Les Meilleurs Pâtes Thermiques : Tests et Comparatifs

Dans l’univers exigeant du high-tech, la gestion thermique est un enjeu capital pour garantir la longévité et la performance de vos processeurs, cartes graphiques et autres composants électroniques. Afin de garantir la précision et la pertinence de nos résultats, nous avons opté pour un équipement de pointe.

La pâte thermique, ce composé technique aux propriétés conductrices, s’impose comme le véritable pont thermique entre votre processeur et son dissipateur. Ce guide va droit au but : conductivité, application, compatibilité, durée de vie… Pas de blabla technique inutile, juste ce qu’il faut pour faire le bon choix.

Pourquoi la pâte thermique est-elle indispensable ?

Chaque processeur, même usiné avec la plus grande précision par Intel ou AMD, comporte des micro-aspérités invisibles à l’œil nu. Ces irrégularités, également présentes sur les meilleurs ventirads, emprisonnent de l’air, un isolant thermique redoutable. Résultat : une mauvaise évacuation de la chaleur, des risques de surchauffe et une baisse de performance.

La pâte thermique, grâce à sa viscosité et à sa conductivité thermique supérieure à celle de l’air, comble ces micro-cavités et crée un joint thermique performant. Elle assure ainsi un transfert de chaleur homogène et rapide, permettant à votre processeur ou GPU de fonctionner à des températures idéales, même lors des pics de charge. Trop de configs surchauffent à cause d’une pâte thermique négligée.

Critères essentiels pour choisir votre pâte thermique

Lorsqu’il s’agit de choisir la meilleure pâte thermique pour votre CPU, plusieurs facteurs entrent en jeu. Chaque pâte thermique présente ses propres caractéristiques, et il est important de comprendre les critères essentiels pour faire un choix éclairé.

Conductivité thermique (W/mK)

C’est le critère numéro UNO ! La conductivité thermique, exprimée en Watts par mètre-Kelvin (W/m·K), indique la capacité d’une pâte à transférer la chaleur du processeur vers le radiateur. Plus la valeur est élevée, plus l’échange thermique est rapide et efficace. Pour une config gaming ou une machine dédiée à la création, visez au moins 7 à 8 W/m·K. Attention toutefois aux chiffres gonflés : certaines marques survendent leurs specs. Pour choisir efficacement, basez-vous sur les tests indépendants.

Viscosité et texture

Une pâte thermique efficace, c’est bien. Facile à poser, c’est encore mieux. Trop fluide ? Elle déborde. Trop épaisse ? La viscosité, exprimée en centipoise (cP), détermine comment une pâte se comporte à l’application. L’objectif : une couche fine, régulière, sans bavure. Les meilleures références trouvent le bon équilibre, suffisamment souples pour s’étaler sous pression, assez stables pour rester en place. Certaines sont fournies avec une spatule : pratique pour les textures denses.

Durabilité

Personne n’a envie de démonter son ventirad tous les quatre matins. Et pourtant, une pâte thermique bas de gamme peut se dégrader en quelques mois : elle sèche, craquelle, perd en conductivité… Résultat ? Une bonne pâte ne doit pas juste bien refroidir. La longévité dépend de plusieurs facteurs : formule chimique, qualité de pose, charge thermique, OC, température ambiante… bref, votre usage. Les références sérieuses annoncent souvent une tenue de 3 à 8 ans. C’est un bon indicateur. S’il n’y a rien d’indiqué ? Et comme toujours : ne croyez pas les chiffres sur l’emballage les yeux fermés.

Compatibilité

Les pâtes thermiques classiques sont des valeurs sûres. À base de céramique, carbone ou silice, elles sont non conductrices et compatibles avec presque tous les dissipateurs (cuivre, aluminium, nickelé). Mais attention aux pâtes à métal liquide. Ces monstres de performance contiennent du gallium, un métal qui corrode l’aluminium. Et ce n’est pas tout : ces pâtes sont aussi électriquement conductrices. Mal appliquées, une simple goutte peut provoquer un court-circuit fatal. Une erreur d’un millimètre, et c’est votre CPU ou votre carte mère à 400 € qui grille. Le métal liquide est réservé aux overclockers expérimentés, avec un matériel adapté et une pose maîtrisée. Sinon ?

Sécurité

Privilégiez les pâtes non conductrices d’électricité pour éviter tout court-circuit.

Tableau comparatif exclusif des meilleures pâtes thermiques

RangPâte thermiqueCompositionConductivité thermiqueAvantages exclusifsIdéal pour
1Thermal Grizzly KryonautMétallique/Carbone12,5 W/mKUltra-performante, stabilitéOverclocking, gaming extrême
2Thermalright TF7Métallique/Carbone12,8 W/mKApplication facile, longévitéStations de travail, gamers
3Noctua NT-H2HybrideNon spécifiéeAmélioration NT-H1, stabilitéGaming, PC intensifs
4ARCTIC MX-6Carbone/Silicone7,5 W/mKSécurité, efficacité immédiateGaming, bureautique
5Corsair TM30Oxyde de zinc/Silicone3,8 W/mKRapport qualité/prix, simplicitéGrand public, upgrades
6Noctua NT-H1HybrideNon spécifiéePolyvalence, sécuritéTous publics, watercooling
7ARCTIC MX-4Carbone8,5 W/mKLongévité, application aiséePolyvalent, PC portables
8Be Quiet! DC1Métallique>7,5 W/mKBon compromis, sécuritéRemplacement rapide
9Connectland HY-710Silicone/Argent>3,17 W/mKÉcologique, prix miniDébutants, éco-responsables
10ID-Cooling Frost X45Métallique/Carbone15,2 W/mKPuissance extrême, overclockingEnthousiastes, extrême cooling

Analyse détaillée de quelques pâtes thermiques

Thermal Grizzly Kryonaut

La Thermal Grizzly Kryonaut, c’est la pâte thermique des gamers et overclockeurs qui veulent gratter chaque degré pour booster leurs performances. Avec une conductivité thermique de 12,5 W/m·K, elle envoie du lourd pour maintenir le CPU ou le GPU bien au frais, même en plein stress test ou pendant des sessions gaming intenses.

Attention cependant : la Kryonaut mise tout sur la puissance immédiate. Si votre processeur tourne souvent souvent à plus de 80 °C (coucou les Ryzen), elle peut perdre un peu de son efficacité au fil du temps. Les tests révèlent une légère baisse de performance après plusieurs cycles thermiques. Pour des perfs thermiques de malade dès l’install, c’est un must-have.

Thermal Grizzly Kryonaut Extreme

La Thermal Grizzly Kryonaut Extreme, c’est l’arme thermique des configs extrêmes, taillée pour les overclockeurs et les gamers qui veulent repousser les limites. Avec ses 14,2 W/m·K annoncés et une structure ultra fine, elle réduit la résistance thermique à son strict minimum. Résultat : des gains concrets de température, jusqu’à 4 °C de mieux par rapport aux pâtes haut de gamme classiques.

Mais comme sa petite sœur, la Kryonaut classique, l’Extreme mise avant tout sur la performance immédiate. Les tests montrent une légère perte d’efficacité après plusieurs mois, notamment au-delà des 80 °C. Ce n’est pas un défaut majeur, mais un point à garder en tête pour les configs qui tournent H24 sans repasting.

Cooler Master MasterGel Maker

La Cooler Master MasterGel Maker, c’est la pâte thermique pour ceux qui veulent de la performance sérieuse sans taper dans l’élitisme extrême. Avec ses nanoparticules de diamant et une conductivité thermique de 11 W/m·K, elle offre un contact propre et homogène entre le die et le dissipateur, pour une dissipation efficace même sous charge. Son embout plat intégré permet une application facile et précise, sans bavures ni surplus.

Sur le terrain, elle tient tête à des références bien établies comme la Noctua NT‑H1 ou la MX‑4, avec jusqu’à 2 °C de mieux dans certains tests. Non conductrice, résistante à l’oxydation et fiable dans le temps, elle est efficace dès l’installation.

Noctua NT‑H2

La Noctua NT‑H2, c’est la pâte thermique de ceux qui veulent des performances fiables sans se compliquer la vie. Évolution directe de la NT‑H1, elle embarque une formule retravaillée avec des particules plus fines et une viscosité optimisée pour un étalement propre et homogène dès l’application.

Sur les bancs de test, elle se place juste derrière les mastodontes comme la Thermal Grizzly Kryonaut, avec 1 à 2 °C de mieux que la NT‑H1 dans certains scénarios. Mais sa vraie force, c’est la tenue dans le temps : plusieurs années sans repasting, là où d’autres pâtes baissent en régime.

Gelid GC‑Extreme

La Gelid GC‑Extreme, c’est une pâte thermique qui fait le taf pour ceux qui veulent refroidir sérieusement sans casser leur tirelire. Avec une conductivité de 8,5 W/m·K et une texture bien équilibrée, elle s’applique facilement et offre un excellent contact sous pression. Les tests montrent jusqu’à 18 °C de gain face à une pâte basique, et des perfs comparables à la Kryonaut dans certains cas.

Petit bémol : sa tenue dans le temps peut faiblir après plusieurs mois à haute température, avec un léger pump-out constaté sur certaines configs. Rien de dramatique pour un usage gaming classique, mais à surveiller si la machine tourne H24. Facile à poser, efficace dès l’install, la GC‑Extreme reste une option fiable, surtout si on repaste régulièrement.

Thermalright TFX

La Thermalright TFX, c’est du lourd au sens propre. Cette pâte thermique, c’est du béton armé pour les processeurs qui chauffent sévère, parfaite pour ceux qui ne reculent devant aucun overclocking. Avec ses 14,3 W/m·K de conductivité, elle joue dans la cour des très grands : elle tient tête à la Kryonaut Extreme et à la NT H2, que ce soit sur un gros CPU overclocké ou dans un boîtier mini ITX bien chargé.

Mais cette performance a un prix : la TFX est ultra épaisse. Sur Reddit les testeurs recommandent même de réchauffer la seringue dans de l’eau chaude avant application, sous peine d’avoir l’impression d’étaler du béton. Ce n’est clairement pas une pâte « plug and play ».

Arctic MX 6

La Arctic MX 6, c’est la pâte thermique pour ceux qui veulent du refroidissement sérieux sans claquer un billet dans du marketing bullshit. Héritière directe de la MX 4, elle améliore la formule avec des microparticules de carbone plus denses et une résistance thermique réduite.

Là où elle se démarque vraiment, c’est sur la fiabilité : pas de pump-out, pas de séchage prématuré, et une tenue validée sur plusieurs années même en usage gaming quotidien. Ce n’est pas la pâte des overclockeurs fous, mais pour une config stable, bien ventilée et montée proprement, elle coche toutes les cases.

Noctua NT‑H1

La Noctua NT‑H1, c’est la pâte thermique old school… mais toujours dans le game. Pas de surenchère marketing, juste une formule qui a fait ses preuves : facile à appliquer, pas de rodage, et des performances qui tiennent tête à des références bien plus chères.

Là où elle marque des points, c’est en fiabilité : ça ne bouge pas, même après plusieurs années. Elle encaisse les cycles thermiques comme un tank. Seul bémol : sur les configs qui tapent au-delà des 80 °C en continu (coucou les laptops ou petits boîtiers mal ventilés), elle peut commencer à fatiguer un peu. Mais pour un PC bien monté, elle assure. La NT‑H1, c’est pas flashy, mais c’est du matos solide.

Thermalright TF9

La Thermalright TF9, c’est la pâte thermique qui ne fait pas dans la finesse… mais elle refroidit sévère. Avec une conductivité annoncée à 14 W/m·K, elle affiche des ambitions haut de gamme à prix mini. En conditions réelles, elle délivre des perfs solides (≈5 W/m·K mesurés), de quoi rivaliser avec la Kryonaut sur un gros CPU ou un GPU bien énervé.

Mais attention : la TF9 est une brute à étaler. Sa texture est dense, presque sèche. Sans chauffe préalable (bain-marie conseillé), c’est l’épreuve de force. Pas idéale pour un premier montage, mais si vous savez ce que vous faites, vous aurez une pâte thermique ultra fiable et redoutablement performante, à moins de 6 €.

Corsair TM30

La Corsair TM30, ce n’est pas l’arme des overclockeurs fous, mais pour du gaming classique, elle fait le taf proprement. Avec ses 3,8 W/m·K de conductivité et sa texture fluide, elle s’applique sans galère et assure un bon contact, même sans être un pro du montage. Les tests et retours le confirment : elle suffit à éviter le throttling, même sur des configs moyennement ventilées. Un utilisateur Reddit rapporte avoir remplacé une Kryonaut vieillissante, et depuis, plus un pic au-dessus de 78 °C en jeu.

Arctic MX‑4

La Arctic MX‑4, c’est la pâte thermique légendaire qu’on ne présente plus. Présente dans les setups gaming depuis plus d’une décennie, elle s’est imposée comme la référence incontournable des monteurs et bricoleurs qui veulent des perfs propres sans prise de tête. Avec ses 8,5 W/m·K en usage réel, elle reste dans le haut du panier, à moins d’un degré des ténors du marché.

Mais là où la MX‑4 enterre la concurrence, c’est sur la durée. Zéro galère, zéro entretien : certains utilisateurs la laissent en place plusieurs années sans perte de perf. C’est fiable, abordable, et toujours aussi efficace. Que ce soit pour du gaming, du montage ou du refresh de PC, c’est le choix par défaut qui fait toujours le taf.

Pâte thermique BSFF

La pâte thermique BSFF, c’est l’arme fatale pour les gamers qui veulent pousser leur CPU à fond sans jouer avec le feu du métal liquide. Avec une conductivité thermique de 13,9 W/mk, elle explose les scores dans la catégorie des pâtes non conductrices.

Mais BSFF, ce n’est pas juste de la perf brute - c’est aussi un vrai plaisir à appliquer. Le kit est taillé pour le combat : spatule, pochoirs anti-bavure, lingettes alcoolisées et carte de finition. Tu veux du propre, du rapide, du précis ? Tu l’as. Que tu montes ta première config ou que tu sois un vétéran de la bidouille, cette pâte te donne l’avantage thermique sans prise de tête. Et la cerise sur le gâteau ? Son prix ultra raisonnable.

Thermalright TF8

La Thermalright TF8, c’est la pâte thermique de ceux qui veulent pousser leur matos à fond sans lâcher un billet inutile. Annoncée à 14 W/m·K, elle rivalise sur le papier avec la Kryonaut Extreme, mais selon les mesures d’Igor’s Lab, elle délivre plutôt 4 à 5 W/m·K en usage réel, ce qui reste très solide pour du bench soutenu ou un setup Mini ITX bien tassé.

Comme ses grandes sœurs TF7 et TF9, la TF8 n’est pas une pâte facile à appliquer. Ultra compacte, elle demande souvent un petit pré-chauffage au bain-marie pour être correctement appliquée. Ce n’est pas l’option la plus accessible, mais pour ceux qui montent des configs chaudes et exigeantes, c’est du costaud.

Thermal Grizzly Conductonaut

La Thermal Grizzly Conductonaut, c’est du métal liquide pour ceux qui veulent le top du top en dissipation thermique, sans compromis. Avec une conductivité thermique hallucinante de 73 W/m·K, elle met tout le reste à l’amende, y compris les Kryonaut et autres pâtes haut de gamme. En pratique, les gains peuvent atteindre 5 à 10 °C, voire plus sur des processeurs delidés ou des GPUs mal refroidis.

Cela dit, ce n’est pas une pâte comme les autres. Conductrice électriquement, interdite sur l’aluminium, hyper fluide… le moindre faux mouvement peut virer au court-circuit. Pas de place pour l’à-peu-près : il faut du matos, du soin et de l’expérience. Clairement, ce n’est pas pour les débutants.

Be Quiet! DC2 Pro

La Be Quiet! DC2 Pro, c’est la pâte métal liquide qui ne fait pas de bruit… mais qui envoie du lourd. Annoncée à 80 W/m·K, elle vise clairement la Conductonaut, mais à un tarif bien plus digeste. En usage extrême - delid, GPU overclocké ou laptop à bout de souffle - elle peut gratter jusqu’à 10 °C face aux pâtes classiques.

Mais encore une fois ATTENTION : on parle de métal liquide. Conductrice, ultra fluide, incompatible avec l’aluminium, la moindre erreur peut faire très mal. Ce n’est pas pour les débutants, mais pour ceux qui savent ce qu’ils font, le rapport perf/prix est excellent.

Alphacool Eisfrost Extreme

L’Alphacool Eisfrost Extreme, c’est le tueur discret du segment métal liquide. Moins connue que la Conductonaut, mais pourtant classée n°1 dans le méga-comparatif de Tom’s Hardware sur plus de 90 pâtes, elle balance une conductivité thermique de très haut vol, avec des perfs supérieures jusqu’à 0,5 °C face aux références habituelles.

Mais comme toute pâte métal liquide, elle ne pardonne pas les erreurs. Conductrice, incompatible avec l’aluminium, elle exige un montage soigné, propre, et rigoureux. Heureusement, Alphacool fournit tout ce qu’il faut pour une pose sérieuse : applicateur, nettoyant, lingettes. En main, elle est plus fluide que la Conductonaut, donc un peu plus facile à étaler, mais toujours réservée aux utilisateurs avertis.

Les différents conditionnements

Sur le marché de la pâte thermique, le vrai piège, c’est le conditionnement. Certaines marques affichent un tarif alléchant… pour 1 petit gramme.

  • Petits tubes (1-2g) : parfait pour une application unique ou un test.
  • Tubes moyens (3-4g) : le format le plus équilibré.
  • Grands tubes (5g et plus) : pour ceux qui montent régulièrement des machines ou qui testent souvent.

Astuce : certaines pâtes haut de gamme coûtent cher, mais justifient chaque centime : viscosité idéale, longévité, stabilité thermique.

Conseils d’application

Il n’existe pas de méthode universelle. Tout dépend du type de pâte thermique, du processeur, et de la surface de contact.

  • Grain de riz (point central) : une petite noisette de pâte placée au centre du CPU. Simple, rapide, efficace. Idéal pour la plupart des configs.
  • Croix : une fine croix dessinée sur la surface.
  • Cinq points : cinq petits dépôts (comme sur un dé à jouer) répartis sur la surface. Bonne couverture et très simple à appliquer.
  • Étalement manuel : avec une spatule, une carte ou un doigt protégé, on répartit la pâte manuellement sur toute la surface. C’est la méthode la plus précise, mais aussi la plus exigeante.

Pour les débutants, les techniques du « grain de r...

Les erreurs à éviter

  • Laisser des bulles d’air : Les bulles d’air sont des isolants thermiques.
  • Ne pas vérifier la compatibilité : Toutes les pâtes thermiques ne sont pas adaptées à tous les types de CPU ou de dissipateurs.

Entretien

Même si la pâte thermique est conçue pour durer longtemps, un bon entretien peut prolonger sa durée de vie. Assurez-vous que votre système reste propre et exempt de poussière. Un PC poussiéreux peut augmenter la température, ce qui peut dégrader la pâte thermique plus rapidement. Si vous ouvrez votre PC pour le nettoyage, vérifiez l’état de la pâte.

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