Le nom “Pain de Sucre” est dû à sa forme, qui ressemble à une forme traditionnelle du conditionnement du sucre raffiné utilisée au 16ème siècle. Situé au cœur de Rio de Janeiro au Brésil, le Pain de Sucre est une icône emblématique, avec sa silhouette imposante et sa vue panoramique à couper le souffle.
Le Pain de Sucre de Rio de Janeiro : Un Symbole Brésilien
Le téléphérique, avec son second tronçon de 700 mètres équipé de cabines panoramiques, vous emmène dans une montée vertigineuse à 396 mètres au-dessus du niveau de la mer. Au sommet de la colline d’Urca, vous trouverez le Cocuruto, un espace d’exposition qui raconte l’histoire fascinante du téléphérique du Pain de Sucre. Un peu plus loin, l’espace Guanabara Bay offre un lieu de repos avec des restaurants, des stands de restauration rapide, des boutiques de souvenirs et divers services. En flânant sur les sentiers paves, vous pourrez apercevoir les singes marmosets, des toucans à bec de canne et peut être même des colibris ! Un autre point d’intérêt est l’un des deux héliports les plus utilisés pour les vols panoramiques au-dessus de la ville de Rio de Janeiro, situé sur le Morro da Urca lui-même.
Le soir, le Pain de Sucre prend une dimension complètement nouvelle. Les lumières de la ville scintillent comme des étoiles, la statue du Christ Rédempteur illuminée domine la ville, et la brise marine souffle doucement. Le Pain de Sucre n’est pas seulement une destination pour les vues. C’est aussi un symbole de l’histoire et de la culture de Rio.
Le Pain de Sucre de Sainte-Adresse : Un Monument Historique
Le Pain de Sucre, situé à Sainte-Adresse, est un monument emblématique qui surplombe la ville du Havre. Sa forme distinctive et sa couleur blanche lui ont valu son nom, rappelant les blocs de sucre raffinés utilisés dans le commerce de la canne à sucre au XVIème siècle. Le Pain de Sucre est un cénotaphe érigé en 1852 en mémoire du Général-Comte Charles Lefebvre-Desnouettes. Ce général, qui a participé aux batailles d’Austerlitz et d’Iéna, a péri dans un naufrage près des côtes d’Irlande en 1822. Sa veuve, Stéphanie Rollier, a décidé de construire ce monument en son honneur. Elle souhaitait non seulement commémorer la mémoire de son défunt mari, mais aussi fournir un repère aux marins naviguant près de la côte havraise.
Au-delà de sa fonction commémorative, le Pain de Sucre avait également un rôle pratique. Stéphanie Rollier, préoccupée par le sort des marins et de leurs familles, a érigé ce monument à un endroit stratégique pour prévenir les navigateurs des dangers potentiels. Aujourd’hui, le Pain de Sucre demeure un point de repère important pour la ville du Havre et ses environs. Il est non seulement un rappel du riche passé maritime de la région, mais aussi un symbole de la résilience et de la détermination de ceux qui ont vécu avant nous. Au fil des années, diverses cérémonies et événements ont été organisés autour du Pain de Sucre, renforçant son statut de monument emblématique. Le Pain de Sucre de Sainte-Adresse est bien plus qu’un simple monument. Il est le témoin silencieux de nombreuses histoires, de tragédies maritimes et de souvenirs d’un passé révolu.
Le Pain : Un Aliment Emblématique de la Culture Française
Aliment emblématique de la culture française, empreint de dimensions identitaires et symboliques, le pain est aussi un miroir de l’évolution de nos modes de vie. De moins en moins consommé au petit déjeuner ou en accompagnement des plats, il l’est de plus en plus sous forme de sandwichs ou de hamburgers, notamment par les jeunes. Si d’un point de vue nutritif il reste le premier contributeur en glucides et fibres dans le régime alimentaire des adultes, sa consommation globale est très nettement en baisse depuis un siècle, puisqu’elle est passée de 900 grammes par jour en moyenne en 1900 à une centaine de grammes aujourd’hui.
En même temps, les Français privilégient encore aujourd’hui les établissements artisanaux pour acheter leur pain, avec des produits jugés plus qualitatifs. Ces comportements sont notamment renforcés par la tendance sociétale vers une nourriture plus saine et consciente, ainsi que par la succession des crises sanitaires : les consommateurs se soucient de plus en plus des aliments qu’ils ingèrent et sont ainsi d’autant plus demandeurs de produits artisanaux, auxquels ils associent qualités gustatives et nutritionnelles.
L'Histoire du Pain : Des Origines à Nos Jours
Historiquement, c’est au hasard qu’est le plus souvent attribué l’invention du pain par les Égyptiens : de la pâte sans levain (eau, lait et farine d’orge et de millet) aurait été oubliée, se serait « gâtée » mais aurait été cuite malgré tout. Ainsi aurait eu lieu la découverte du pain avec levain. Depuis, l’histoire du pain est intimement mêlée aux innovations techniques, tant dans le processus de fabrication que dans l’évolution des outils. Mais à celles-ci s’ajoutent un certain nombre d’innovations sociales, organisationnelles ou réglementaires, tout aussi fondamentales - par exemple le développement d’alternatives autour de filières territorialisées ou de chaînes locales. C’est cette intrication que nous avons pu mettre en évidence dans le cadre d’une recherche dédiée à l’innovation de ce produit du quotidien.
Le pain fait partie de la nourriture de base de l’homme depuis que ce dernier a compris l’intérêt de la culture et de la sédentarisation. La domestication d’espèces végétales à intérêt alimentaire, dont font partie les céréales panifiables, marque une double rupture démographique importante : la densification et la sédentarisation. Le pain est le symbole de ces évolutions majeures, en particulier en France. Selon l’historien espagnol Benigno Cacérès, toute l’histoire de l’humanité est comme « rythmée par la production des céréales panifiables : des révoltes, des guerres, des conquêtes se sont déclenchées à cause du pain. Objet de pouvoir, il sera vite réglementé : son poids, son prix, ses ingrédients et bien sûr l’organisation de la profession de boulanger.
Mais avant le boulanger, il y a le meunier et les paysans : c’est toute une architecture sociale qui repose sur la protection et la commercialisation du pain ». Pour obtenir du pain, il faut trois composants dont l’action est complémentaire et indissociable : l’amidon qui fournit les sucres ; le gluten qui assure la cohésion de l’ensemble ; et enfin la levure qui produit la levée et l’allègement de la pâte.
L'Évolution de la Culture du Pain
Avant le pain, il y eut le blé. Des recherches récentes des restes d’un foyer en Jordanie montrent cependant que du pain avait en réalité déjà été produit il y a 14 000 ans, quatre millénaires avant le début de l’agriculture. Si l’exploitation des céréales n’est pas courante à cette époque, il semble que la préparation et la consommation de produits semblables au pain (aliments à base de racines par exemple) précédent d’au moins 4 000 ans l’émergence de l’agriculture. Cependant, les repas à base de céréales comme le pain ne deviennent des aliments de base que lorsque, semble-t-il, s’établit l’agriculture fondée sur la culture des céréales, d’abord dans le « Croissant fertile », au Moyen-Orient, puis dans d’autres régions dont l’Europe.
C’est au cours de cette période appelée « Révolution néolithique », il y a de cela 100 000 à 5 000 ans, que l’homme commence à gérer la production de son environnement et qu’il passe de prédateur/cueilleur à cultivateur. La première série d’innovations en lien avec le pain concerne donc d’abord ce passage de la cueillette vers la culture : l’innovation est autant sociétale - puisqu’il s’agit de passer d’un mode de vie itinérant en fonction des stocks de nourriture à un mode de vie sédentaire autour d’une culture - que technique (domestiquer des variétés, préparer le sol, semer, récolter, et conserver les grains). Cette première série se poursuit par une seconde série d’innovations technologiques déterminantes, qui conduit l’humanité à savoir extraire la farine et à la transformer en pain.
Innovations et Techniques de Transformation du Blé
Les techniques de transformation du blé permettent progressivement d’améliorer le produit. L’invention du pain au levain est attribuée aux Égyptiens, qui avaient découvert les effets « magiques » de la fermentation. Pour réaliser ce pain, ils prennent soin d’ajouter un morceau de pâte restant de la veille au mélange de grains moulus et d’eau. Ces savoir-faire sont ensuite transmis aux Grecs, qui associent au pain des significations religieuses importantes. À l’époque, il existe plus de 70 variétés de pain et on utilise, pour faire lever la pâte, des levures issues du vin et conservées dans des amphores. Vers le début du Ve siècle av. J.-C., les Grecs inventent le moulin à trémie d’Olynthe, allégeant ainsi le travail des meuniers.
À l’époque de l’Empire romain, l’empereur doit garantir l’accès au pain pour la population, qui est l’aliment de base d’une grande partie de celle-ci. Plusieurs innovations techniques et organisationnelles ont lieu durant cette période : les Romains reprennent le mode de fabrication grec à base de levure provenant du moût de vendange, et perfectionnent le pétrissage. Ils améliorent le système des moulins en 100 av. J.-C. en utilisant la force de l’eau : de grosses roues plongées dans le courant actionnent les meules et viennent remplacer les esclaves. Les plus riches mangent des pains de farine blanche, les pauvres un pain de farine et de son, les esclaves du pain d’orge. Le gradilis est un pain distribué aux gens pendant les jeux dans les amphithéâtres, pour honorer la promesse de distribuer le pain et le plaisir aux gens.
Le Pain au Moyen Âge : Un Sujet Royal
Au Moyen Âge, la place du pain prend encore plus d’importance dans l’alimentation. Vers 630, on trouve les premiers écrits concernant la réglementation de la vente et pesage du pain, qui est attribuée à Dagobert. Les boulangeries se situaient dans les cours royales, les villes fortifiées et les abbayes. Annonçant ce qui deviendra la filière, le boulanger ou « talmelier » s’occupe de l’ensemble des opérations, de l’approvisionnement, depuis l’achat des céréales, jusqu’à la vente à l’ouvroir (fenêtre-comptoir de la boutique). Au fur et à mesure que le pouvoir royal renforce son pouvoir, la qualité, le prix et le contrôle du pain, aliment de base de la population, sont soumis à de nombreuses règles édictées par l’État. En 1217, le boulanger doit obtenir une autorisation du roi pour exercer. Au XIIIe siècle, à Paris, Étienne Boileau rédige, à la demande de Saint-Louis, le livre des Métiers, qui indique que l’apprentissage du métier de « talmelier » dure cinq ans à partir de l’âge de quatorze ans ; au moment de devenir patron, il doit être en mesure d’acheter un fonds de commerce et de payer régulièrement les taxes en usage. En 1260, la corporation des boulangers voit le jour à Paris, qui poursuit la réglementation.
Le pain et les céréales nécessaires à son élaboration sont l’objet de très nombreuses innovations entraînées par sa place centrale dans l’alimentation et l’impact commercial de cette position : améliorer la production du pain et son goût, et accroître les rendements pour obtenir un excédent commercialisable.
Accélérations Techniques au Fil des Siècles
Dès la Renaissance, le développement des sciences se traduit par à des avancées en matière de technologie meunière et boulangère. Apparus en France en 400 ap. J.-C., les moulins à eau se comptent par centaines de milliers au XIIIe siècle. Ces innovations vont affecter la production de la farine, jusqu’à leur remplacement à la fin du XIXe siècle par des minoteries industrielles. Le premier pétrin est inventé en 1751 et se perfectionne surtout au XIXe siècle, devenant mécanique en même temps que les machines à mouture se peaufinent. Parmentier ouvre la première école de boulangerie en 1780. Durant la Révolution française, le décret du 17 mars 1791 supprime les corporations et donne le droit aux boulangers d’exercer librement leur métier.
L’invention du microscope au XVIIe siècle bénéficie aux premiers travaux scientifiques applicables à la levure, et la fermentation par la levure de bière se développe. La production de pain se diversifie et on ne consomme plus de pains de pois, de fèves ou de glands sauf en période de disette. C’est en 1860, que Louis Pasteur identifie la levure comme le micro-organisme responsable de la fermentation alcoolique, et très rapidement ensuite à partir de 1867, la fabrication industrielle de la levure se développe.
L'Ère Moderne et la Fabrication Industrielle
Heudebert développe en 1903 en France un pain dont la recette sera utilisée durant la Première Guerre mondiale pour fabriquer les pains de longue conservation. La période d’après-guerre accélère l’utilisation de nouvelles techniques : le pétrin mécanique, puis le pétrin à deux vitesses, la panification directe à la levure, le façonnage mécanique, les premières diviseuses. Ces évolutions vont progressivement se traduire par une concentration de la production de farines autour de grands moulins même si la fabrication et la distribution de pain restent dominées par l’artisanat.
Le Retour au Fait Maison
Alors que quelques dizaines de groupes internationaux représentent la grande majorité des emplois et dominent le marché, le secteur se compose en France à 98 % de TPE et PME qui élaborent une très grande variété de produits et innovent en permanence. On y trouve ainsi à la fois des technologies de pointe et la préservation de gestes manuels fondamentaux. Alors que le pain conserve une place de premier choix dans l’alimentation des Français, faire son pain soi-même est une tendance en hausse, favorisée par les épisodes récents de confinement. Les hausses spectaculaires des ventes de farines (+135 % du CA sur la période de confinement, par rapport à l’année précédente) ou de levure et sucre aromatisé (+148 %) illustrent bien cela.
Du fait de la succession des crises sanitaires, les consommateurs n’ont jamais été aussi inquiets vis-à-vis des aliments qu’ils ingèrent. Le consommateur est en quête de sens, facilement nostalgique d’une tradition perçue plus authentique et il plébiscite les critères éthiques comme les produits naturels, l’origine France ou régionale, l’écologie, le développement durable, la proximité. Il est prêt à payer plus cher pour des signes de rassurance sur la qualité, sur la provenance du produit et le lien social symboliquement associé au pain acheté directement au producteur ou en circuit court.
L'Histoire du Sucre : De la Betterave à Nos Tables
Le sucre est un aliment courant de notre alimentation aujourd'hui. Mais cela n'a pas toujours été le cas. Entre le XVIème siècle et aujourd'hui, de nombreux personnages et évènements ont marqué l'histoire de la betterave et du sucre pour le rendre présent dans nos recettes. A la fin du 16ème siècle, il observe que la betterave possède un jus qui, en cuisant ressemble au sirop de sucre issu de la canne. Parallèlement à ce que fait Achard, une véritable "saccharomanie" s’empare de tout ce que l’Europe compte de chimistes, de pharmaciens et d’agronomes.
Au cours de la première décennie du XIXème siècle, les deux premières fabriques métropolitaines sont établies en région parisienne à Chelles et à Saint-Ouen. D’autres fabriques sont créées dans la Somme, dans l’Aisne et le Pas de Calais. Avec le blocus continental instauré en 1806, une guerre économique s’installe et ferme l’Europe au commerce anglais. Dans sa raffinerie de sucre de canne de Passy, Benjamin Delessert, jeune botaniste et industriel français, essayait depuis plusieurs années de fabriquer industriellement du sucre de betterave avec l’aide de l’un de ses ouvriers, J-B. Quéruel. Leurs efforts sont enfin récompensés dans les derniers jours de 1811 et le 2 janvier 1812, il en informe Chaptal. Le 6 janvier 1812, Chaptal fait un rapport à l’Empereur sur la fabrication du sucre de betterave. Voici comment est né, en ce 2 janvier 1812, le sucre de betterave.
Le Pain Perdu : Un Plat Historique
Dans "Historiquement Vôtre", Olivier Poels nous emmène aux origines du pain perdu, ce plat de pauvre qui puise ses origines dans les premières années de l'Empire romain, avant de gagner ses lettres de noblesses quelques siècles plus tard à la table d'Henri IV et de se répandre dans le monde. C'est dans son traité De re coquinaria [Au sujet de la cuisine, ndlr] en dix volumes que l'auteur romain Marcus Gavius Apicius (approximativement -25 av JC - 37 ap JC) mentionne le pain perdu. C'est la plus ancienne trace écrite connue sur ce plat, qui ne s'appelle pas encore pain perdu sous l'Empire romain. Mais la base des ingrédients est déjà là, comme l'atteste la recette de cette figure de la haute société romaine. Du pain rassis trempé dans du lait et frit à l'huile, le tout agrémenté de miel, l'équivalent du sucre à l'époque.
Au 13e siècle, on voit apparaître la mention de "pain ferré", tandis que l'appellation "pain perdu" arrive probablement entre le 14e et le 15e siècle. Mais ce n'est alors qu'une sorte de beignet de pain. La recette du pain perdu telle qu'on la connaît, sucrée, apparaît au 17e siècle. Plat de pauvre à l'origine, le pain perdu a pourtant réussi à se frayer un chemin vers les hautes sphères de la société française, pour atteindre même la table du roi. C'est à partir de là que le pain perdu, plat désormais prisé par l'aristocratie, s'exporte un peu partout dans le monde. On le retrouve notamment dans le royaume d'Angleterre sous le nom de French Bread. À noter qu'ici "french" ne veut pas dire "français", mais est dérivé du vieil irlandais. Et dans cette langue, "french" signifierait "tranché". Rien à voir donc avec hommage à notre gastronomie.
Si elle se décline aussi dans des versions salées, la recette traditionnelle du pain perdu est bel et bien sucrée. Pour commencer, il vous faut du pain rassis. La grande mode actuellement dans les restaurants un peu branchés est d'utiliser à la place de la brioche. Pour quatre belles tranches de pain rassis, vous avez besoin de quelques cuillères de sucre vanillé et d'un peu de lait. Imbiber le pain avant de le faire cuire dans une poêle bien chaude avec de la matière grasse. Pour une déclinaison salée, vous pouvez simplement remplacer le sucre vanillé par du fromage râpé. Cela va apporter un côté grillé et gratiné qui est vraiment intéressant. À noter qu'il est possible d'utiliser différents types de fromage.
Ingrédients pour 4 personnes :
- 4 belles tranches de brioche rassie ou de pain
- 2 œufs
- 1 cuillère à sucre de sucre vanillé ou du fromage râpé pour réaliser une version salée
- 10 centilitres de lait
Le récapitulatif des étapes de la recette :
- Mélanger le lait, les œufs et le sucre
- Tremper les tranches de brioche ou de pain
- Faire cuire dans une poêle bien chaude avec de la matière grasse
Autres Pains de Sucre : Douarnenez et la Mode
Né en 1860 à Douarnenez, le Kouign Amann est un vrai breton. Son nom signifie littéralement Gâteau au Beurre. C’est Yves René Scordia qui mit au point la savoureuse recette du Kouign Amann. Si ce gâteau devenu emblème de la ville de Douarnenez a pour base la pâte à pain, ça n’est pas un hasard : Monsieur Scordia était boulanger. Sur les circonstances de sa création, un mystère plane. Monsieur Scordia aurait-il voulu inventer un nouveau gâteau? Est-ce le résultat d’une erreur dans la confection de la pâte à pain?
Née en 1985 à Marseille, la marque Pain de Sucre a été fondée par Christian Keusseyan et Bernard Evans via leur société Création Méditerranée. Ils s’inspirent de la haute couture pour créer des modèles hyper chics qu’ils distribuent dans des boutiques multi-marques spécialisées. Forte de son succès, la marque inaugure son premier magasin en 1991, puis se lance sur le web en 1997. Dédiées à des femmes rayonnantes et audacieuses, les créations Pain de Sucre allient sens du confort, ultra féminité et envies d’évasion. Univers balnéaire complet, modèles intemporels repensés, créations innovantes, sont la signature de cette Maison française qui propose des collections créatives et audacieuses, saison après saison. Aujourd’hui, la renommée de Pain de Sucre est internationale.