Basket de Sécurité Alimentaire : Définition et Importance

Pour les ouvriers travaillant à l’usine, dans le bâtiment ou dans l’industrie agro-alimentaire, le port de chaussures de sécurité peut vite devenir une hantise. Au point que certains laissent volontairement au placard l’équipement à l’origine de leurs maux (ampoules, transpiration, mycoses, etc.). Souvent trop lourdes, inconfortables et inesthétiques, les chaussures de sécurité n’ont pour seul intérêt la protection contre le risque de traumatismes ou de blessures aux pieds. Conscients de cette problématique, la plupart des fabricants ont développé une gamme de baskets de sécurité.

Qu'est-ce qu'une chaussure de sécurité ?

La chaussure de sécurité fait partie de la famille des EPI (Équipements de Protection Individuelle). Cette chaussure spécifique est équipée d’une semelle rigide et d’un embout de protection, aussi appelé coque.

Normes et Obligations Légales

S’il n’existe aucun texte de loi portant sur le port obligatoire des chaussures de sécurité, le Code du Travail stipule que les employeurs se doivent de protéger les salariés dans le cadre de l’exercice de leur activité. La chaussure de sécurité est encadrée par la norme EN ISO 20345. Elle regroupe l’ensemble des normes de sécurité S1, S1P, S2 et S3 qui répondent à des besoins spécifiques. Pour un travail en environnement sec, seules les chaussures répondant aux normes S1 et S1P peuvent être portées. À contrario, les chaussures qui répondent aux normes S2 et S3 sont adaptées pour travailler en milieu humide.

Pourquoi les Baskets de Sécurité sont-elles Préférables ?

Les salariés sont souvent réfractaires au port des chaussures de sécurité. Ils leur reprochent d’être trop lourdes et inconfortables. Qui n’a jamais souffert de transpiration excessive à l’origine de mycoses des pieds ? Mais ça c’était avant ! Conscients que des chaussures plus légères, plus aérées et plus confortables seraient plus facilement portées, les fabricants ont développé une gamme de baskets de sécurité légères.

Les Avantages des Baskets de Sécurité

Plus légères, plus confortables et plus esthétiques, les baskets de sécurité ont de sacrés arguments pour déloger les modèles traditionnels. Dans de nombreux secteurs d’activité, le port des chaussures de sécurité se veut obligatoire par rapport à la pluralité des risques que présentent les environnements de travail : risques de choc, d’écrasement, de perforation, de glissement, etc.

En 2018, 24% des lésions occasionnées par des accidents du travail étaient localisées dans les membres inférieurs. Parfois, si les pieds ne sont pas directement touchés, c’est une déficience à leur niveau qui engendre des blessures sur le reste de la chaine musculaire et articulaire. Un glissement engendre un faux mouvement et le dos se bloque. Une douleur sous le pied et la personne compense en adoptant une posture contraignante qui impacte les articulations sus-jacentes comme les genoux, les hanches ou le dos.

Le Rôle de l'Entreprise et du Salarié

Chaque entreprise doit produire un Document Unique qui rassemble les risques encourus par les salariés suivant le poste occupé. L’entreprise doit mettre en face de chaque risque les solutions apportées par l’entreprise pour garantir la protection des travailleurs comme le stipule l’Article R4321-1 du code du travail. Si l’employeur ou le responsable de la sécurité mentionne dans le document unique puis dans le règlement intérieur que les chaussures de sécurité sont nécessaires pour garantir la santé et l’intégrité des salariés, alors leur port est obligatoire pour ses derniers.

Refus du Port de Chaussures de Sécurité : Quelles Conséquences ?

Comme le stipule l’Article L4122-1 du code du travail, le salarié est dans l’obligation de respecter le règlement intérieur mis en place par l’entreprise et ainsi de respecter le port des EPI si le règlement le stipule. Le salarié peut refuser le port des chaussures de sécurité seulement sur prescription médicale. Par exemple pour les personnes présentant des pathologies tel que les halux valgus qui empêchent le port des chaussures de sécurité. Seul un médecin ou médecin du travail peut établir une contre indication au port de ces équipements. Et en aucun cas, l’employeur ne peut faire signer une décharge à son salarié.

Sans prescription médicale, il faut en parler avec son employeur pour trouver la chaussure qui vous convient ou bien essayer de mettre des semelles de confort adaptées aux chaussures de sécurité. Utiliser de bonnes chaussettes ou bien en changer durant la journée peut aussi aider. Enfin, prendre contact avec un podologue ou un orthopédiste peut permettre de trouver une solution adaptée, via des prothèses par exemple.

Dans un cas classique, le salarié qui refuse de porter ses chaussures de sécurité peut se voir adresser un avertissement et dans un cas extrême un licenciement pour faute grave. En effet, l’employeur est tenu de veiller au bon port des EPI et il engage sa responsabilité lorsque ses salariés travaillent sans EPI. Dans le cas d’un artisan indépendant par exemple, vous êtes responsable de vous-même.

Qui Doit Payer les Chaussures de Sécurité ?

Comme le dit l’Article R4323-95 du code du travail, les EPI doivent être fournis gratuitement par l’employeur à partir du moment ou l’entreprise a jugé le port des chaussures de sécurité nécessaire. Le salarié ne doit en aucun cas supporter la charge financière d’un EPI et donc des chaussures de sécurité.

Certaines entreprises pratiquent le système de donation : elles donnent une enveloppe au salarié afin qu’il choisisse lui-même ses chaussures de sécurité. Normalement non. C’est l’employeur qui doit fournir les chaussures de sécurité avec un cahier des charges précis pour des raisons d’assurance. Si l’employé juge que les chaussures de sécurité fournies par l’entreprise ne sont pas adaptées à son confort, alors il peut envisager d’en acheter lui-même. C’est une discussion qu’il faut avoir avec l’employeur. Si l’employeur accepte ou que le médecin préconise l’achat externe du salarié, il faut ce dernier respecte le cahier des charges qui a été mis en place par l’employeur notamment au niveau de la norme que doit respecter la chaussure de sécurité (ex : une chaussure de sécurité montante S3 SRC). La salarié doit fournir les documents attestant de la validité de la chaussure de sécurité tel que le certificat de conformité.

Conséquences en Cas d'Accident

Difficile de faire une généralité dans la réponse à cette question car elle dépendra bien sûr des circonstances de l’accident, de ses conséquences et de la responsabilité de chacun. Mais tout le monde a à y perdre si un accident du travail se produit dans une situation où les équipements de protection individuels n’étaient pas portés.

L’employeur a une obligation renforcée de sécurité des moyens. Il doit faire le nécessaire pour protéger les travailleurs et avoir pris les mesures suffisantes. S’il ne respecte pas cette obligation, il s’expose à une réparation financière de préjudice devant le pôle social du tribunal judiciaire pour une faute inexcusable. Les manquements à ces obligations peuvent aussi faire l’objet d’une condamnation pénale au tribunal correctionnel.

Si le salarié est à l’origine de la faute et qu’il est victime de l’accident du travail, il peut perdre tout ou partie de son indemnisation par la CPAM.

Chaussures de sécurité pour industrie agroalimentaire

Les chaussures de sécurité pour l'industrie agroalimentaire sont spécialement conçues pour protéger les travailleurs des risques présents dans ce secteur. Elles offrent une protection contre les glissades, les chutes d'objets lourds et les perforations, tout en étant résistantes aux produits chimiques et aux huiles. Fabriquées avec des matériaux faciles à nettoyer, elles respectent les normes d'hygiène strictes.

Les chaussures de sécurité pour l'industrie agroalimentaire sont conçues pour offrir une protection optimale tout en respectant les normes strictes d'hygiène. Elles se distinguent par leur résistance aux glissades, leur confort accru pour un port prolongé et leur capacité à protéger contre les risques de perforation et d'écrasement. De plus, elles sont souvent légères, ce qui réduit la fatigue lors de longues journées de travail. Leur conception est également axée sur la facilité de nettoyage, essentiel dans un environnement où l'hygiène est primordiale.

Ces chaussures sont généralement fabriquées à partir de matériaux résistants à l'eau et aux produits chimiques, comme le cuir traité ou des matériaux synthétiques. Elles sont souvent disponibles dans des plages de tailles allant du 36 au 48 pour s'adapter à tous les utilisateurs. Les semelles sont antidérapantes et conformes aux normes SRA, SRB ou SRC, assurant une excellente adhérence sur les sols humides ou gras. Les embouts de protection en acier ou en composite sont conçus pour résister à des forces de compression élevées.

Souvent, ces chaussures sont de couleur blanche pour répondre aux exigences esthétiques et hygiéniques de l'industrie agroalimentaire. Les chaussures de sécurité pour l'industrie agroalimentaire sont idéales pour les environnements de production alimentaire, les cuisines industrielles, les abattoirs et les zones de transformation des aliments. Elles conviennent également aux entrepôts où les produits alimentaires sont stockés et manipulés. En outre, elles sont adaptées aux zones de nettoyage et de maintenance au sein des installations agroalimentaires.

Il est conseillé de vérifier régulièrement l'état des chaussures, en particulier les semelles et les embouts de protection, pour garantir une sécurité continue. Nettoyez-les fréquemment pour éviter l'accumulation de saletés et de contaminants. Assurez-vous de choisir la bonne taille pour éviter les inconforts et maximiser l'efficacité de la protection.

Normes et Marquages des Chaussures de Sécurité

Dans le monde en constante évolution de la sécurité sur le lieu de travail, les normes définissant les équipements de protection individuelle, notamment les chaussures de sécurité, sont cruciales. Elles évoluent régulièrement pour répondre aux exigences toujours plus pointues de protection et de confort pour les travailleurs. Parmi ces normes, l'EN ISO 20345 est fondamentale. Sa mise à jour en 2022 a marqué un tournant significatif, introduisant des changements notables par rapport à sa précédente de 2011.

Avant de plonger dans l'univers complexe des normes et marquages des chaussures de sécurité, il est essentiel de clarifier une distinction fondamentale : celle qui existe entre les chaussures de travail et les chaussures de sécurité. Cette différence, bien que subtile, est cruciale pour comprendre les enjeux de protection sur le lieu de travail.

Chaussures de Travail vs. Chaussures de Sécurité

Le critère déterminant ici repose sur la présence d'une coque de protection. Une chaussure de travail classique, utilisée pour son confort et sa durabilité, ne possède pas cette caractéristique. En revanche, une chaussure de sécurité est spécifiquement conçue avec une coque de protection pour assurer la sécurité des pieds, conformément à la norme EN ISO 20345.

En outre, les normes et marquages associés aux chaussures de sécurité ne se limitent pas à une simple distinction entre les chaussures de travail et de sécurité. Ils vont plus loin en classifiant les chaussures de sécurité en différentes catégories, chacune répondant à des niveaux spécifiques de protection, adaptés à divers environnements et risques professionnels.

Les Différents Marquages et Leurs Significations

  • SB (exigences de base) : Résistance de l’embout au choc (200 joules), résistance de l’embout à l’écrasement (1500daN), exigences de résistance, de qualité, d’ergonomie et de confort.
  • SBP : Toutes les exigences du SB + Résistance à la perforation (P).
  • S1 : Toutes les exigences du SB + arrière fermé + Antistatisme (A) + absorption d’Energie du talon (E) + résistance aux hydrocarbures (FO).
  • S1P : Toutes les exigences du S1 + Résistance à la perforation (P).
  • S2 : Toutes les exigences du S1 + résistance à la pénétration et absorption de l’eau (WRU).
  • S3 : Toutes les exigences du S2 + Résistance à la perforation (P) + Semelle de marche à crampons.

La chaussure de sécurité de base, marquée “SB”, constitue le modèle de base pour être conforme aux exigences du marché européen en matière de sécurité au travail. Les chaussures de sécurité SB sont conçues pour résister à un impact de 200 joules.

Le marquage S1, appliqué aux chaussures de sécurité, indique un niveau de protection qui va au-delà des exigences de base (SB). Les chaussures marquées S1 intègrent des propriétés antistatiques (A), une absorption d’énergie au niveau du talon (E), une résistance aux hydrocarbures (Fo), ainsi qu’un design avec un arrière fermé. Ces caractéristiques supplémentaires les rendent adaptées à des environnements de travail spécifiques, où ces protections additionnelles sont essentielles.

Lorsque nous voyons un marquage S1P, comme dans le cas des modèles S1P, cela indique que toutes les caractéristiques de S1 sont présentes, avec l'ajout crucial d'une semelle anti-perforation (P).

Le marquage S2 sur les chaussures de sécurité indique une évolution dans la gamme de protection offerte. En plus de toutes les caractéristiques présentes dans les modèles S1, les chaussures S2 ajoutent une fonctionnalité essentielle : une résistance accrue de la tige à la pénétration et à l'absorption de l'eau.

La chaussure de sécurité marquée S3 est bien plus complète. En effet, elle fusionne les caractéristiques des modèles S2 avec des fonctionnalités supplémentaires cruciales : une semelle anti-perforation (P) et une semelle à crampons, assurant une adhérence et une sécurité accrues. Ces chaussures sont spécialement conçues pour répondre aux exigences des activités extérieures et des environnements humides.

Évolution des Normes : EN ISO 20345:2022

Avec l'introduction de la nouvelle norme EN ISO 20345, le marquage Fo, qui désigne la résistance de la semelle aux hydrocarbures, n'est désormais plus une exigence obligatoire. Bien que cette caractéristique ait été considérée comme marginale, il est important de noter que la majorité des chaussures de sécurité continueront à répondre à cette exigence de manière standard. Toutefois, elle ne sera plus un critère obligatoire pour l'obtention des classifications S1, S2 et S3.

Cependant, pour les professionnels évoluant dans des environnements où la présence d'hydrocarbures est fréquente, il est vivement conseillé d'opter pour des chaussures de sécurité portant la norme additionnelle Fo pour une protection optimale.

Résistance à la Glisse : Nouveaux Marquages

La résistance à la glisse d’une chaussure de sécurité est actuellement symbolisée par trois marquages : SRA, SRB et SRC.

  • SRA = semelle testée sur sol céramique recouvert de détergent et d’eau
  • SRB = semelle testée sur sol acier recouvert de glycérine (huile)
  • SRC = SRA + SRB

La nouvelle norme EN ISO 20345 apporte des changements significatifs à ces marquages. Le marquage SRA reste une exigence, mais ne sera plus spécifié individuellement. Il sera désormais intégré dans les exigences fondamentales (SB), devenant une norme de base pour toutes les chaussures de sécurité vendues sur le marché européen.

Le plus grand changement concerne le marquage SRB. Le test, qui était auparavant réalisé sur un sol en acier avec glycérine, sera désormais effectué sur un sol carrelé, toujours avec glycérine, pour mieux représenter les conditions réelles d'utilisation. Par conséquent, le marquage SRB évolue vers le nouveau marquage SR, devenant une exigence additionnelle.

En outre, les méthodes de test pour la résistance à la glisse subissent également une modification : les tests ne seront plus réalisés à plat mais incorporeront des mouvements du talon vers l'avant et de l'avant vers l'arrière, imitant plus fidèlement les mouvements naturels lors de la marche.

Pour résumer :

  • Les marquages actuels pour la résistance à la glisse (SRA, SRB, SRC) vont être révisés.
  • Le test SRA devient une exigences fondamentales (SB).
  • Le test SRB est remplacé par le marquage SR et devient une norme additionnelle.
  • Les tests de glisse ne seront plus réalisés sur le talon et le plat de la semelle.

Résistance à la Perforation : Évolution des Tests

Dans le cadre actuel, la résistance à la perforation, marquée comme une exigence additionnelle (P), est indispensable pour les classifications S1P et S3. Toutefois, jusqu'à présent, aucune distinction spécifique n'était établie entre les inserts métalliques et non-métalliques en termes de tests de résistance.

La nouvelle norme EN ISO 20345 apporte une évolution notable dans ce domaine. Pour les chaussures de sécurité avec un insert métallique (P), le protocole de test reste inchangé, s'effectuant toujours avec une pointe standard de 4,5 mm. Ce maintien garantit la continuité de la protection reconnue offerte par ces inserts métalliques.

Cependant, les changements significatifs concernent les chaussures avec un insert non-métallique. Dans ce contexte, deux nouveaux marquages sont introduits :

  • PL (Pointe Large) : Ce marquage correspond à un test réalisé avec une pointe large de 4,5 mm, similaire à celle utilisée pour les tests des inserts métalliques. Ce marquage indique une protection robuste et polyvalente.
  • PS (Pointe Small) : Ce marquage, quant à lui, se réfère à un test effectué avec une pointe plus fine de 3 mm et une force de 1100 newtons, offrant une protection spécifique dans des conditions où des risques de perforation plus fins sont présents.

Avec l'introduction de cette nouvelle norme, vous trouverez donc sur le marché des chaussures de sécurité avec des indications telles que S1PS, S1PL, S3S et S3L, désignant des modèles à insert non-métallique.

Résistance à l'Eau : Wru, Wpa et Wr

Actuellement, les chaussures classifiées comme S2 ou S3 sont marquées Wru, indiquant que la tige de la chaussure résiste à la pénétration et à l'absorption d'eau. Cependant, il est crucial de comprendre que cette caractéristique ne rend pas la chaussure entièrement "étanche". En effet, le marquage Wru s'applique uniquement à la tige, et non à l'intégralité de la chaussure.

Avec l'arrivée de la nouvelle norme, le marquage Wru évolue pour devenir Wpa. Cette mise à jour vise à apporter une clarification supplémentaire sur la nature de la résistance à l'eau.

Le marquage Wr (Water Resistant) signifie que la chaussure de sécurité est conçue avec des caractéristiques telles que des coutures étanchéifiées ou une membrane imperméable et respirante, garantissant ainsi une protection intégrale contre l'eau.

Pour offrir aux utilisateurs une identification plus claire des chaussures complètement étanches, la nouvelle norme introduit deux nouveaux marquages, S6 et S7 :

  • S6 correspond à une chaussure de sécurité avec les caractéristiques de S2, augmentée de la propriété Wr. Cela indique une chaussure sans semelle anti-perforation, mais résistante à l'eau.
  • S7 s'appuie sur les caractéristiques de S3, avec l'ajout de la propriété Wr.

Nouvelles Exigences Additionnelles : LG et SC

La récente mise à jour de la norme EN 20345 a introduit deux nouvelles exigences additionnelles, chacune visant à améliorer la sécurité et la fonctionnalité des chaussures de sécurité dans des contextes spécifiques :

  • LG “Ladder Grip” : Le critère LG établit des normes précises concernant la conception du talon. Il doit être suffisamment décroché, avec une hauteur minimale définie, et un espace adéquat entre le talon et la partie avant de la semelle. De plus, cette spécification impose l'intégration de crampons pour garantir une adhérence optimale sur les barreaux de l'échelle. Cette fonctionnalité vise à réduire le risque de glissements ou de chutes lors de l'utilisation d'échelles, un élément crucial pour la sécurité dans de nombreux métiers.
  • SC “Scuff Cap” : Le marquage SC fait la distinction entre les sur-embouts conçus principalement pour des raisons esthétiques et ceux qui offrent une véritable fonctionnalité.

Conclusion

Ces normes ne se résument pas à une série de règles techniques et complexes. Elles représentent plutôt des partenaires essentiels dans notre engagement commun pour des environnements de travail plus sûrs et plus productifs. Chaque norme, chaque marquage a été conçu avec un objectif clair : garantir que chaque professionnel bénéficie de la meilleure protection possible, adaptée aux spécificités de son métier.

Nous comprenons que naviguer à travers ces normes peut parfois sembler déroutant.

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