Attention ! Les tests d’allergie devront être refaits à intervalles plus ou moins réguliers en fonction de l’évolution des symptômes. L’allergie évolue avec le temps. De nouveaux allergènes peuvent apparaître et, à l’inverse, on peut développer naturellement une tolérance à des allergènes, notamment alimentaires, qu’on ne supportait pas.
L’épreuve d’éviction-reintroduction
Ce test est proposé en cas de suspicion d’allergie alimentaire. On élimine de l’alimentation l’aliment suspect pendant 4 semaines. Les symptômes doivent alors diminuer ou disparaître. Ils réapparaissent à la réintroduction de l’aliment.
Le test de provocation
Ce test est réalisé sous surveillance en milieu hospitalier et a pour but de reproduire en temps réel les symptômes d'allergie après administration de l'allergène suspecté par voie orale pour les allergènes alimentaires et médicamenteux, par inhalation pour les allergènes inhalés.
Test d’ingestion d’un aliment, le TPO, permet aux allergologues de connaître la quantité d’aliment qui déclenche les symptômes ainsi que leur nature et chronologie. Les informations fournies par les TPO permettent notamment d’évaluer le risque encouru lors d’une consommation accidentelle de l’aliment.
Le principe général de ce test est de proposer l’aliment à tester sous une forme de consommation courante et sous la forme ayant déclenché la réaction.
Comment se préparer aux tests cutanés d'allergie ?
Le médecin vous posera des questions sur vos antécédents familiaux et médicaux avant d'effectuer la procédure. Il vous demandera d'arrêter de prendre votre traitement antihistaminique habituel (aerius, kilaska, zyrtex, virlix, kestin, ect.) si vous en avez un.
Mais il faudra également arrêter tous les médicaments antihistaminiques pris pour d’autres motifs:
- Antihistaminiques locaux (collyres, spray nasaux) ;
- Les antihistaminiques utilisés comme anxiolytiques (atarax) ;
- Certains médicaments et sirop contre le rhume ;
- Certains médicaments pour le traitement des brûlures d'estomac.
En cas de doute, n’hésitez pas à demander à votre pharmacien ou à votre médecin la composition de vos traitements.
Risques des tests d'allergie
Les tests d'allergie peuvent provoquer des démangeaisons, des rougeurs et un léger gonflement. Ils peuvent également provoquer l'apparition de petites bosses sur la peau dans certains cas. Ces symptômes peuvent durer de quelques heures à quelques jours.
Les réactions allergiques fortes sont rares mais nécessitent une attention médicale immédiate.
Comment lire les résultats d’un bilan allergologique ?
Les résultats de votre bilan allergologique doivent être interprétés avec votre médecin allergologue. Pour rechercher les allergènes en cause dans votre allergie, votre médecin commence par vous interroger précisément sur les circonstances de survenue des manifestations allergiques.
Votre médecin vous prescrit un bilan allergologique lorsqu’il met en évidence une association forte entre l'exposition à un et la survenue de vos symptômes. Il évoque une possible réaction allergique.
Les tests cutanés consistent à tester la réaction de la peau au contact d’une toute petite quantité d’ pour savoir si la personne est sensibilisée à certains allergènes. On pose une goutte de plusieurs allergènes sur la peau, et on pique ensuite légèrement la peau au travers de chaque goutte de façon à introduire la substance au niveau de l'épiderme.
La lecture du test a lieu après 15 minutes et consiste à mesurer le diamètre de l'induration et de la rougeur. Le test est considéré comme positif si le diamètre de l'induration est supérieur à 3 mm par rapport au témoin négatif dont le diamètre est nul.
Le prick test est en général très bien toléré.
L'IDR consiste à injecter sous la peau (avant-bras, dos ou bras) un faible volume du produit. Le produit est injecté toutes les 30 minutes avec une concentration de plus en plus importante. La lecture est faite 20 minutes plus tard.
Ce test a pour but de reproduire les symptômes d'allergie après administration de l' suspecté.
Quand faire un test d'allergie chez l'enfant ?
Contrairement à ce que l’on pense encore parfois, il ne faut pas attendre un certain âge chez l'enfant, avant de faire des tests. Ceux-ci peuvent être réalisés chez le tout petit enfant, dès les premières heures ou premières semaines si des symptômes apparaissent.
Il est beaucoup plus facile de combattre l’allergie et d’éviter les allergènes en cause lorsque l’on connaît avec certitude ce à quoi on réagit. Les différents outils et techniques à disposition des allergologues leurs permettent d’identifier de manière beaucoup plus efficace que par le passé les allergènes responsables des réactions allergiques.
Pourquoi faire un test d'allergie alimentaire?
Certaines personnes souffrent d'allergies alimentaires - souvent sans le savoir. Une allergie aux aliments n’est pas la même chose qu’une intolérance alimentaire. Et dans certains cas, les symptômes d’allergie alimentaire sont gênants et malsains en permanence, mais ils sont également subtils et difficiles à attribuer à des repas spécifiques.
C'est précisément dans ces cas-là qu'il peut être utile de passer un test pour vous donner une première orientation, que vous ne pourrez peut-être pas tolérer. Théoriquement, vous pourriez être allergique à toutes sortes d'aliments. Dans la pratique, cependant, ce sont toujours les suspects habituels qui sont responsables d'une grande partie des allergies.
Comment fonctionne le test d’allergie alimentaire ?
Pour le test de réaction allergique alimentaire, utilisez une lancette pour prélever quelques gouttes de sang au bout de votre doigt. Tout ce dont vous avez besoin pour l'extraction est inclus dans le kit de test. Vous envoyez ensuite l'échantillon à un laboratoire de diagnostic spécialisé.
Le laboratoire analysera le nombre de certains anticorps IgE dans votre sang. Ces anticorps indiquent chacun si vous êtes sensibilisé à l'un des 38 aliments différents.
Que vous dit le résultat du test d'allergie alimentaire ?
Le rapport des résultats du test d'allergie alimentaire montre pour quels aliments il y a de plus grandes quantités d'anticorps IgE dans le sang. Un tableau clair montre à quel point vous êtes sensibilisé à 38 aliments et groupes d'aliments différents.
Cette sensibilisation vous montre à quel point votre système immunitaire est capable de réagir à un aliment par des réactions allergiques. Il s'agit donc d'un premier indice d'une possible allergie alimentaire.
Le test ne peut pas vous donner un diagnostic d'allergie fiable. Seuls les médecins qui combinent un test d'allergie avec des antécédents médicaux, c'est-à-dire qui vous interrogent sur vos symptômes et votre état de santé, sont autorisés à établir le diagnostic.
Quelles sont les recommandations que vous obtenez après le test d'allergie alimentaire ?
Vous recevrez des recommandations sur la manière de traiter le résultat du test. Il est important que vous preniez en compte les symptômes que vous éprouvez après avoir mangé certains aliments. Parfois, les gens peuvent avoir un niveau élevé d'anticorps IgE contre un aliment dans leur sang, mais ne présentent toujours pas de symptômes.
Si tel est le cas, vous recevrez également des recommandations d'action dans le rapport sur les résultats. Mais vous recevrez également des recommandations sur la manière de traiter les réactions allergiques alimentaires liées aux allergies identifiées, et de maintenir votre alimentation saine et équilibrée malgré les allergies alimentaires.
Que sont les anticorps IgE ?
Les anticorps font partie des mécanismes de défense de votre système immunitaire. Il s'agit de certaines protéines (blancs d'œufs). L'organisme les utilise principalement pour éliminer les agents pathogènes tels que les virus et les bactéries.
Il existe différentes classes d'anticorps, chacun ayant des tâches différentes. Les immunoglobulines E (IgE) sont spécialisées dans la défense contre les parasites, par exemple les vers. Lorsque les cellules de défense de votre corps reconnaissent des agents pathogènes ou des parasites, elles transmettent cette information aux plasmocytes, une classe de globules blancs. Ceux-ci produisent alors des anticorps spécifiques.
Quel est le lien entre les IgE et les allergies ?
Si vous souffrez d'une allergie, votre corps a par le passé confondu une substance inoffensive avec un agent pathogène menaçant. Les substances qui peuvent en être la cause sont les protéines, que l'on trouve dans les aliments, le pollen, les poils d'animaux, les acariens et les médicaments, entre autres. Ces déclencheurs d'allergies possibles sont appelés allergènes.
Après cette confusion, votre système immunitaire a produit certains anticorps IgE contre l'allergène. Si les mêmes substances frappent à nouveau l'organisme, votre système immunitaire sonnera l'alarme. Ils déclenchent des réactions défensives : La substance messagère histamine est libérée, une inflammation se produit et les symptômes typiques d'une allergie se développent.
Les anticorps IgE peuvent rester dans votre corps pendant toute la vie. Dans certains cas, cependant, les allergies disparaissent à nouveau. Dans le cas des allergies alimentaires, la sensibilisation commence généralement dès l'enfance. Dans leur jeunesse, beaucoup perdent alors leurs allergies au lait de vache, aux œufs, au blé et au soja.
Quels sont les symptômes d'une allergie alimentaire ?
L'allergie alimentaire est une allergie de type immédiat. Les symptômes apparaissent généralement immédiatement ou seulement quelques minutes après avoir mangé.
Les noix, le soja et les aliments d'origine animale tels que le lait, les œufs et les crustacés, en particulier, peuvent également provoquer un choc allergique dangereux (choc anaphylactique). Dans ce cas, la pression artérielle chute soudainement. Cela peut entraîner un évanouissement et, dans de rares cas, même la mort.
Si vous avez déjà eu un choc anaphylactique, ou si vous avez été diagnostiqué comme risquant d'en avoir un, les médecins peuvent vous prescrire un kit d'urgence pour l'anaphylaxie. Il contient des médicaments pour vous aider à contrer cette réaction allergique grave.
Que dois-je faire si je souffre d'allergies alimentaires ?
Il n'existe pas de thérapie pour guérir une allergie à la nourriture. Dans certains cas, les allergies s'atténuent d'elles-mêmes avec le temps. Les médecins ne connaissent pas encore de moyen d'influencer efficacement cette situation.
Par conséquent, la seule mesure efficace à long terme est d'éviter les aliments que vous ne pouvez pas tolérer, afin de réduire les réactions allergiques alimentaires. Cela peut impliquer de passer un certain temps à étudier les listes d'ingrédients sur les emballages.
En effet, de nombreux produits contiennent des allergènes que l'on ne s'attendrait pas à trouver dans ces produits. Le soja, l'œuf, le lait et le blé, en particulier, se trouvent dans de nombreux aliments préparés et transformés. Heureusement, les fabricants doivent étiqueter et mettre en évidence les 14 allergènes les plus importants sur leurs produits.
Tableau récapitulatif des tests d'allergie alimentaire
Type de test | Méthode | Allergènes détectés | Délai des résultats | Remarques |
---|---|---|---|---|
Prick test | Application d'allergènes sur la peau avec une légère piqûre | Aéroportés, alimentaires | 15-20 minutes | Test de référence |
Intradermo-réaction | Injection d'allergène dans le derme | Médicaments, piqûres d'hyménoptères | 20 minutes | Pour allergies spécifiques |
Test épicutané (patch test) | Application d'allergènes sous pansements | Allergies cutanées (eczéma de contact) | 2-4 jours | Lecture différée |
Tests sanguins (IgE spécifiques) | Analyse de sang pour détecter les IgE spécifiques | Respiratoires, alimentaires | Quelques jours | Si tests cutanés non concluants |
Épreuve d'éviction-réintroduction | Suppression puis réintroduction d'un aliment suspect | Alimentaires | Plusieurs semaines | Observation des symptômes |
Test de provocation | Administration contrôlée de l'allergène | Alimentaires, médicamenteux, inhalés | Quelques heures | Sous surveillance médicale |
En cas de symptômes, la meilleure chose à faire est de consulter en premier votre médecin traitant au plus tôt. L'allergologue pourra, grâce à un interrogatoire précis et divers tests, identifier le ou les allergène(s) responsable de votre (vos) allergie(s).
Si vous pensez être allergique à un aliment, consultez votre médecin traitant. Il vous orientera si nécessaire vers un allergologue (médecin spécialiste des allergies).
TAG: