Les bienfaits et utilisations du sirop d'Edelweiss

Découvrez les bienfaits de l'Edelweiss, une plante vivace de la famille des Astéracées, qui pousse sur des sols rocailleux ou des massifs calcaires de haute altitude.

Qu'est-ce que l'Edelweiss?

L'Edelweiss est une plante vivace appartenant à la famille des Astéracées. Elle pousse sur des sols rocailleux ou des massifs calcaires de haute altitude.

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Comment utiliser les élixirs floraux?

Il est conseillé de prendre les élixirs floraux 3 à 4 fois par jour, à distance des repas.

Élixirs floraux et traitements médicaux

Oui, les élixirs floraux peuvent venir en complément d'un traitement prescrit par votre médecin. En aucun cas, ils ne doivent se substituer à ce traitement. Il faut savoir que les élixirs floraux du Dr Bach n’agissent pas au niveau physique comme les molécules des médicaments, mais au niveau énergétique. Les élixirs contiennent l’énergie de la fleur, que l’on peut comparer à celle d’une émotion positive.

Le pouvoir des plantes médicinales

Plus de la moitié de nos médicaments proviennent des plantes. Elles sont à l'origine de traitements couramment utilisés pour soigner des pathologies graves, tels les cancers, les maladies cardio-vasculaires, le paludisme... Mais gare aux amateurs: elles ne sont pas à prendre en automédication car souvent hautement toxiques.

Quelques exemples de plantes médicinales et leurs bienfaits

Les plantes médicinales opèrent un retour en force. Près de 150 d'entre elles sont en vente libre. Mais toutes ne sont pas si efficaces et certaines peuvent être toxiques.

  • La pervenche de Madagascar: Cette petite fleur délicate originaire de Madagascar recèle des myriades de molécules, dont la vinblastine utilisée pour soigner les leucémies et la vincristine destinée à traiter la maladie de Hodgkin. La pervenche de Madagascar ne peut s'employer telle quelle, ses propriétés antitumorales s'accompagnant d'une forte toxicité.
  • La digitale: Surnommée gant de Notre-Dame, de bergère ou doigtier, cette plante majestueuse, qui embellit nos jardins, doit son nom à la forme en doigt de gant de ses fleurs de couleur rose pourpre. Plusieurs molécules ont été isolées de ses feuilles pour traiter les troubles cardio-vasculaires et notamment la digoxine, laquelle est un régulateur de la fonction cardiaque. Les médicaments à base de digitale ne sont accessibles que sur ordonnance. La belle est à prendre avec des gants. Car à haute dose, ce cardiotonique s'avère un cardiotoxique entraînant des troubles visuels.
  • Le pavot: Les Egyptiens mais aussi les Grecs connaissaient «la plante qui amène l'oubli». Le pavot a aujourd'hui une réputation bien sulfureuse. C'est oublier les bienfaits anesthésiants de cette jolie fleur, fort utile dans le traitement contre la douleur.
  • La belladone: La belladone (belle femme en italien) n'est pas si belle que ça. Et en plus, elle est vénéneuse. Les Romaines s'en servaient pour dilater leurs pupilles et se parer d'un regard de braise. La pratique a fait école puisque aujourd'hui encore on utilise en ophtalmologie l'atropine, un alcaloïde extrait de ses feuilles campanulées.
  • Le colchique: Dès le Ve siècle, le colchique fut utilisé pour traiter les crises de goutte. C'est encore le cas aujourd'hui puisque la colchicine, extraite de ses graines et de ses bulbes, s'avère un anti-inflammatoire spécifique et puissant pour soulager ce mal. Mais sur prescription médicale uniquement.
  • La petite pervenche: La petite pervenche - à ne pas confondre avec la pervenche de Madagascar - a toutes les attentions pour nos seniors. La vincamine qu'elle sécrète est une arme importante dans la lutte contre le vieillissement.
  • L'armoise: L'usage traditionnel antipaludéen de l'armoise est attesté en Chine depuis plus de deux mille ans. Il a été validé par plusieurs études cliniques. Ses feuilles recèlent une molécule, l'artémisine, qui a pour effet d'éradiquer les parasites dans le sang. Il est efficace à titre curatif mais non à titre préventif.
  • L'aconit: Cette fleur de nos montagnes a belle allure avec son inflorescence de fleurs bleues au sommet de ses hautes tiges. Elle renferme des alcaloïdes dont l'aconitine, un sédatif cardiaque et respiratoire. On l'emploie dans des médicaments contre la toux et comme analgésique dans le traitement des névralgies faciales. Attention, toute la plante est vénéneuse.
  • L'aubépine: C'est l'arbrisseau antistress. Ses vertus proviennent de ses fleurs blanches ou roses groupées en corymbes et riches en flavonoïdes. Lesquels ont une action sédative sur le système nerveux et une action régulatrice sur le système cardio-vasculaire.
  • La valériane: Plutôt gracieuse avec ses fleurs blanchâtres groupées en corymbes, la valériane dissimule ses trésors dans ses racines. Elle fut utilisée dans le passé contre l'hystérie, l'épilepsie et la danse de Saint-Guy. Dotée de propriétés antispasmodiques, antibactériennes, sédatives, toniques, stomachiques, elle se concocte fraîche en teinture ou en gélule. Curieusement, si elle calme les humains, elle excite les félins.
  • Le millepertuis: Elle chasse les démons et les idées noires. Grâce à ses constituants multiples (flavonoïdes, hypericine...), elle traite la dépression aussi efficacement qu'un antidépresseur de synthèse, avec moins d'effets secondaires. Ce qui a été démontré par des études cliniques. En usage externe, elle a des propriétés antiseptiques et cicatrisantes pour soigner les lésions de la peau. A prendre sans s'exposer au soleil pour éviter toute réaction cutanée.
  • La rose: Cette séductrice aux pétales veloutés et au parfum suave sécrète une essence aromatique prodigieuse pour apaiser les problèmes intestinaux et traiter les plaies.
  • Le ginkgo biloba: Contemporain des dinosaures, il a résisté aux intempéries les plus diluviennes, aux bactéries les plus tenaces, aux pollutions les plus acides, et même... à la bombe d'Hiroshima. Mais pourra-t-il résister à son succès? Le ginkgo doit être aujourd'hui largement cultivé afin d'éviter son extinction. Ses feuilles sont riches en ginkgolides, dont l'action anti-inflammatoire préserve notamment des rejets de greffes.
  • La passiflore: En Amérique du Sud, les missionnaires enseignaient la passion du Christ aux indigènes au travers de cette fleur au charme étrange. Elle a fière allure avec sa tige robuste et ses pétales d'or étoilés.
  • La gentiane: Originaire des montagnes d'Europe, cette élégante dissimule dans sa racine des principes amers tonifiants, stimulant les défenses de l'organisme, facilitant la digestion ou aiguisant l'appétit.
  • L'échinacée: Cette attrayante marguerite aux reflets lilas se cultive aisément dans nos jardins. Elle est la «guérit-tout» des Indiens d'Amérique du Nord. Antiseptique, antivirale, cette charmeuse stimule les défenses du corps et calme les allergies. Elle s'emploie en tisane, en teinture ou en gélule à titre préventif ou en traitement des rhumes et en pommade pour soulager ou cicatriser les affections cutanées.
  • La reine-des-prés: On lui doit la panacée, le remède miracle, la potion magique, en un mot: l'aspirine. Celle-ci est une copie chimique de l'acide salicylique présent dans ses sommités fleuries. Diurétique et antipyrétique, elle soulage les manifestations articulaires douloureuses, mais aussi les maux de tête.
  • La lavande: La coutume nous vient des Romains: les sachets de lavande se glissent dans les armoires en faisant des vœux d'amour. Outre sa fragrance provençale rafraîchissante et sa touche impressionniste, la belle aux ailes de papillon facilite le sommeil (mais effet inverse en surdose) et la digestion.
  • Le millefeuille: C'est le centaure Chiron qui en livra le secret à Achille: quelques feuilles de millefeuille frottées sur une écorchure stoppent les saignements. La gracile aux senteurs camphrées cicatrise les blessures et calme les démangeaisons. En usage interne, elle soulage les troubles de la digestion. S'utilise fraîche ou séchée, en tisane ou en cataplasme.
  • L'arnica: Cette marguerite soigne en homéopathie les bleus de l'âme et en phytothérapie les bleus du corps. Elle est uniquement préconisée en usage externe - dangereuse en usage interne - sous forme de crème ou de compresse pour résorber les ecchymoses, soulager les entorses, les courbatures ou les brûlures superficielles.
  • Le chardon-marie: Selon la légende, le chardon-marie a reçu des gouttes de lait de la Vierge nourrissant l'enfant Jésus lors de la fuite en Egypte. Il en aurait conservé ses feuilles luisantes marbrées de blanc. Ses graines renferment de la silymarine, une puissante substance protectrice du foie. Il est recommandé en infusion pour traiter les troubles digestifs.
  • Le coquelicot: Frais ou séché, en tisane ou en sirop, les pétales garance du sémillant coquelicot calment les vilaines toux. A prendre en infusion pour soulager l'asthme ou la bronchite. Recommandé aussi pour favoriser le sommeil des enfants.

L'Edelweiss et la cosmétique

Jeunes filles en fleurs ou belles plantes épanouies, nombreuses sont celles qui s'en remettent à leurs semblables végétales pour en emprunter les secrets de beauté.

  • La fleur d'arbre d'Himalaya: C'est au Ladakh, aux confins de l'Himalaya indien, que l'ethno- botaniste Xavier Ormancey, directeur de recherche chez Chanel, a déniché cette fleur dorée, à 3000 mètres d'altitude. La fleur orne un arbre majestueux qui résiste aux conditions climatiques les plus extrêmes. Elle est héliotrope et a développé de nombreux métabolites secondaires, composés qui servent à sa protection. Ils sont détoxifiants et énergisants.
  • La ficaire: La ficaire est une plante sauvage aux allures de bouton d'or, que l'on croise dans les prairies et en lisière de forêt. Ses racines concentrent des saponosides, qui ont un effet bénéfique et apaisant sur la micro-circulation cutanée. Première plante employée par Yves Rocher, précurseur en cosmétique végétale, c'est la fleur emblématique de la marque.
  • L'aloès: Cette variété appartenait déjà à la pharmacopée des Egyptiens, qui l'utilisaient pour soigner les infections de la peau. Les feuilles regorgent d'un suc translucide aux propriétés hydratantes, entrant dans la composition de nombreux produits de beauté. Le gel adoucit la peau et aide à la cicatrisation.
  • L'onagre: Cette belle des champs aux pétales échancrés est originaire d'Amérique du Nord. L'huile extraite de ses graines, riche en acide gras (oméga 6) et en acide linoléique, intéresse les chercheurs. Ces composés contribuent à la préservation de l'élasticité de l'épiderme et à la prévention de l'apparition des rides.
  • L'Edelweiss: La ravissante étoile des neiges trône sur les cimes. Elle semble de ouate et de coton. Elle aussi s'est fortifiée de tanins et de flavonoïdes aux propriétés antioxydantes, pour affronter les hivers glacés et les rayons UV de l'altitude. L'industrie cosmétique s'est saisie de ses atours agrémentés d'une image de pureté et de force. Mais la belle est rare, protégée, même si elle est cultivée dans le Valais, en Suisse. Nombre de produits proposés sur le marché contiennent en fait peu d'extraits d'edelweiss.

Les plantes dépolluantes

Les fleurs ne sont pas seulement un bel ornement odoriférant. Certaines d'entre elles pourraient bien être aussi des dépolluants efficaces. Elles captent des toxiques qui imprègnent les intérieurs pour les décomposer et restituer un air bioépuré.

  • Le spathiphyllum: Qui croirait que cette délicate élégante se nourrit de formaldéhyde et dans une moindre mesure du xylène provenant des produits d'entretien, détergents, tabac, parfum d'ambiance, feutre et encre ?
  • L'azalée: Avec son éclosion de feuilles et de fleurs rosâtres, cette éricacée ne manque pas d'attraits. Elle promet une certaine longévité, pour peu que l'on soit prévenant avec elle, avec des floraisons permanentes en automne, en hiver et au printemps. Elle aspire les effluves d'ammoniac dégagés par les produits d'entretien et le tabac, se charge du formaldéhyde contenu dans les meubles en bois aggloméré, les parquets stratifiés, les colles et adhésifs, les papiers peints et tissus muraux, mais aussi les produits de beauté, et inhale également le xylène provenant des peintures et des parfums. De quoi mériter un arrosage régulier (tous les deux jours). Elle apprécie les températures fraîches (entre 10 et 15 °C), les endroits lumineux mais pas trop ensoleillés.
  • L'orchidée: Gracieuse et raffinée, avec son bouquet fleuri, cette orchidée agrémente et assainit son environnement. Son métabolisme capte et décompose le monoxyde de carbone dégagé par la fumée de tabac, les feux de cheminée, les émanations des appareils de chauffage ou à combustion... tout en restituant de l'oxygène la nuit. Un vrai lutin du clair de lune.

Sirop de glucose et sirop de glucose-fructose

Il est important de distinguer le sirop de glucose du sirop de glucose-fructose.

  • Le sirop de glucose: Le glucose est un glucide pur fabriqué à partir d’amidon de maïs ou de fécule de pomme de terre. Il a un pouvoir sucrant moins élevé que celui du sucre et une texture assez visqueuse et se présente sous la forme d’un sirop épais et incolore. En pâtisserie il est utilisé pour éviter la cristallisation du sucre, nougatine, bonbons de sucre cuit, caramels mous, pâtes de fruits, gommes et guimauves. Il évite aussi le dessèchement de la pâte d’amande et des fruits confits.
  • Le sirop de glucose-fructose: Le sirop de glucose-fructose, est une invention japonaise, qui répondait à une demande américaine dans les années 70 d’écouler un surplus de production de maïs avec un produit à forte valeur ajoutée. Ce sirop est donc constitué de glucose et de 55% de fructose. Le fructose qu’on trouve sur le marché est généralement fabriqué à partir du maïs. Il est appelé sirop de maïs à concentration élevée de fructose. Il est largement utilisé dans les produits commerciaux où le goût sucré doit être prédominant. En fait, ce qui distingue le fructose du sucrose (sucre de table), c’est qu’il est simple (et non pas composé) et qu’il a un pouvoir sucrant de 1,2 à 1,8 fois plus élevé que le sucrose.

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