Lorsqu’il s’agit de joueurs de football mondialement connus, leur vie en dehors du terrain est souvent aussi fascinante que leurs compétences sportives. Pour de nombreux footballeurs, l’alimentation et la nutrition sont au cœur de leurs performances, mais cela ne signifie pas qu’ils ne peuvent pas savourer leurs plats préférés. Un sujet particulièrement intrigant est leurs préférences culinaires - les plats et saveurs qui captivent le cœur (et les papilles) de ces stars mondiales.
Les Plats Préférés des Stars du Football
Cristiano Ronaldo, l’un des visages les plus reconnaissables du sport, est connu non seulement pour son dévouement à la forme physique, mais aussi pour son amour de la cuisine portugaise. Son plat préféré, le Bacalhau à Brás, est une recette portugaise traditionnelle à base de morue salée, d’oignons, de pommes de terre et d’œufs. Le plat préféré de Lionel Messi, l’Asado, est un incontournable de la culture argentine et une expérience autant qu’un plat. L’Asado est un barbecue comprenant une variété de viandes, souvent grillées à la perfection sur un feu de bois, comprenant du bœuf, du porc et des saucisses. Neymar Jr., la superstar brésilienne, a un goût prononcé pour la Feijoada, un ragoût brésilien traditionnel à base de haricots noirs et de porc. Ce plat copieux est souvent cuit lentement, permettant aux saveurs de se mélanger dans un résultat riche et satisfaisant. L’indulgence préférée de Kylian Mbappé est bien plus simple qu’on pourrait le penser : les crêpes. Ces pancakes français polyvalents sont légers, délicieux et peuvent être garnis d’ingrédients sucrés ou salés. Mbappé aime les crêpes avec diverses garnitures, allant du Nutella et des fraises au jambon et fromage. L’attaquant suédois Zlatan Ibrahimović reste connecté à ses racines avec son amour pour les boulettes de viande suédoises. Ce plat classique, souvent accompagné de sauce aux airelles et de purée de pommes de terre, est un plat réconfortant pour Ibrahimović.
Chacun de ces plats préférés représente plus qu’un simple repas - il s’agit d’une connexion à la culture, à la famille et à l’identité personnelle. Que ce soit l’hommage de Ronaldo aux saveurs portugaises ou la célébration des traditions de grillades argentines par Messi, ces plats reflètent les valeurs qui rendent chaque joueur unique. Explorer les préférences culinaires des élites du football nous permet de porter un nouveau regard sur ces stars.
Kylian Mbappé: Un Goût Simple Mais Exquis
Et si ce soir vous vous mettiez aux fourneaux pour préparer le plat préféré du joueur iconique dont tout le monde parle : Kylian Mbappé. Alors prêt à relever le défi ? Chez les sportifs de haut niveau, l’alimentation est primordiale pour qu’ils se dépassent et atteignent leur meilleure performance. C’est un sujet qui intéresse particulièrement le public. Dans cet ouvrage inédit qui sortira le 9 novembre prochain, vous pourrez découvrir les recettes de vos champions français et joueurs du club.
Les Plats Phares de Mbappé
Kylian Mbappé reconnaît être fan de poulet frit. Il craque face à une belle panure bien croustillante. Justement pour que cette dernière craque sous la dent, son chef a une astuce toute simple : l’eau gazeuse. Côté préparation, commencez par faire chauffer l’huile à 180°C. Pendant ce temps, mélangez la farine, la fécule, le sel et l’eau gazeuse avant de rouler les cuisses de poulet dedans. Puis, faites frire les morceaux à 180°C pendant 9 minutes et c’est déjà prêt. Pour accompagner ce poulet frit, le joueur ajoute des penne au pesto et de la mozzarella.
Pour varier les plaisirs, Kylian Mbappé apprécie également manger des spaghettis à la carbonara. Mais ce qu’il aime vraiment c’est ajouter par dessus une bonne dose de livèche, une herbe aromatique avec un goût qui se rapproche de celui du fenouil. C’est le petit plus qui séduit le footballeur.
La Filière Porcine en France: Enjeux et Défis
Le porc n’est plus la viande la plus consommée en France. En moyenne, vous en dégustez plus de 30 kg chaque année. En 2024, la consommation a bondi de près de 10% dans nos assiettes. Mais cette viande est aussi moins coûteuse et moins calorique que les autres chairs.
Producteurs, acheteurs et transformateurs de la filière porcine française se retrouvent lundi après-midi chez le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, pour tenter de trouver une solution à leur désaccord sur le prix d'achat au producteur. A 1,4 euro le kilogramme, les producteurs de porc étaient à peu près satisfaits. Mais pour les industriels du secteur, qui viennent en aval, c'est le prix le plus élevé d'Europe. Un prix inacceptable, car non compétitif. Le ministre français de l'Agriculture aura fort à faire pour établir l'équilibre entre des intérêts aussi divergents, lors de ce rendez-vous du jour. Les producteurs, regroupés dans les régions de Bretagne, de Normandie et des Pays de la Loire, dénoncent l'étranglement de leurs exploitations par des prix d'achat qui ne couvrent pas leurs frais. Ces éleveurs annoncent un rassemblement de protestation le 3 septembre prochain à Paris, et un autre à Bruxelles le 7 septembre.
« Sur le court terme, je crois que le ministre doit demander à l’ensemble des opérateurs de tenir leurs engagements, à savoir qu’on puisse maintenir ce prix de 1.40€ pour les éleveurs, dont je rappelle qu’il n’est pas rémunérateur pour l’éleveur, il permet simplement de couvrir ses charges, expliquait ce matin sur une chaîne de télévision Xavier Beulin le président de la FNSEA. Je crois qu’il faut que le ministre cet après-midi prenne l’engagement de faire tout le travail nécessaire auprès de ses collègues européens pour qu’enfin la Commission européenne, l’Union européenne, face notamment à l’embargo russe qui est l’une des causes de cette situation dramatique en France et en Europe, puisse trouver des solutions. La Commission européenne aujourd’hui a des moyens. Elle a des moyens à la fois sur le plan juridique, elle a des moyens financiers pour intervenir en cas de crise. La crise est profonde. Elle n’est pas simplement française mais elle marque différemment la France. Pourquoi ? Parce que vous le savez, nous avons des coûts de revient en France qui sont supérieurs à nos voisins donc ça accentue évidemment la difficulté ».
Sur le marché européen, les prix sont globalement à la baisse, en raison de la surproduction liée à l'embargo russe. Mais les porcs allemands sont 28 centimes moins chers au kilogramme, et les porcs hollandais 38 centimes moins chers.
Le premier ministre, Manuel Valls, a annoncé samedi la réunion, «prochainement», de tous les acteurs de la filière du porc, à l'occasion d'une visite chez un éleveur de porcs des Côtes d'Armor, après plusieurs actions des éleveurs contre leurs prix de vente trop bas ces dernières semaines. «Stéphane Le Foll va réunir prochainement l'ensemble des acteurs de la filière, notamment avec la grande distribution, parce que là, il faut qu'il y ait une discussion très directe et très franche pour que nous trouvions ensemble des solutions», a déclaré M. Valls après une heure passée en début de matinée à visiter l'exploitation d'un éleveur de porcs de Pléboulle.
«Moi-même j'aborderai ces questions à l'occasion de ma rencontre avec la Commission Européenne mercredi prochain, sur les distorsions du droit communautaire de la concurrence qu'il faut faire évoluer», a-t-il ajouté, en présence d'une dizaine d'autres éleveurs de porcs venus à sa rencontre. «Et puis enfin, (il y a) la problématique de l'embargo russe puisqu'il faut progressivement en sortir», a souligné le premier ministre.
«L'urgence est là, la détresse elle est là, elle est palpable, elle est portée par des hommes qui sont extrêmement inquiets pour eux-mêmes, pour leurs familles, pour la Bretagne aussi, pour l'économie de cette région», a souligné M. Valls après sa visite de l'exploitation (380 truies) de Johann Lecorguillé, jeune éleveur installé depuis avril 2014.
«Il y a urgence, donc nous avons demandé à tous les préfets d'être très attentifs aux situations individuelles parce qu'il y a des messages de désespoir individuels qui sont passés notamment en ce qui concerne des questions financières», a ajouté M. Valls alors qu'un autre éleveur des Côtes d'Armor a entamé une grève de la faim il y a plus d'une semaine.
Jeudi, au marché au cadran de Plérin, qui sert de référence au niveau national, le porc s'échangeait à 1,226 euro le kilo alors que, selon les éleveurs, le prix de revient se situe à 1,55 euro environ. «Il y a une très grande inquiétude dans cette filière, le mot est faible, c'est-à-dire la crainte de voir cette filière s'écrouler et donc, à terme, disparaître, notamment parce que les prix se sont eux-mêmes écroulés, (et) parce qu'il y a, bien sûr, l'embargo russe», a également souligné M. Valls. «Nous devons soutenir toute cette filière», a-t-il ajouté.
Après le départ du premier ministre, l'éleveur Johann Lecorguillé, s'est déclaré «satisfait car on voit qu'il a été à l'écoute des revendications, il connaît bien le problème». «Ils ont mis des choses en place au niveau des préfectures il faut que ça aille plus vite», a ajouté M.
Sécurité Alimentaire et Rappels de Produits
Un lot de rôti de porc nature vendu sous la marque U fait l’objet d’un rappel partout en France. En cause : une possible contamination à la Listeria monocytogenes, responsable de la listériose, selon une alerte publiée mercredi sur le site gouvernemental Rappel Conso. « La listériose est une maladie qui peut être grave et dont le délai d’incubation peut aller jusqu’à huit semaines », précise la préconisation sanitaire. Des formes sévères peuvent survenir, notamment chez les femmes enceintes, les personnes âgées ou immunodéprimées.
Commercialisé dans les magasins U de France fin juilletLe produit concerné est un rôti de porc nature Bleu Blanc Cœur U, en barquette de 8 tranches (320 g), portant le code-barres 3256227752773 et le numéro de lot 000011420294, avec une date limite de consommation au 22 août 2025. Il a été commercialisé dans les magasins U de la France entière entre le 25 et le 30 juillet.
Les consommateurs sont invités à ne pas consommer ce produit, à le rapporter en magasin ou à le détruire. Un remboursement est prévu.
Loi Alimentation et Pouvoir des Exploitants Agricoles
La loi alimentation veut donner plus de pouvoir aux exploitants agricoles dans la fixation des prix. À Trémeur dans les Côtes d'Amor, Guy Corbel, un éleveur de porc, nourrit ses cochons, mais quand il le fait, il perd de l'argent. En cause : le climat qui a fait baisser le rendement des céréales et augmenté les prix. Dans son exploitation, le coût des aliments a augmenté de 40% en quelques mois.
Côté consommation, ce n'est pas mieux, en dix ans les Français ont réduit leurs achats de viande de 12%. Sur le marché breton, les voyants repassent dans le rouge après une amélioration en 2017. "Le cours moyen depuis ces derniers mois a baissé de 20 centimes par rapport à la même période 2017 [...] on a donc perdu plus de 20€ par porc", explique Paul Auffray, le président de la fédération nationale porcine. Comme en 2015, le spectre de la crise refait surface quand les agriculteurs de l'Ouest de la France avaient montré toute leur colère. Depuis, le gouvernement a mis sur la table un projet de loi alimentation avec dans les propositions un prix minimum réservé à l'éleveur.
Consommation Mondiale de Viande: Tendances et Perspectives
Tirée par les pays émergents, la consommation mondiale de viande va continuer sa progression. C’est ce qu’ont estimé les scientifiques réunis au 61e Congrès international des Sciences et Technologies des viandes, qui s’est achevé ce week-end à Clermont-Ferrand. « La tendance envisagée est une augmentation de la consommation mondiale de viande de 1,6 % par an lors des dix prochaines années », détaille ainsi l’agroéconomiste belge Erik Mathijs, citant des chiffres récents de l’Organisation des nations unies (ONU) pour l’alimentation et l’agriculture.
En cinquante ans, la consommation de produits carnés (viande fraîche, charcuterie, plats surgelés, conserves) a pourtant déjà presque doublé dans le monde, passant de 23,1 kilos par personne et par an en 1961, à 42,2 kilos en 2011.
Cooperl et New Hope Liuhe: Partenariat Stratégique en Chine
La coopérative bretonne Cooperl, leader du porc en France, s’associe au groupe agricole chinois New Hope Liuhe pour construire une usine de transformation de produits issus du porc. Leur projet ? Construire une usine qui fabriquera « des produits de salaison et autres produits cuits, non cuits ou fumés selon une méthode occidentale de cuisson à basse température ». Pour les deux partenaires, cette usine est « une première étape de coopération pour développer une filière de production complète du porc en Chine ».
La Cooperl, leader du porc en France avec 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires, 5 000 salariés et 2 700 adhérents, s’associe à un partenaire de taille. Le groupe indique transformer environ 800 millions de porcs et 13 milliards de poulets par an dans une vingtaine de pays. La Cooperl s’intéresse de longue date à la Chine. Il faut dire que cette dernière produit un porc sur deux dans le monde… La coopérative bretonne y vend de la viande, de la génétique et un peu de charcuterie.
Tableau Récapitulatif: Préférences Alimentaires des Joueurs de Football
Joueur | Plat Préféré |
---|---|
Cristiano Ronaldo | Bacalhau à Brás |
Lionel Messi | Asado (bœuf, porc, saucisses) |
Neymar Jr. | Feijoada (haricots noirs et porc) |
Zlatan Ibrahimović | Boulettes de viande suédoises |
Kylian Mbappé | Crêpes |
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