L'Amiga 500 se présente comme la machine de demain, avec des capacités graphiques et sonores impressionnantes. L'arrivée de l'Amiga 500 constitua un événement, car il proposait, à un prix abordable, des fonctionnalités nouvelles pour une utilisation personnelle, et non plus seulement professionnelle. Ses capacités graphiques et sonores sont impressionnantes.
Aperçu Général
La compagnie originelle (Amiga Inc) fut rachetée par la société Commodore International en 1984, et lança le micro-ordinateur Amiga (renommé Amiga 1000 lors de la sortie des modèles Amiga 500 et 2000) fin 1985 pour proposer une machine plus puissante que le Commodore 64 et venir concurrencer les nouveaux micro-ordinateurs 16 bits de l'époque, essentiellement le Macintosh. L'Amiga 500 se présente comme la machine de demain.
Design et Ergonomie
Première surprise : l'aspect. bloc relativement compact et d'un modernisme fort agréable. Le clavier Amiga est reconnaissable à la présence de 2 touches uniques "Help" et "Del", qui ont d'autres équivalents sur les claviers PC, ainsi qu'aux deux touches "A" (Amiga), similaires aux touches Apple et Windows. Le toucher agréable, complété par un guidage fort précis des touches, permet de taper rapidement. une organisation rationnelle des touches. On note le remplacement de la touche "Amiga" ouverte par une touche "Commodore".
Composants et Architecture
De fabrication très propre, cette dernière est en Epoxy double face à trous métallisé. est relativement aérée et réserve plusieurs surprises. Ensuite, l'apparition d'un nouveau circuit intégré, le Fat Agnus. contenant le Kickstart. dans l'Amiga 1000, ce circuit prend en charge les tracés de segments, les animations, etc. ancêtre, il est un facteur essentiel de la réduction des coûts de fabrication de l'Amiga 500. de nombreux circuits qu'il fallait auparavant implanter sur la carte mère.
Connectique
La face arrière de l'Amiga 500 gère un nombre impressionnant de connecteurs les plus divers. Autre bus : le connecteur d'extension mémoire. de mémoire contenant aussi l'horloge sauvegardée. les ports souris et manette (à la norme... robustes.
Alimentation
Sous secteur le transformateur : gros bloc d'alimentation externe. Il est regrettable qu'une telle solution technique ait été choisie. Voici les caractéristiques des 2 transformateurs :
- Ancien : A500 312503-03, Input 220 - 50Hz 0.3A, Output 5V - 2.5A 12V - 1.0A 12V - 0.1A, L'interrupteur ON/OFF se trouve sur le coté gauche du boitier
- Nouveau : A500 312503-03, Input 220V-240V 50Hz 0.4A, Output 5V - 4.5A 12V - 1.0A 12V - 0.1A, L'interrupteur ON/OFF se trouve sur le milieu du boitier
Il existe 2 alimentations de technologies différentes pour l'A500. La version plus moderne livrée avec les A500 des dernières séries mais aussi les A600, est une véritable alimentation à découpage (comme sur un PC) : les tensions de sorties sont plus stables et il y a moins de pertes d'énergie (sous forme thermique), mais elle coûte plus cher à fabriquer (plus complexe techniquement et plus de composants électroniques) et pèse moins lourd. L'originale livrée avec les premières séries d'A500 était un simple (mais gros) transformateur/redresseur (en fait plusieurs transformateurs puisqu'il y a plusieurs tensions de sorties). Comme il y a plusieurs bobines de cuivres dedans il pèse lourd.
Logiciels et Système d'Exploitation
Autre avantage de cette intégration en ROM, le chargement direct de nombreux logiciels. Avec l'A1000, il faut préalablement charger le Kickstart puis le logiciel. charge directement, grâce à une sorte "d'autoexec", AmigaDOS et l'application choisie. 1000. Mais il a été débogué et s'avère plus agréable d'utilisation que son modèle.
AmigaBasic
Audio 4 voix 8 bits sur 9 octaves en mode PCM. De même pour le BASIC d'origine. s'avère désagréable par les temps morts qu'occasionne la gestion de l'ensemble. et ouvre celle d'exécution. cas, de l'ordre de deux secondes. le déroulement d'un programme, l'utilisateur désire en étudier le listing.
Fonctionnalités du BASIC
Remplacer. sa vitesse d'exécution. (à comparer aux 35 secondes de l'Atari ST et aux 40 du CPC 6128). d'instructions de programmation structurée. Le traditionnel "Next" est accompagné de "White.. dans lequel le test est exécutable sur une expression logique. "Paint" pour remplir une surface, "Line" pour tracer un trait, etc. moins complète. suffisants. simplifiés par la présence d'instructions puissantes. Autre point fort de l'AmigaBasic, la gestion des erreurs. un blocage possible. l'utilisation de ces fonctions accélère l'écriture des programmes. ce BASIC réside dans la notion d'objets. des déplacements de caractères graphiques à l'écran. limites de déplacements, superpositions et collisions de plusieurs Sprites. d'exécution de l'AmigaBasic, bien entendu. Notons qu'un compilateur devrait bientôt arriver sur le marché.
Manuels d'Utilisation
Et le guide du BASIC. Le guide de l'utilisateur que nous avons eu entre les mains était en anglais. probable que sa traduction lui fasse perdre sa substance. avec simplicité et précision les spécificités et fonctionnalités de la machine. parties décrivent les procédures d'installation et de mise en route de la machine. le manuel présente sur deux chapitres le Workbench. (Command Line Interpretor). (formatage, répertoire, sauvegardes et autres). et une série de conseils utiles du genre comment nettoyer sa souris. la suite propose un exposé technique et exhaustif de la machine.
Concurrence et Marché
Mal à s'imposer en France. de son prédécesseur (manque de logiciels de jeu, bibliographie restreinte). miracle ? fort actif des Atari ST. Renverser cette tendance est encore possible. d'un coût acceptable. volontariste de la part de Commodore. sur les deux marchés (familial et professionnel) s'avère pratiquement impossible. Présentement testé, ce dernier attaque directement les Atari 520ST et 1040ST sur leur terrain. du redressement de Commodore. et performances indéniables. Fin de carrière peu glorieuse pour l'Amiga 1000. trop cher... ou pas assez. Toutefois, le solde de cette "expérience" n'est pas seulement négatif.
Spécifications Techniques
Le micro-ordinateur Commodore Amiga 500 est une unité centrale avec clavier AZERTY et lecteur de disquettes intégrés. Cet exemplaire comprend un bloc d'alimentation externe, une souris et une manette de jeux.
Caractéristiques Principales
- Mémoire vive : 512 Ko, extensible à 1 Mo.
- Vidéo : résolution 320x256 en 32 couleurs parmis 4096 sans contraintes, ou 64 ou 4096 avec contraintes, et 640x512 ou 640x256 en 4 couleurs.
THEA500 Mini
(responsable des ordinateurs mini TheVIC20 et TheC64) présente TheA500-Mini, une nouvelle version de l’ordinateur 16 bits Amiga 500 de Commodore. Ce mini-500 est livré avec son lot de jeux Amiga classiques. THEA500 Mini est un hommage à l’ordinateur 16 bits des années 80. Il est alimenté via une prise USB-C à l’arrière. L’image est émise via la connexion HDMI. Le SOC à base de processeur ARM All Winner H6 comporte un Cortex A53 (1.8 Ghz) quadricœur et un GPU Mali 720 (600 Mhz) MP2. Jouez à l’un des 25 jeux Amiga classiques inclus, sélectionnés à partir d’un carrousel simple à utiliser,. Vous pouvez également charger vos propres jeux via une clé USB grâce à la prise en charge complète de WHDLoad et à un large choix d’options.
Accessoires Inclus
Le THEA500® Mini est livré avec une souris à 2 boutons de style original et un nouveau gamepad de précision à 8 boutons, ce qui vous permet de choisir votre méthode de contrôle. La boîte de la THEA500® Mini comprend une souris USB classique filaire de 1,8 m, une manette de jeu de précision à 8 boutons filaire de 1,8 m, un câble d’alimentation USB-A vers USB-C (bloc d’alimentation non inclus) et un câble HDMI (tous deux de 1,8 m de long) permettant une compatibilité totale avec tous les téléviseurs modernes.
Fonctionnalités Supplémentaires
Parmi les autres caractéristiques, citons une fonction de sauvegarde des jeux, un rafraîchissement d’écran sélectionnable à 50 ou 60 Hz, un filtre CRT et plusieurs options de mise à l’échelle.
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